Cet appel, a souligné l’OADIM dans un communiqué publié vendredi, concerne les normes sine qua none du développement durable, et qui concernent, entre autres, la gestion de l’environnement, de l’énergie et de l’eau.
L’Organisation rappelle le rôle que jouent ces exigences dans l’établissement d’un équilibre entre développement et environnement, particulièrement dans le domaine industriel, pour préserver les ressources naturelles au profit des générations futures et répondre aux exigences de protection de l’environnement pour les générations actuelles.
« Les objectifs du développement durable adressés à tous les pays du monde appellent dans leur intégralité à accroître la prospérité et à adopter des stratégies spécifiques pour parvenir à la croissance économique », indique Adil Sakr, directeur général de l’OADIM.
L’OADIM préconise dès lors une utilisation rationnelle des ressources, c’est-à-dire une utilisation plus durable, tout en répondant aux besoins sociaux et économiques du Maroc et des pays arabes, notamment l’éducation, la santé, la protection sociale, l’emploi, la lutte contre le changement climatique et la protection de l’environnement.
« L’Organisation fait des efforts énormes afin d’atteindre les objectifs du développement durable dans le monde arabe, particulièrement au niveau environnemental, et ce, en incluant le concept du « développement durable » dans ses plans d’action et en encourageant les pays arabes à inclure les questions environnementales dans leurs plans nationaux et régionaux », a relevé le directeur, notant que l’OADIM a publié un ensemble de normes (10.895 au total) pertinentes dans plusieurs secteurs. M. Sakr a rappelé dans ce sillage que l’ordre du jour de la réunion du Comité supérieur arabe de normalisation prévoit l’adoption de 668 projets de normes en langue originale, ainsi que 73 projets de normes d’accréditation en langue arabe.
Ces normes sont en effet des documents qui précisent des exigences, spécifications et lignes directrices à même d’assurer l’aptitude à l’emploi des matériaux, produits et services. « Les spécifications normatives s’inscrivent dans les objectifs du développement durable, notamment au niveau du développement économique, à travers une série de normes internationales » qui visent à améliorer la qualité des produits, réduire les coûts et à satisfaire les clients, conclut le communiqué.
L’OADIM s’intéresse aux exigences permettant de faire avancer la roue de l’industrialisation et le développement des richesses dans les pays arabes et améliorer le niveau de l’industrie et de l’exploitation minière pour suivre le rythme des évolutions technologiques mondiales. Ces missions sont accordées, entre autres, à l’Institut Marocain de Normalisation (IMANOR).
L’Organisation rappelle le rôle que jouent ces exigences dans l’établissement d’un équilibre entre développement et environnement, particulièrement dans le domaine industriel, pour préserver les ressources naturelles au profit des générations futures et répondre aux exigences de protection de l’environnement pour les générations actuelles.
« Les objectifs du développement durable adressés à tous les pays du monde appellent dans leur intégralité à accroître la prospérité et à adopter des stratégies spécifiques pour parvenir à la croissance économique », indique Adil Sakr, directeur général de l’OADIM.
L’OADIM préconise dès lors une utilisation rationnelle des ressources, c’est-à-dire une utilisation plus durable, tout en répondant aux besoins sociaux et économiques du Maroc et des pays arabes, notamment l’éducation, la santé, la protection sociale, l’emploi, la lutte contre le changement climatique et la protection de l’environnement.
« L’Organisation fait des efforts énormes afin d’atteindre les objectifs du développement durable dans le monde arabe, particulièrement au niveau environnemental, et ce, en incluant le concept du « développement durable » dans ses plans d’action et en encourageant les pays arabes à inclure les questions environnementales dans leurs plans nationaux et régionaux », a relevé le directeur, notant que l’OADIM a publié un ensemble de normes (10.895 au total) pertinentes dans plusieurs secteurs. M. Sakr a rappelé dans ce sillage que l’ordre du jour de la réunion du Comité supérieur arabe de normalisation prévoit l’adoption de 668 projets de normes en langue originale, ainsi que 73 projets de normes d’accréditation en langue arabe.
Ces normes sont en effet des documents qui précisent des exigences, spécifications et lignes directrices à même d’assurer l’aptitude à l’emploi des matériaux, produits et services. « Les spécifications normatives s’inscrivent dans les objectifs du développement durable, notamment au niveau du développement économique, à travers une série de normes internationales » qui visent à améliorer la qualité des produits, réduire les coûts et à satisfaire les clients, conclut le communiqué.
L’OADIM s’intéresse aux exigences permettant de faire avancer la roue de l’industrialisation et le développement des richesses dans les pays arabes et améliorer le niveau de l’industrie et de l’exploitation minière pour suivre le rythme des évolutions technologiques mondiales. Ces missions sont accordées, entre autres, à l’Institut Marocain de Normalisation (IMANOR).
Kawtar CHAAT
