En dépit de ses vertus nutritionnelles et diététique, l’élevage de l’escargot dans la région des Doukkala reste encore une activité dans sa phase embryonnaire, quasiment étrangère au paysage, et des fois où elle existe quelque part, sa pratique reste très limitée ou principalement artisanale. La quasi-totalité du produit qu’offre le marché, n’est que le fruit du ramassage des escargots à l’état sauvage, que des dizaines d’occasionnels s’échinent à récolter pour les écouler à des intermédiaires à des prix dérisoires.
C’est dans cette perspective que l’Office Régional de Mise en Valeur Agricole Doukkala avait lancé, à Oulad Amrane, un projet pilote d’Héliciculture. Il s’agit d’un projet qui s’inscrit dans le cadre du Pilier II relevant de la nouvelle stratégie du Plan Maroc Vert, qui prévoit un accompagnement solidaire de la petite agriculture, avec comme principaux objectifs la lutte contre la pauvreté par le biais de la modernisation et le développement des sources alternatives de revenu. « Ciblant une frange de la population rurale de la Province de Sidi Bennour, ce projet dont la première phase lancée en 2015 bénéfice aux associations et est déjà opérationnel, indique un vétérinaire relevant de la Direction Régionale de l’Agriculture, notant que sa production saisonnière est de l’ordre de 20T/1000m2 ». Au total près d’une centaine de personnes, dont la majorité est constituée de femmes, bénéficient aujourd’hui de ce projet pilote à l’échelle nationale, précise la même source. « Le grand gris, le petit gris, la mourguette et l’escargot de jardin, sont les variétés d’escargots mis en culture par ces associations, relève un autre commerçant dans une déclaration à « L’Opinion ». Sa cuisson spéciale et sa bouillie, tellement délicieuse, en fait l’un des mets les plus prisés par les consommateurs, explique Fatima, une férue régulière de l’escargot à El Jadida.
L’escargot des Doukkala, comme les huîtres d’Oualidia, commence à devenir notoire par la qualité de ses espèces, mais surtout grâce aux mesures d’accompagnement et d’encadrement des personnes concernées, dont bénéficient les éleveurs durant tous les cycles de formation théorique et pratique qui leur sont généreusement dispensés, conclut la même source. L’objectif prôné par le ministère de tutelle est d’encourager les petits agriculteurs et surtout la femme rurale, d’où son engagement à assurer le financement de tout le matériel nécessaire au bon fonctionnement de ce nouveau modèle d’élevage dont on peut citer : les serres, les pompes à eau, un groupe électrogène ainsi le système de drainage.
C’est dans cette perspective que l’Office Régional de Mise en Valeur Agricole Doukkala avait lancé, à Oulad Amrane, un projet pilote d’Héliciculture. Il s’agit d’un projet qui s’inscrit dans le cadre du Pilier II relevant de la nouvelle stratégie du Plan Maroc Vert, qui prévoit un accompagnement solidaire de la petite agriculture, avec comme principaux objectifs la lutte contre la pauvreté par le biais de la modernisation et le développement des sources alternatives de revenu. « Ciblant une frange de la population rurale de la Province de Sidi Bennour, ce projet dont la première phase lancée en 2015 bénéfice aux associations et est déjà opérationnel, indique un vétérinaire relevant de la Direction Régionale de l’Agriculture, notant que sa production saisonnière est de l’ordre de 20T/1000m2 ». Au total près d’une centaine de personnes, dont la majorité est constituée de femmes, bénéficient aujourd’hui de ce projet pilote à l’échelle nationale, précise la même source. « Le grand gris, le petit gris, la mourguette et l’escargot de jardin, sont les variétés d’escargots mis en culture par ces associations, relève un autre commerçant dans une déclaration à « L’Opinion ». Sa cuisson spéciale et sa bouillie, tellement délicieuse, en fait l’un des mets les plus prisés par les consommateurs, explique Fatima, une férue régulière de l’escargot à El Jadida.
L’escargot des Doukkala, comme les huîtres d’Oualidia, commence à devenir notoire par la qualité de ses espèces, mais surtout grâce aux mesures d’accompagnement et d’encadrement des personnes concernées, dont bénéficient les éleveurs durant tous les cycles de formation théorique et pratique qui leur sont généreusement dispensés, conclut la même source. L’objectif prôné par le ministère de tutelle est d’encourager les petits agriculteurs et surtout la femme rurale, d’où son engagement à assurer le financement de tout le matériel nécessaire au bon fonctionnement de ce nouveau modèle d’élevage dont on peut citer : les serres, les pompes à eau, un groupe électrogène ainsi le système de drainage.
Mohamed LOKHNATI