La performance de l'athlète dépend de plusieurs facteurs, dont un entraînement régulier et intense plusieurs fois par jour, une nutrition appropriée et équilibrée, a souligné M. Badahi dans un entretien accordé à la MAP, mettant l'accent sur les conditions climatiques (chaleur, humidité, variations d'altitude par rapport au niveau de la mer) qui peuvent également avoir des effets physiologiques sur les performances de l'athlète.
Le médecin a expliqué que le sportif professionnel, qui cherche à obtenir des performances remarquables lors de compétitions où le niveau de compétitivité est élevé, comme les Jeux Olympiques et les Championnats du Monde, est généralement accompagné par un staff composé notamment d'un médecin du sport, d'un nutritionniste, d'un masseur et d'un coach mental.
Durant cette période de confinement, poursuit M. Badahi, l'entraînement des sportifs a perdu de son intensité et sa régularité, ce qui se traduit par une baisse de la masse musculaire des athlètes et une augmentation de la masse graisseuse souvent au niveau abdominal. Ainsi dans ce cas, la proportion de calories ingérées grâce à la nutrition dépasse le niveau d'exercice physique effectué par l'athlète à domicile, a-t-il ajouté.
À cet égard, il a appelé les staffs à accompagner les athlètes durant cette période de confinement, superviser leurs entraînements et surveiller constamment leur poids. Il a également mis l'accent sur la nécessité de mesurer la fréquence cardiaque de repos des sportifs, précisant que plus la fréquence cardiaque au repos baisse, plus le sportif dispose d'une bonne condition physique.
Également nutritionniste, M. Badahi a souligné que le confinement peut également provoquer des troubles du comportement alimentaire chez l'athlète qui s'offre des collations entre les repas principaux, provoquant ainsi un déséquilibre dans le régime alimentaire tracé par son nutritionniste. Ces collations contiennent souvent des sucres, scientifiquement appelés "calories vides", a-t-il ajouté.
D'autre part, il a indiqué que les athlètes doivent être soumis à des tests après la période de confinement avant d'entamer les entraînements de manière progressive pour éviter le risque de blessures (déchirure musculaire, maux de dos, etc) et mesurer le niveau physique qui dépendra des exercices effectués, du régime alimentaire et de la qualité de sommeil de chaque sportif. A la lumière de ces tests et observations, un programme spécifique d'entraînement est tracé pour chaque athlète afin de retrouver son plus haut niveau physique en prévision des compétitions continentales et mondiales à venir, a-t-il noté. Depuis mars dernier, le monde du sport a connu une paralysie quasi-totale en raison de la pandémie de coronavirus, obligeant les sportifs à se confiner chez eux. Cette situation, qui a perturbé la routine quotidienne des athlètes, a obligé les entraîneurs, les nutritionnistes et les coachs mentaux à préparer des programmes hebdomadaires d'entraînement outre l'organisation de tournois virtuels pour surmonter les effets du confinement le physique des sportifs.
Le médecin a expliqué que le sportif professionnel, qui cherche à obtenir des performances remarquables lors de compétitions où le niveau de compétitivité est élevé, comme les Jeux Olympiques et les Championnats du Monde, est généralement accompagné par un staff composé notamment d'un médecin du sport, d'un nutritionniste, d'un masseur et d'un coach mental.
Durant cette période de confinement, poursuit M. Badahi, l'entraînement des sportifs a perdu de son intensité et sa régularité, ce qui se traduit par une baisse de la masse musculaire des athlètes et une augmentation de la masse graisseuse souvent au niveau abdominal. Ainsi dans ce cas, la proportion de calories ingérées grâce à la nutrition dépasse le niveau d'exercice physique effectué par l'athlète à domicile, a-t-il ajouté.
À cet égard, il a appelé les staffs à accompagner les athlètes durant cette période de confinement, superviser leurs entraînements et surveiller constamment leur poids. Il a également mis l'accent sur la nécessité de mesurer la fréquence cardiaque de repos des sportifs, précisant que plus la fréquence cardiaque au repos baisse, plus le sportif dispose d'une bonne condition physique.
Également nutritionniste, M. Badahi a souligné que le confinement peut également provoquer des troubles du comportement alimentaire chez l'athlète qui s'offre des collations entre les repas principaux, provoquant ainsi un déséquilibre dans le régime alimentaire tracé par son nutritionniste. Ces collations contiennent souvent des sucres, scientifiquement appelés "calories vides", a-t-il ajouté.
D'autre part, il a indiqué que les athlètes doivent être soumis à des tests après la période de confinement avant d'entamer les entraînements de manière progressive pour éviter le risque de blessures (déchirure musculaire, maux de dos, etc) et mesurer le niveau physique qui dépendra des exercices effectués, du régime alimentaire et de la qualité de sommeil de chaque sportif. A la lumière de ces tests et observations, un programme spécifique d'entraînement est tracé pour chaque athlète afin de retrouver son plus haut niveau physique en prévision des compétitions continentales et mondiales à venir, a-t-il noté. Depuis mars dernier, le monde du sport a connu une paralysie quasi-totale en raison de la pandémie de coronavirus, obligeant les sportifs à se confiner chez eux. Cette situation, qui a perturbé la routine quotidienne des athlètes, a obligé les entraîneurs, les nutritionnistes et les coachs mentaux à préparer des programmes hebdomadaires d'entraînement outre l'organisation de tournois virtuels pour surmonter les effets du confinement le physique des sportifs.