Les restrictions liées aux coronavirus ont presque mis le marché du logement marocain au point mort. Actuellement, alors que les acteurs du secteur adoptent leurs plans de réouverture, le secteur de l’immobilier commence à se redresser, même à un rythme assez lent.
Ce marché renoue timidement avec les transactions. Plus de 63% des Marocains ont exprimé leur volonté de changer de logement dans les six prochains mois.
Pour prendre le pouls du marché, la plateforme d'achat et de vente Avito a mené une étude sectorielle du marché. Ils en ressort que pour effectuer leur choix, 76 % des Marocains tiennent compte du prix, 67 % du quartier et 28 % de la finition, rapporte Aujourd’hui au Maroc.
Concernant le financement, l'étude a révélé que 50 % des répondants choisiraient un prêt hypothécaire, 36 % envisageraient de vendre une propriété et 23 % préféreraient utiliser leur propre financement.
S'agissant de l'impact de la crise sanitaire sur la décision d'achat, 40 % des personnes interrogées ont expliqué avoir pris du retard dans leurs achats à cause de la crise, et 5 % ont déclaré avoir avancé dans l'achat, tandis que pour 51 % des répondants, la crise n'a pas eu lieu d'impact sur leurs choix.
Dans l'ensemble, les indices de récupération ont montré que les transactions du marché se rapprochaient des niveaux d'avant la pandémie.
Ce marché renoue timidement avec les transactions. Plus de 63% des Marocains ont exprimé leur volonté de changer de logement dans les six prochains mois.
Pour prendre le pouls du marché, la plateforme d'achat et de vente Avito a mené une étude sectorielle du marché. Ils en ressort que pour effectuer leur choix, 76 % des Marocains tiennent compte du prix, 67 % du quartier et 28 % de la finition, rapporte Aujourd’hui au Maroc.
Concernant le financement, l'étude a révélé que 50 % des répondants choisiraient un prêt hypothécaire, 36 % envisageraient de vendre une propriété et 23 % préféreraient utiliser leur propre financement.
S'agissant de l'impact de la crise sanitaire sur la décision d'achat, 40 % des personnes interrogées ont expliqué avoir pris du retard dans leurs achats à cause de la crise, et 5 % ont déclaré avoir avancé dans l'achat, tandis que pour 51 % des répondants, la crise n'a pas eu lieu d'impact sur leurs choix.
Dans l'ensemble, les indices de récupération ont montré que les transactions du marché se rapprochaient des niveaux d'avant la pandémie.