En pleine haute saison, El Jadida bouge un peu sur les prix, mais il vaut mieux se mettre à la place de l’acheteur plutôt que celle du vendeur, estime Laurent Guinard, promoteur français installé à El Jadida, notant que la crise sanitaire est perçue comme un K.O pour l’immobilier, amplifiant ainsi la baisse des prix sur les Riads, villas, appartements, commerces et industries. Cependant, fait-il savoir, El Jadida offre malgré tout, une panoplie de nombreuses possibilités d’investissement à des prix très attractifs.Les dernières études font ainsi ressortir une baisse nette des valeurs absolues, et ceci dès la fin du mois de février. Que ce soit pour l’offre ou pour la demande, pour les appartements ou les villas, pour l’ancien ou pour le neuf, relève Omar Amrani, un jeune promoteur à El Jadida.
L’offre d’appartements selon les mêmes études, fait face à une baisse de 23% pour le neuf et de 28% pour l’ancien. L’offre de villas connaît, quant à elle, un repli de 52% pour le neuf et de 29% pour l’ancien. Concernant le site immobilier, l’effet de saisonnalité est écarté puisque l’offre ressort habituellement en hausse à cette période de l’année. Les tendances relevées au terme du premier trimestre 2020 défient ainsi toute logique. Il est à noter que l’offre au premier semestre 2019 marquait une progression de 86% pour les logements neufs et de 30% pour les logements anciens. En face, la demande se réduisait d’à peine 18% pour les appartements et 10% pour les villas.
Depuis le début de l’année, les prix des appartements neufs comme anciens baissent. Après un second semestre 2019 pourtant très optimiste avec une évolution de 5%, le prix des appartements neufs enregistre une baisse de 7% sur le premier trimestre 2020 (contre -10% sur la même période de l’année précédente), mentionne de son côté Said Tounsi, un professionnel averti dans les affaires de l’immobilier.
Pour l’ancien, les prix continuent de se déprécier avec -4% enregistrés au premier trimestre 2020 (contre -17% sur la même période de 2019).
Depuis l’annonce de cette crise sanitaire sans précédent, le marché tourne au ralenti. L’économie post-Covid-19 s’annonce encore incertaine pour les professionnels, particulièrement pour le secteur de l’immobilier et celui de la construction.
Cependant, la question qui les taraude le plus est de savoir comment orienter les plans stratégiques pour amorcer le processus de reprise économique, s’interroge Mohamed Sentoussi, promoteur immobilier à Azemmour. Pour beaucoup de professionnels, le bout du tunnel est encore loin. La baisse devrait encore se poursuivre sur les mois à venir. Les effets collatéraux de la pandémie et l’arrêt d’activité de plusieurs secteurs socio-économiques menacent les revenus des possibles acheteurs et contraint à prendre du recul et à reconsidérer leurs projets d’achats, conviennent à l’unanimité de nos sources.
L’offre d’appartements selon les mêmes études, fait face à une baisse de 23% pour le neuf et de 28% pour l’ancien. L’offre de villas connaît, quant à elle, un repli de 52% pour le neuf et de 29% pour l’ancien. Concernant le site immobilier, l’effet de saisonnalité est écarté puisque l’offre ressort habituellement en hausse à cette période de l’année. Les tendances relevées au terme du premier trimestre 2020 défient ainsi toute logique. Il est à noter que l’offre au premier semestre 2019 marquait une progression de 86% pour les logements neufs et de 30% pour les logements anciens. En face, la demande se réduisait d’à peine 18% pour les appartements et 10% pour les villas.
Depuis le début de l’année, les prix des appartements neufs comme anciens baissent. Après un second semestre 2019 pourtant très optimiste avec une évolution de 5%, le prix des appartements neufs enregistre une baisse de 7% sur le premier trimestre 2020 (contre -10% sur la même période de l’année précédente), mentionne de son côté Said Tounsi, un professionnel averti dans les affaires de l’immobilier.
Pour l’ancien, les prix continuent de se déprécier avec -4% enregistrés au premier trimestre 2020 (contre -17% sur la même période de 2019).
Depuis l’annonce de cette crise sanitaire sans précédent, le marché tourne au ralenti. L’économie post-Covid-19 s’annonce encore incertaine pour les professionnels, particulièrement pour le secteur de l’immobilier et celui de la construction.
Cependant, la question qui les taraude le plus est de savoir comment orienter les plans stratégiques pour amorcer le processus de reprise économique, s’interroge Mohamed Sentoussi, promoteur immobilier à Azemmour. Pour beaucoup de professionnels, le bout du tunnel est encore loin. La baisse devrait encore se poursuivre sur les mois à venir. Les effets collatéraux de la pandémie et l’arrêt d’activité de plusieurs secteurs socio-économiques menacent les revenus des possibles acheteurs et contraint à prendre du recul et à reconsidérer leurs projets d’achats, conviennent à l’unanimité de nos sources.
Mohamed LOKHNATI