
Chacun d’entre nous garde en mémoire ces files interminables à l’aéroport Mohammed V de Casablanca. Un véritable parcours du combattant, où les pas s’enchaînaient sans avancer, où chaque minute semblait une éternité, et où le stress du retard se mêlait à l’exaspération collective.
Dans l’espoir de mettre fin à ce calvaire et en prévision des grandes échéances sportives que le Maroc s’apprête à accueillir, l’Office national des aéroports (ONDA) a annoncé la suppression des dispositifs d’inspection superflus - scanners et portiques basés au niveau des entrées principales des aéroports-, promettant une circulation plus fluide, tout en offrant aux usagers un semblant de liberté dans cet espace autrefois synonyme de contrôles et de contraintes.
Cependant, la fluidité dans nos aéroports ne dépend pas uniquement du positionnement des scanners et autres portiques, surtout que la chaîne de gestion des flux aéroportuaire mobilise plusieurs acteurs institutionnels, notamment ceux en charge de la sécurité. La stratégie «Aéroports 2030», récemment dévoilée par Adel El Fakir, va certainement améliorer l’expérience des passagers, mais pour réellement l’optimiser, une synergie et une flexibilité accrues des services de sécurité, Sûreté nationale et douanes, s’imposent.
Mais d’ici là, force est d’admettre que cette nouvelle mesure, bien que modeste ou symbolique en apparence, reflète une évolution de paradigme qui pourrait déclencher un effet domino, impactant l’ensemble des systèmes de surveillance et de contrôle du pays. Dans ce sens, on souhaite qu’elle est annonciatrice de la suppression des multiples barrages routiers qui feraient réellement tache lors des futurs événements sportifs internationaux qui seront organisés dans notre pays et qui pourraient donner à nos visiteurs la mauvaise impression d’un Maroc en état de siège.
Aujourd’hui, avec les avancées fulgurantes de l’Intelligence Artificielle et de la reconnaissance faciale, la surveillance s’opère de plus en plus par l’œil invisible, infaillible et discret des salles de contrôles ultra sophistiquée. L’enjeu n’est plus de montrer ses muscles sécuritaires, mais de prouver que l’on sait conjuguer vigilance et fluidité, contrôle et liberté. Un défi pourtant à la hauteur des ambitions du Maroc, comme en témoigne sa stratégie, discrète et néanmoins fructueuse, contre le terrorisme.
Dans l’espoir de mettre fin à ce calvaire et en prévision des grandes échéances sportives que le Maroc s’apprête à accueillir, l’Office national des aéroports (ONDA) a annoncé la suppression des dispositifs d’inspection superflus - scanners et portiques basés au niveau des entrées principales des aéroports-, promettant une circulation plus fluide, tout en offrant aux usagers un semblant de liberté dans cet espace autrefois synonyme de contrôles et de contraintes.
Cependant, la fluidité dans nos aéroports ne dépend pas uniquement du positionnement des scanners et autres portiques, surtout que la chaîne de gestion des flux aéroportuaire mobilise plusieurs acteurs institutionnels, notamment ceux en charge de la sécurité. La stratégie «Aéroports 2030», récemment dévoilée par Adel El Fakir, va certainement améliorer l’expérience des passagers, mais pour réellement l’optimiser, une synergie et une flexibilité accrues des services de sécurité, Sûreté nationale et douanes, s’imposent.
Mais d’ici là, force est d’admettre que cette nouvelle mesure, bien que modeste ou symbolique en apparence, reflète une évolution de paradigme qui pourrait déclencher un effet domino, impactant l’ensemble des systèmes de surveillance et de contrôle du pays. Dans ce sens, on souhaite qu’elle est annonciatrice de la suppression des multiples barrages routiers qui feraient réellement tache lors des futurs événements sportifs internationaux qui seront organisés dans notre pays et qui pourraient donner à nos visiteurs la mauvaise impression d’un Maroc en état de siège.
Aujourd’hui, avec les avancées fulgurantes de l’Intelligence Artificielle et de la reconnaissance faciale, la surveillance s’opère de plus en plus par l’œil invisible, infaillible et discret des salles de contrôles ultra sophistiquée. L’enjeu n’est plus de montrer ses muscles sécuritaires, mais de prouver que l’on sait conjuguer vigilance et fluidité, contrôle et liberté. Un défi pourtant à la hauteur des ambitions du Maroc, comme en témoigne sa stratégie, discrète et néanmoins fructueuse, contre le terrorisme.