La préfecture de police de Paris a ouvert une enquête administrative après les violences exercées samedi par des forces de l’ordre sur trois journalistes en marge de la manifestation organisée par la comité « Vérité pour Adama », selon une information relayée dimanche par BFMTV.
« Une enquête administrative a été ouverte immédiatement, afin d'établir avec exactitude les circonstances des faits, concomitants à des interpellations que le préfet de police assume pleinement, les violences commises contre les forces de l'ordre, survenues en plus dans le contexte d'une manifestation interdite, étant intolérables », a fait savoir la préfecture citée par la même source.
Ces violences, filmées par l’agence Anadolu, montrent les journalistes Clément Lanot, Pierre Tremblay et Florian Poitout, violemment pris à partie avant d’être projetés au sol par des agents de la brigade de répression de l’action violente motorisée (BRAV-M), alors qu’ils étaient parfaitement identifiables et criaient qu’ils étaient journalistes.
Dans un communiqué de presse publié dès samedi, Florian Poitout a annoncé qu’il saisissait l’IGPN, suite à des violences à son encontre et à la détérioration de son matériel.
De son côté, Clément Lanot a fait savoir, que « ce n’est pas la première fois » que cette brigade prenait pour cible des journalistes « clairement identifiables ».
Le HuffPost, pour lequel travaille Pierre Tremblay, a pour sa part dénoncé des violences « scandaleuses et inacceptables ».
« Une enquête administrative a été ouverte immédiatement, afin d'établir avec exactitude les circonstances des faits, concomitants à des interpellations que le préfet de police assume pleinement, les violences commises contre les forces de l'ordre, survenues en plus dans le contexte d'une manifestation interdite, étant intolérables », a fait savoir la préfecture citée par la même source.
Ces violences, filmées par l’agence Anadolu, montrent les journalistes Clément Lanot, Pierre Tremblay et Florian Poitout, violemment pris à partie avant d’être projetés au sol par des agents de la brigade de répression de l’action violente motorisée (BRAV-M), alors qu’ils étaient parfaitement identifiables et criaient qu’ils étaient journalistes.
Dans un communiqué de presse publié dès samedi, Florian Poitout a annoncé qu’il saisissait l’IGPN, suite à des violences à son encontre et à la détérioration de son matériel.
De son côté, Clément Lanot a fait savoir, que « ce n’est pas la première fois » que cette brigade prenait pour cible des journalistes « clairement identifiables ».
Le HuffPost, pour lequel travaille Pierre Tremblay, a pour sa part dénoncé des violences « scandaleuses et inacceptables ».