Dans une vidéo publiée jeudi sur les réseaux sociaux, Saïd Manaf, directeur du lycée technique Errazi, l’une des plus grandes institutions de la région, a exprimé son désarroi face à l’accumulation des déchets au sein de l’internat de l’établissement. Il a dénoncé la négligence de l’entreprise chargée de la gestion de la propreté, malgré le renouvellement d’un contrat de délégation pour un montant dépassant 5 milliards de centimes. Ce contrat, salué à l’époque par les conseillers municipaux, suscite aujourd’hui des interrogations quant à son efficacité et à la transparence de sa mise en œuvre.
Cette situation met en lumière les dysfonctionnements du système de gestion des déchets dans la ville d’El Jadida. Alors que les ambitions municipales semblent se limiter à des projets ponctuels, tels que la construction et la démolition d’un mur maritime, le traitement des eaux usées ou l’installation de poteaux électriques, les villes voisines ont pris une avance considérable en matière de développement urbain. Ces dernières, candidates pour accueillir des événements internationaux comme la Coupe du Monde, contrastent fortement avec El Jadida, qui semble condamnée à stagner dans un état de délabrement avancé.
La vidéo, largement partagée, a suscité l’indignation des citoyens et des acteurs locaux, appelant à une action rapide et efficace pour résoudre ce problème qui ternit l’image de la ville et compromet l’avenir de ses institutions éducatives.
Cette situation met en lumière les dysfonctionnements du système de gestion des déchets dans la ville d’El Jadida. Alors que les ambitions municipales semblent se limiter à des projets ponctuels, tels que la construction et la démolition d’un mur maritime, le traitement des eaux usées ou l’installation de poteaux électriques, les villes voisines ont pris une avance considérable en matière de développement urbain. Ces dernières, candidates pour accueillir des événements internationaux comme la Coupe du Monde, contrastent fortement avec El Jadida, qui semble condamnée à stagner dans un état de délabrement avancé.
La vidéo, largement partagée, a suscité l’indignation des citoyens et des acteurs locaux, appelant à une action rapide et efficace pour résoudre ce problème qui ternit l’image de la ville et compromet l’avenir de ses institutions éducatives.
Mohamed LOKHNATI