Sous la conduite de SM le Roi Mohammed VI, le Maroc a accumulé ces dernières années, et particulièrement ces douze derniers mois, les succès diplomatiques au niveau de la communauté internationale, qui ne cesse de témoigner son plein soutien à la marocanité du Sahara.
L’épisode d’El Guerguerat corrobore bien ces propos du fait qu’il n’a pas fallu beaucoup de temps après l’intervention des Forces Armées Royales pour que les pays arabes et africains frères formulent un franc soutien à l’action légitime du Royaume, ce qui doit être ressenti comme un cinglant coup de claque pour les détracteurs du Royaume.
Une semaine après cette opération réussie, le Roi de Jordanie, Abdallah II Ibn Al Hussein, a salué, lors d’un appel téléphonique avec SM le Roi Mohammed VI, les décisions prises pour sécuriser la circulation des personnes et des biens dans la zone tampon, exprimant le souhait du Royaume Hachémite d’ouvrir un Consulat général à Laâyoune. Une décision à forte valeur symbolique, qui renforce davantage le soutien de la Jordanie à l’intégrité territoriale du Maroc.
Consolidation des relations maroco-mauritaniennes
Quelque 24 heures plus tard, le Souverain a eu un autre entretien téléphonique avec le Président de la République Islamique de Mauritanie, Mohamed Ould Cheikh El Ghazouani. Lors de cet entretien, les deux Chefs d’Etat ont exprimé leur grande satisfaction du développement rapide que connaît la coopération bilatérale, ainsi que leur grande volonté de la consolider et la hisser à un niveau à même de permettre l’approfondissement de cette coopération entre les deux pays voisins, l’élargissement de ses perspectives et la diversification de ses domaines. A l’occasion de cet appel, SM le Roi Mohammed VI a fait part de sa disposition à effectuer une visite officielle en Mauritanie, adressant en même temps l’invitation au Président mauritanien pour visiter «son deuxième pays, le Royaume du Maroc». Encore une fois, il s’agit d’un coup dur pour le «polisario» et ses alliés, qui, depuis des années, ne ménagent guère leurs efforts pour couper le cordon entre le Maroc et son voisin du Sud.
Il sied de noter que ce sont les fondamentaux de la politique africaine du Maroc qui lui ont permis de mettre les jalons d’une relation de confiance et d’une coopération mutuellement bénéfique avec les autres pays du continent.
L’épisode d’El Guerguerat corrobore bien ces propos du fait qu’il n’a pas fallu beaucoup de temps après l’intervention des Forces Armées Royales pour que les pays arabes et africains frères formulent un franc soutien à l’action légitime du Royaume, ce qui doit être ressenti comme un cinglant coup de claque pour les détracteurs du Royaume.
Une semaine après cette opération réussie, le Roi de Jordanie, Abdallah II Ibn Al Hussein, a salué, lors d’un appel téléphonique avec SM le Roi Mohammed VI, les décisions prises pour sécuriser la circulation des personnes et des biens dans la zone tampon, exprimant le souhait du Royaume Hachémite d’ouvrir un Consulat général à Laâyoune. Une décision à forte valeur symbolique, qui renforce davantage le soutien de la Jordanie à l’intégrité territoriale du Maroc.
Consolidation des relations maroco-mauritaniennes
Quelque 24 heures plus tard, le Souverain a eu un autre entretien téléphonique avec le Président de la République Islamique de Mauritanie, Mohamed Ould Cheikh El Ghazouani. Lors de cet entretien, les deux Chefs d’Etat ont exprimé leur grande satisfaction du développement rapide que connaît la coopération bilatérale, ainsi que leur grande volonté de la consolider et la hisser à un niveau à même de permettre l’approfondissement de cette coopération entre les deux pays voisins, l’élargissement de ses perspectives et la diversification de ses domaines. A l’occasion de cet appel, SM le Roi Mohammed VI a fait part de sa disposition à effectuer une visite officielle en Mauritanie, adressant en même temps l’invitation au Président mauritanien pour visiter «son deuxième pays, le Royaume du Maroc». Encore une fois, il s’agit d’un coup dur pour le «polisario» et ses alliés, qui, depuis des années, ne ménagent guère leurs efforts pour couper le cordon entre le Maroc et son voisin du Sud.
Il sied de noter que ce sont les fondamentaux de la politique africaine du Maroc qui lui ont permis de mettre les jalons d’une relation de confiance et d’une coopération mutuellement bénéfique avec les autres pays du continent.
Repères
L’élan de solidarité se poursuit
Le gouvernement de la République du Liberia a réaffirmé sa solidarité et son soutien à la cause nationale du Maroc, faisant part de sa préoccupation des derniers développements dans la zone tampon d’El Guerguerat. Dans un communiqué, le gouvernement libérien a réitéré sa position constante de soutien à l’intégrité territoriale et à la souveraineté nationale du Royaume du Maroc, appelant au respect du cessez-le-feu, signé il y a trois décennies, et du plan marocain d’autonomie pour les provinces du Sud.
Le «polisario» s’est exclu de tout processus politique
En violant l’accord de cessez-lefeu, le groupe séparatiste armé «s’est disqualifié» de toute participation au processus politique sur le Sahara marocain et a montré au monde entier qu’il n’a pas de place autour des tables- rondes, a affirmé, vendredi sur la chaîne de télévision CNN International, l’ambassadeur Représentant permanent du Maroc à l’ONU, Omar Hilale. Et d’ajouter : «Lorsqu’une partie déclare la guerre et se retire du cessez-le-feu, alors elle n’a plus de place sur la table des négociations».