S’inscrivant dans le cadre d’une dynamique de repositionnement de l’ESI dans l’accompagnement et le soutien des chantiers structurants nationaux en lien avec le Maroc digital et la société du savoir, cette rencontre était une occasion de faire connaître les nouveaux axes de la réforme pédagogique de l’ESI portant principalement sur le génie de la gestion des données et des systèmes d’information.
Dans son mot de bienvenue, prononcé par le Directeur Général de la Statistique et de la Comptabilité, Mohammed Bircharef, le Hautcommissaire au Plan a insisté sur le rôle majeur que les technologies de l’information jouent de nos jours dans le développement du Royaume qui a pris des orientations nouvelles et des engagements dans les agendas de développement durable.
C’est dans cet esprit que « le HCP a entrepris une initiative majeure de transformation digitale pour moderniser son dispositif statistique dont il a pu faire bénéficier notamment les écoles d’ingénieurs. Dans ce contexte, de nouvelles orientations ont pu être mises en oeuvre au niveau de l’ESI en particulier pour en faire un pôle d’excellence dans la nouvelle discipline clé que sont les sciences de l’information », a-t-il fait savoir.
S’agissant des orientations de transformation de l’ESI et des objectifs de sa réforme, ils ont été résumés dans deux axes majeurs, à savoir premièrement le soutien de la souveraineté numérique du pays en s’ouvrant sur les métiers de demain en matière de transformation digitale, data science, ingénierie des connaissances et cyber-sécurité, et deuxièmement le soutien de la compétitivité du pays via le management intelligent de l’information et l’ancrage de l’intelligence économique et stratégique.
L’ESI se voit, selon l’allocution du Hautcommissaire au Plan, dans l’obligation de revoir son positionnement et de clarifier son identité. Elle a ainsi entrepris le chemin de l’ingénierie en embrassant des champs disciplinaires complémentaires, et en optant pour le mariage des sciences de l’information et la science des données dans ses cursus formels d’enseignement.
« En intégrant le cercle des Écoles d’ingénieurs à partir de l’année 2016, l’ESI devient la plus jeune institution parmi l’écosystème des Écoles d’Ingénieurs prestigieuses au niveau du Royaume. Par conséquent, il a fallu déployer des efforts pour asseoir et renforcer sa notoriété, aussi bien dans le domaine de l’enseignement que dans celui de la recherche », a-t-il ajouté.
Dans son mot de bienvenue, prononcé par le Directeur Général de la Statistique et de la Comptabilité, Mohammed Bircharef, le Hautcommissaire au Plan a insisté sur le rôle majeur que les technologies de l’information jouent de nos jours dans le développement du Royaume qui a pris des orientations nouvelles et des engagements dans les agendas de développement durable.
C’est dans cet esprit que « le HCP a entrepris une initiative majeure de transformation digitale pour moderniser son dispositif statistique dont il a pu faire bénéficier notamment les écoles d’ingénieurs. Dans ce contexte, de nouvelles orientations ont pu être mises en oeuvre au niveau de l’ESI en particulier pour en faire un pôle d’excellence dans la nouvelle discipline clé que sont les sciences de l’information », a-t-il fait savoir.
S’agissant des orientations de transformation de l’ESI et des objectifs de sa réforme, ils ont été résumés dans deux axes majeurs, à savoir premièrement le soutien de la souveraineté numérique du pays en s’ouvrant sur les métiers de demain en matière de transformation digitale, data science, ingénierie des connaissances et cyber-sécurité, et deuxièmement le soutien de la compétitivité du pays via le management intelligent de l’information et l’ancrage de l’intelligence économique et stratégique.
L’ESI se voit, selon l’allocution du Hautcommissaire au Plan, dans l’obligation de revoir son positionnement et de clarifier son identité. Elle a ainsi entrepris le chemin de l’ingénierie en embrassant des champs disciplinaires complémentaires, et en optant pour le mariage des sciences de l’information et la science des données dans ses cursus formels d’enseignement.
« En intégrant le cercle des Écoles d’ingénieurs à partir de l’année 2016, l’ESI devient la plus jeune institution parmi l’écosystème des Écoles d’Ingénieurs prestigieuses au niveau du Royaume. Par conséquent, il a fallu déployer des efforts pour asseoir et renforcer sa notoriété, aussi bien dans le domaine de l’enseignement que dans celui de la recherche », a-t-il ajouté.
Quid de l’ESI ?
Créée en 1975 et réorganisée par le Décret 2-15-943 du 26 février 2016, l’Ecole des Sciences de l’Information (ESI), est une école d’ingénieurs sous la tutelle du Haut Commissariat au Plan (HCP).
L’ESI est un établissement d’enseignement supérieur public, pour la formation d’ingénieurs et de cadres supérieurs, dans les domaines des Sciences de l’Information et disciplines connexes ingénierie des connaissances et des contenus, science des données, intelligence compétitive, ingénierie documentaire, veille stratégique et systèmes d’information.
Au cours des dernières années, l’ESI a élargi sa mission et son offre de formation et de recherche scientifique pour mettre au service du pays des profils hautement qualifiés et adaptés aux nouveaux défis et enjeux du traitement des contenus et des données eu égard aux nouveaux besoins des chantiers ouverts au Royaume.
L’ESI est un établissement d’enseignement supérieur public, pour la formation d’ingénieurs et de cadres supérieurs, dans les domaines des Sciences de l’Information et disciplines connexes ingénierie des connaissances et des contenus, science des données, intelligence compétitive, ingénierie documentaire, veille stratégique et systèmes d’information.
Au cours des dernières années, l’ESI a élargi sa mission et son offre de formation et de recherche scientifique pour mettre au service du pays des profils hautement qualifiés et adaptés aux nouveaux défis et enjeux du traitement des contenus et des données eu égard aux nouveaux besoins des chantiers ouverts au Royaume.