Après des mois de concertation, les contours du prochain code électoral se font de plus en plus clairs. Le ministère de l’Intérieur et les partis politiques ont convenu d’organiser le scrutin un mercredi au mois de juin, c’est ce que nous ont confirmé des sources autorisées, soulignant que les élections législatives, régionales et locales se tiendront le même jour.
Il s’agit d’une revendication des partis de l’opposition et particulièrement le Parti de l’Istiqlal, le PAM et le PPS. Lesquels ont présenté un mémorandum commun où ils ont revendiqué cette mesure pour accroître la participation citoyenne. L’Intérieur leur a ainsi donné une réponse favorable.
Un autre changement a été admis et ce qui concerne la participation des jeunes. Les citoyens qui atteindront l’âge de majorité civile (18 ans), seront automatiquement inscrits dans les listes électorales, sans avoir besoin d’en faire une demande formelle, nous a confirmé la même source.
Les négociations sont toujours en cours entre le ministère de tutelle et les partis politiques, la réforme du quotient électoral n’en reste pas moins une entrave. Ce point constitue un point de désaccord au sein des partis de la majorité, dont un camp veut calculer le quotient sur la base des personnes inscrites sur les listes électorales, tandis que l’autre (le PJD en l’occurrence) s’obstine à vouloir garder le calcul en vigueur.
De leur côté, les partis de l’opposition, et notamment le parti de l’Istiqlal, veulent prendre en compte les bulletins non-valides, mais restent ouvert au débat.
Il s’agit d’une revendication des partis de l’opposition et particulièrement le Parti de l’Istiqlal, le PAM et le PPS. Lesquels ont présenté un mémorandum commun où ils ont revendiqué cette mesure pour accroître la participation citoyenne. L’Intérieur leur a ainsi donné une réponse favorable.
Un autre changement a été admis et ce qui concerne la participation des jeunes. Les citoyens qui atteindront l’âge de majorité civile (18 ans), seront automatiquement inscrits dans les listes électorales, sans avoir besoin d’en faire une demande formelle, nous a confirmé la même source.
Les négociations sont toujours en cours entre le ministère de tutelle et les partis politiques, la réforme du quotient électoral n’en reste pas moins une entrave. Ce point constitue un point de désaccord au sein des partis de la majorité, dont un camp veut calculer le quotient sur la base des personnes inscrites sur les listes électorales, tandis que l’autre (le PJD en l’occurrence) s’obstine à vouloir garder le calcul en vigueur.
De leur côté, les partis de l’opposition, et notamment le parti de l’Istiqlal, veulent prendre en compte les bulletins non-valides, mais restent ouvert au débat.