Les députés réprouvent un nouveau report
La présentation du projet de loi relatif à l’exercice du droit de grève a été retirée de l’ordre du jour de la réunion la Commission, le gouvernement ayant reporté sa discussion, justifiant ce report par le préalable de reprise des négociations avec les syndicats. Report qui a donné lieu à une vive réprobation de la part des députés, étant donné que le projet de loi est programmé depuis quatre ans.
Le ministre a affirmé à ce propos qu’il a reçu de nouvelles propositions des syndicats, d’où la décision de se donner un nouveau délai, de quinze jours. Il a déclaré que le gouvernement n’exerçait aucune pression sur les organisations syndicales et que le parlement n’était pas concerné par les tractations du dialogue sociale.
La régularisation des travailleurs
Interpellé au sujet du contrôle des déclarations à la CNSS, le ministre s’est contenté de rappeler le dispositif juridique existant en évoquant une hausse des mesures prises de contrôle dans le cadre des inspections de travail, sans aborder véritablement les défis que rencontre l’effort national de régularisation des travailleurs.
Contaminations dans les lieux de travail : Le gouvernement en partie responsable
Par ailleurs, la soustraction de certains employeurs du respect des mesures sanitaires dans les lieux de travail engage la responsabilité du gouvernement, censé multiplier et renforcer les contrôles en matière de prévention de la pandémie de la Covid-19. A ce sujet, M. Amekraz a précisé que les inspecteurs de travail ont accompagné dans l’application des mesures sanitaires quelque 6771 entreprises, entre le 13 mars et 14 avril.
Une procédure conjointe du ministère du Travail et de celui de l’Industrie a été mise en place pour renforcer les contrôles du respect des mesures sanitaires à travers des comités régionaux, a indiqué M. Amekraz, qui a affirmé qu’un guide a été mis à la disposition des entreprises et des unités de production, contenant des conseils et des orientations sur les différentes mesures requises pour assurer la sécurité des employés, ainsi qu’un protocole de gestion de cas d’infection.
Concernant les mesures de contrôle, 39.460 entreprises ont été ciblées par des inspections de terrain du 4 avril au 11 septembre, précise le ministre.
En relation avec le foyer d’usines de conditionnement de fraises de Lalla Mimouna, une commission d’enquête a été mise en place pour lancer des investigations. Un rapport avait révélé le non-respect des employeurs et de certains propriétaires de transport privé du protocole sanitaire, ce qui déclenché des poursuites judiciaires, explique le ministre.
La présentation du projet de loi relatif à l’exercice du droit de grève a été retirée de l’ordre du jour de la réunion la Commission, le gouvernement ayant reporté sa discussion, justifiant ce report par le préalable de reprise des négociations avec les syndicats. Report qui a donné lieu à une vive réprobation de la part des députés, étant donné que le projet de loi est programmé depuis quatre ans.
Le ministre a affirmé à ce propos qu’il a reçu de nouvelles propositions des syndicats, d’où la décision de se donner un nouveau délai, de quinze jours. Il a déclaré que le gouvernement n’exerçait aucune pression sur les organisations syndicales et que le parlement n’était pas concerné par les tractations du dialogue sociale.
La régularisation des travailleurs
Interpellé au sujet du contrôle des déclarations à la CNSS, le ministre s’est contenté de rappeler le dispositif juridique existant en évoquant une hausse des mesures prises de contrôle dans le cadre des inspections de travail, sans aborder véritablement les défis que rencontre l’effort national de régularisation des travailleurs.
Contaminations dans les lieux de travail : Le gouvernement en partie responsable
Par ailleurs, la soustraction de certains employeurs du respect des mesures sanitaires dans les lieux de travail engage la responsabilité du gouvernement, censé multiplier et renforcer les contrôles en matière de prévention de la pandémie de la Covid-19. A ce sujet, M. Amekraz a précisé que les inspecteurs de travail ont accompagné dans l’application des mesures sanitaires quelque 6771 entreprises, entre le 13 mars et 14 avril.
Une procédure conjointe du ministère du Travail et de celui de l’Industrie a été mise en place pour renforcer les contrôles du respect des mesures sanitaires à travers des comités régionaux, a indiqué M. Amekraz, qui a affirmé qu’un guide a été mis à la disposition des entreprises et des unités de production, contenant des conseils et des orientations sur les différentes mesures requises pour assurer la sécurité des employés, ainsi qu’un protocole de gestion de cas d’infection.
Concernant les mesures de contrôle, 39.460 entreprises ont été ciblées par des inspections de terrain du 4 avril au 11 septembre, précise le ministre.
En relation avec le foyer d’usines de conditionnement de fraises de Lalla Mimouna, une commission d’enquête a été mise en place pour lancer des investigations. Un rapport avait révélé le non-respect des employeurs et de certains propriétaires de transport privé du protocole sanitaire, ce qui déclenché des poursuites judiciaires, explique le ministre.