« Alors que Google fait de gros efforts pour dynamiser la scène des startups en Afrique, quelques problèmes entravent encore les progrès et bloquent le développement de nombreuses activités locales, tels que l’e-commerce. Les startups, les entrepreneurs technologiques et les développeurs marocains se trouvent dans l’incapacité de monétiser leurs applications Android ou de proposer des achats intégrés dérivés au Maroc, alors qu’ils paient les mêmes frais d’inscription au Play Store (compte développeur) que les autres utilisateurs », fait remarquer Mehdi Sakout.
Dans le même sillage, un développeur marocain contacté par nos soins, nous confie que justement le coût de développement d’une application mobile au Maroc peut aller de 5000 à 150.000 Dh, en fonction d’un certain nombre de facteurs tels que la qualité souhaitée, le modèle, les options ou encore la taille.
Un problème qui ne date pas d’hier…
Par ailleurs, dans sa lettre ouverte Mehdi Sakout a précisé que ce problème n’est pas nouveau, « comme cela a toujours été le cas depuis le lancement de Google Merchant, qui est le principal service de vente en ligne de produits d’e-commerce, tels que des vêtements, des articles numériques, des applications Android ou achats in-app… »
Ce senior Android engineer définit la monétisation comme étant l’un des moteurs des applications mobiles pour leur permettre de survivre, d’assurer la continuité et de se développer. Il a fait savoir que l’enregistrement limité de Google Merchant (profil de paiement) a contraint de nombreux développeurs à trouver des modèles commerciaux alternatifs, comme les publicités Admob, qui ne conviennent pas nécessairement à tous les types d’entreprise. En consultant la liste complète des pays autorisés, Mehdi Sakout dit avoir découvert que le Maroc est le seul pays de la région MENA sans accès à Google Merchant alors que les pays voisins, tels que l’Algérie, la Tunisie, l’Égypte… ont un accès complet.
Une lettre d’espoir pour plusieurs Googleurs…
Depuis 2015, il dit qu’il avait contacté plusieurs Googleurs, qui partagent son sort, dans la région MENA (par e-mail et en personne), pour transmettre la demande à la bonne équipe, mais en vain cela n’a pas abouti au résultat escompté. « Ma lettre ouverte d’aujourd’hui est destinée à diffuser le message afin de débloquer la situation, ou au moins avoir une justification appropriée de Google. Soutenons ce changement si nécessaire pour l’avenir de l’Afrique », a-t-ajouté.
Dans le même sillage, un développeur marocain contacté par nos soins, nous confie que justement le coût de développement d’une application mobile au Maroc peut aller de 5000 à 150.000 Dh, en fonction d’un certain nombre de facteurs tels que la qualité souhaitée, le modèle, les options ou encore la taille.
Un problème qui ne date pas d’hier…
Par ailleurs, dans sa lettre ouverte Mehdi Sakout a précisé que ce problème n’est pas nouveau, « comme cela a toujours été le cas depuis le lancement de Google Merchant, qui est le principal service de vente en ligne de produits d’e-commerce, tels que des vêtements, des articles numériques, des applications Android ou achats in-app… »
Ce senior Android engineer définit la monétisation comme étant l’un des moteurs des applications mobiles pour leur permettre de survivre, d’assurer la continuité et de se développer. Il a fait savoir que l’enregistrement limité de Google Merchant (profil de paiement) a contraint de nombreux développeurs à trouver des modèles commerciaux alternatifs, comme les publicités Admob, qui ne conviennent pas nécessairement à tous les types d’entreprise. En consultant la liste complète des pays autorisés, Mehdi Sakout dit avoir découvert que le Maroc est le seul pays de la région MENA sans accès à Google Merchant alors que les pays voisins, tels que l’Algérie, la Tunisie, l’Égypte… ont un accès complet.
Une lettre d’espoir pour plusieurs Googleurs…
Depuis 2015, il dit qu’il avait contacté plusieurs Googleurs, qui partagent son sort, dans la région MENA (par e-mail et en personne), pour transmettre la demande à la bonne équipe, mais en vain cela n’a pas abouti au résultat escompté. « Ma lettre ouverte d’aujourd’hui est destinée à diffuser le message afin de débloquer la situation, ou au moins avoir une justification appropriée de Google. Soutenons ce changement si nécessaire pour l’avenir de l’Afrique », a-t-ajouté.