Cette présentation a porté sur le projet de ce plan gouvernemental, auquel une enveloppe budgétaire exceptionnelle de 14 milliards de dirhams (MMDH) a été allouée au titre de l'année 2025, afin de faire face aux nouveaux défis du marché du travail, notamment ceux liés aux changements climatiques devenus structurels, ainsi qu'aux répercussions des transformations économiques et sociales engendrées par la crise du Covid-19 et les tensions géostratégiques mondiales, a fait savoir le ministre délégué chargé des Relations avec le Parlement, porte-parole du gouvernement, Mustapha Baitas, lors d'un point de presse à l'issue du Conseil.
Dans ce sens, a poursuivi le ministre, ladite présentation a rappelé que le gouvernement a mené de larges consultations selon une approche participative, impliquant les secteurs productifs et sociaux ainsi que divers acteurs, en particulier les employeurs via la Confédération générale des entreprises du Maroc (CGEM), dans l'objectif de partager un diagnostic approfondi et d'identifier avec précision les initiatives et programmes d'intervention.
Ce travail, qui a nécessité près de six mois, a abouti à la définition de programmes précis répartis en plusieurs axes, dont le soutien à l'investissement, à travers un nouveau dispositif gouvernemental encourageant les petites et moyennes entreprises (PME) à créer des emplois, en complément de la Charte de l'investissement, tout en poursuivant l'appui aux grands investissements.
Il s'agit aussi de la restructuration et de l'élargissement des programmes actifs d'emploi pour inclure les non-diplômés, via une nouvelle offre gouvernementale destinée à toutes les catégories de demandeurs d'emploi par l'intermédiaire de l'Agence nationale de promotion de l'emploi et des compétences (ANAPEC). Cette offre sera appuyée par un nouveau programme de formation en apprentissage dans plusieurs secteurs.
En outre, une nouvelle offre gouvernementale sera proposée pour la population du monde rural, notamment les petits agriculteurs et les éleveurs, à travers des projets locaux générateurs de revenus, visant à créer et stabiliser les emplois.
Par ailleurs, M. Sekkouri a souligné que ce plan d'action comprend également des mesures importantes pour réduire le taux d'abandon scolaire, restructurer les parcours de formation et instaurer une gouvernance de nouvelle génération basée sur la collecte et l'analyse des données du marché du travail, ainsi que sur la mobilisation des différents départements ministériels et partenaires dans le cadre d'engagements contractuels, suivis par un comité interministériel présidé par le chef du gouvernement.
Lors de cette réunion du Conseil de gouvernement, les principaux axes du plan d'action gouvernemental pour l'emploi ont été présentés et discutés, avec la perspective de son adoption dans les prochaines semaines.
Dans ce sens, a poursuivi le ministre, ladite présentation a rappelé que le gouvernement a mené de larges consultations selon une approche participative, impliquant les secteurs productifs et sociaux ainsi que divers acteurs, en particulier les employeurs via la Confédération générale des entreprises du Maroc (CGEM), dans l'objectif de partager un diagnostic approfondi et d'identifier avec précision les initiatives et programmes d'intervention.
Ce travail, qui a nécessité près de six mois, a abouti à la définition de programmes précis répartis en plusieurs axes, dont le soutien à l'investissement, à travers un nouveau dispositif gouvernemental encourageant les petites et moyennes entreprises (PME) à créer des emplois, en complément de la Charte de l'investissement, tout en poursuivant l'appui aux grands investissements.
Il s'agit aussi de la restructuration et de l'élargissement des programmes actifs d'emploi pour inclure les non-diplômés, via une nouvelle offre gouvernementale destinée à toutes les catégories de demandeurs d'emploi par l'intermédiaire de l'Agence nationale de promotion de l'emploi et des compétences (ANAPEC). Cette offre sera appuyée par un nouveau programme de formation en apprentissage dans plusieurs secteurs.
En outre, une nouvelle offre gouvernementale sera proposée pour la population du monde rural, notamment les petits agriculteurs et les éleveurs, à travers des projets locaux générateurs de revenus, visant à créer et stabiliser les emplois.
Par ailleurs, M. Sekkouri a souligné que ce plan d'action comprend également des mesures importantes pour réduire le taux d'abandon scolaire, restructurer les parcours de formation et instaurer une gouvernance de nouvelle génération basée sur la collecte et l'analyse des données du marché du travail, ainsi que sur la mobilisation des différents départements ministériels et partenaires dans le cadre d'engagements contractuels, suivis par un comité interministériel présidé par le chef du gouvernement.
Lors de cette réunion du Conseil de gouvernement, les principaux axes du plan d'action gouvernemental pour l'emploi ont été présentés et discutés, avec la perspective de son adoption dans les prochaines semaines.