Le ministère de tutelle a indiqué dans un communiqué que le gouvernement alloue un montant de 130 millions de dirhams (MDH) pour l'accompagnement des apiculteurs pour la reconstruction des ruches infectées par la distribution de nouvelles colonies d'abeilles et pour la mise en place d'une campagne nationale de traitement des ruches contre la maladie de varroase ainsi que des campagnes de sensibilisation au profit des apiculteurs, notamment en ce qui concerne les bonnes pratiques en matière d'apiculture.
Cela intervient suite à une séance de travail a été tenue, samedi en mode visioconférence, par le chef du gouvernement et le ministre de l'Agriculture, de la Pêche, du Développement Rural et des eaux et forêts, accompagné du directeur général de l'Office National de Sécurité Sanitaire des produits Alimentaires (ONSSA) et du directeur central des filières de production en vue d'examiner les causes de ce phénomène et les moyens à même d'atténuer ses effets sur le secteur apicole.
Au cours de cette réunion, le directeur général de l'ONSSA a fait un exposé sur les mesures urgentes prises ainsi que les résultats préliminaires des recherches et analyses effectuées par ses services vétérinaires régionaux, en collaboration avec les représentants de la Fédération Interprofessionnelle Marocaine de l'Apiculture, et qui ont démontré que ce phénomène est nouveau et concerne certains apiculteurs à des degrés divers dans certaines régions du Maroc.
Les investigations de laboratoires excluent, en effet, l'hypothèse qu'une maladie des abeilles soit à l'origine de ce phénomène, relève le communiqué.
L'ONSSA a constitué un comité d'experts multidisciplinaire pour poursuivre les recherches et les études sur ce phénomène, fait savoir le communiqué, notant que l'Office approfondit également les enquêtes de terrain en collaboration avec les professionnels du secteur afin d'identifier les facteurs contribuant au développement de ce phénomène.
Le phénomène connu sous l’appellation « Syndrome d’effondrement des colonies d’abeilles » a été constaté également dans des pays en Europe, en Amérique et en Afrique.
Les recherches attribuent cela à plusieurs facteurs, entre autres, la faiblesse des précipitations, la diminution de la quantité et de la qualité de l'alimentation disponible pour les abeilles ou encore l'état de santé des ruchers et les méthodes de prévention suivies, conclut le communiqué.
(Avec MAP)
Cela intervient suite à une séance de travail a été tenue, samedi en mode visioconférence, par le chef du gouvernement et le ministre de l'Agriculture, de la Pêche, du Développement Rural et des eaux et forêts, accompagné du directeur général de l'Office National de Sécurité Sanitaire des produits Alimentaires (ONSSA) et du directeur central des filières de production en vue d'examiner les causes de ce phénomène et les moyens à même d'atténuer ses effets sur le secteur apicole.
Au cours de cette réunion, le directeur général de l'ONSSA a fait un exposé sur les mesures urgentes prises ainsi que les résultats préliminaires des recherches et analyses effectuées par ses services vétérinaires régionaux, en collaboration avec les représentants de la Fédération Interprofessionnelle Marocaine de l'Apiculture, et qui ont démontré que ce phénomène est nouveau et concerne certains apiculteurs à des degrés divers dans certaines régions du Maroc.
Les investigations de laboratoires excluent, en effet, l'hypothèse qu'une maladie des abeilles soit à l'origine de ce phénomène, relève le communiqué.
L'ONSSA a constitué un comité d'experts multidisciplinaire pour poursuivre les recherches et les études sur ce phénomène, fait savoir le communiqué, notant que l'Office approfondit également les enquêtes de terrain en collaboration avec les professionnels du secteur afin d'identifier les facteurs contribuant au développement de ce phénomène.
Le phénomène connu sous l’appellation « Syndrome d’effondrement des colonies d’abeilles » a été constaté également dans des pays en Europe, en Amérique et en Afrique.
Les recherches attribuent cela à plusieurs facteurs, entre autres, la faiblesse des précipitations, la diminution de la quantité et de la qualité de l'alimentation disponible pour les abeilles ou encore l'état de santé des ruchers et les méthodes de prévention suivies, conclut le communiqué.
(Avec MAP)