Comme annoncé sur nos colonnes il y a quelques jours, c’est en ce mercredi 4 mars que Saâdeddine El Othmani qui sera accompagné d’autres membres de l’exécutif dont notamment Abdelouafi Laftit, le ministre de l’Intérieur, reçoit les principaux partis marocains pour débattre autour de la prochaine réforme du système électoral dans notre pays. Cette rencontre vient en réponse à la requête adressée début février par le Parti de l’Istiqlal au chef du gouvernement, le pressant de mettre en oeuvre le chantier de réforme du cadre légal des élections dans notre pays.
Lettre de l’Istiqlal
Dans sa correspondance, l’Istiqlal avait appelé à ce que cette réforme soit opérée dans un esprit de dialogue constructif et selon une démarche participative incluant l’ensemble des formations politiques marocaines.
Le but étant d’aboutir à un cadre juridique et institutionnel concerté, régissant les prochains scrutins et à même de pallier les insuffisances du système actuel et ses précédents échecs dont le mémorable et déplorable épisode du blocage survenu après les élections de 2016 et qui avait valu au pays une coûteuse perte de temps et d’action.
Entre autres points importants soulevés dans la correspondance de l’Istiqlal, le parti avait mis l’accent sur la nécessaire mise à jour des règlements électoraux et des modes de scrutin, ainsi que sur le seuil électoral et la représentation des femmes et des jeunes.
Le but étant d’aboutir à un cadre juridique et institutionnel concerté, régissant les prochains scrutins et à même de pallier les insuffisances du système actuel et ses précédents échecs dont le mémorable et déplorable épisode du blocage survenu après les élections de 2016 et qui avait valu au pays une coûteuse perte de temps et d’action.
Entre autres points importants soulevés dans la correspondance de l’Istiqlal, le parti avait mis l’accent sur la nécessaire mise à jour des règlements électoraux et des modes de scrutin, ainsi que sur le seuil électoral et la représentation des femmes et des jeunes.
Année Marathon
Pour rappel, l’année 2021 qui se profile s’annonce comme une année marathon au vu du nombre important de scrutins qui y seront organisés.
C’est ainsi qu’en plus des élections législatives (Chambres des Représentants et des Conseillers) et communales, viendront s’ajouter celles relatives aux Chambres des régions, des provinces et des préfectures dont les mandats respectifs arrivent à échéance en 2021.
Ce qui augure d’un calendrier chargé aussi bien pour les formations politiques que pour les autorités chargées de veiller au bon déroulement de tous ces scrutins. Notamment et principalement l’Intérieur dont le ministre, Abdelouafi Laftit, qui avait assuré que des pourparlers allaient être menés par son département avec les différents acteurs et observateurs (formations politiques, candidats et opinion publique) concernés.
C’est ainsi qu’en plus des élections législatives (Chambres des Représentants et des Conseillers) et communales, viendront s’ajouter celles relatives aux Chambres des régions, des provinces et des préfectures dont les mandats respectifs arrivent à échéance en 2021.
Ce qui augure d’un calendrier chargé aussi bien pour les formations politiques que pour les autorités chargées de veiller au bon déroulement de tous ces scrutins. Notamment et principalement l’Intérieur dont le ministre, Abdelouafi Laftit, qui avait assuré que des pourparlers allaient être menés par son département avec les différents acteurs et observateurs (formations politiques, candidats et opinion publique) concernés.