Soucieuse de son aspect environnemental, d’importantes sommes ont été allouées à plusieurs projets dans l’espoir de répondre aux aspirations de la métropole, et d’améliorer la qualité de vie des Bidaouas.
Ainsi, la commune de Casablanca a consacré une grande partie de son attention à plusieurs projets liés à la préparation et à la réhabilitation de plusieurs parcs et jardins de la ville. Les projets réalisés ou en cours sont les suivants:
Au premier rang, on retrouve la réhabilitation du parc de la Ligue Arabe, parc historique de la ville blanche, et le plus grand espace vert urbain du centre-ville d’Afrique depuis le début du siècle dernier, avec une superficie de plus de 30 hectares.
Le maître d’ouvrage Casa-Aménagement assure que le projet de réhabilitation et de mise à niveau du Parc de la Ligue Arabe, sera réalisé dans le respect des fondamentaux paysagers du début du siècle précédent, ainsi que des standards les plus contemporains en terme de protection de l’environnement, d’équipements et de loisirs.
Le coût de cette réhabilitation s’est élevé à 100 millions de dirhams, dans un partenariat entre la Commune de Casablanca, le Conseil de Région et la Direction Générale des Collectivités Locales. Ce projet s’inscrit dans le cadre du Programme de Développement du Grand Casablanca.
Par ailleurs, et toujours dans le cadre du programme de développement du Grand Casablanca, l’ancien parc zoologique d’Aïn Sebaâ, patrimoine environnemental et récréatif de la ville depuis plus de 80 ans, a été réhabilité en un zoo moderne répondant aux normes internationales. En partenariat entre la communauté, le Conseil régional et la Direction Générale des Collectivités Locales, l’édifice s’étend sur une superficie de 10 hectares, pour un coût de 250 millions de dirhams. Dans le même contexte, de nombreux autres parcs ont été réhabilités, comme le parc CasaNearshore à Aïn Chok, s’étalant sur une superficie de 5,5 hectares, pour lequel le coût financier est estimé à 1,8 million de dirhams.
On peut également citer le parc de Palestine au Belvédère, un espace de 1,5 hectare, pour un coût de 6,12 millions de dirhams, ainsi que le parc de l’Afrique dont la superficie est de 2,32 hectares, pour un montant de 8,86 millions de dirhams, en plus d’autres espaces que la commune de Casablanca continue de développer et transformer.
Ces actions vont non seulement améliorer le côté esthétique de la ville, mais auront également un impact écologique positif.
Ainsi, la commune de Casablanca a consacré une grande partie de son attention à plusieurs projets liés à la préparation et à la réhabilitation de plusieurs parcs et jardins de la ville. Les projets réalisés ou en cours sont les suivants:
Au premier rang, on retrouve la réhabilitation du parc de la Ligue Arabe, parc historique de la ville blanche, et le plus grand espace vert urbain du centre-ville d’Afrique depuis le début du siècle dernier, avec une superficie de plus de 30 hectares.
Le maître d’ouvrage Casa-Aménagement assure que le projet de réhabilitation et de mise à niveau du Parc de la Ligue Arabe, sera réalisé dans le respect des fondamentaux paysagers du début du siècle précédent, ainsi que des standards les plus contemporains en terme de protection de l’environnement, d’équipements et de loisirs.
Le coût de cette réhabilitation s’est élevé à 100 millions de dirhams, dans un partenariat entre la Commune de Casablanca, le Conseil de Région et la Direction Générale des Collectivités Locales. Ce projet s’inscrit dans le cadre du Programme de Développement du Grand Casablanca.
Par ailleurs, et toujours dans le cadre du programme de développement du Grand Casablanca, l’ancien parc zoologique d’Aïn Sebaâ, patrimoine environnemental et récréatif de la ville depuis plus de 80 ans, a été réhabilité en un zoo moderne répondant aux normes internationales. En partenariat entre la communauté, le Conseil régional et la Direction Générale des Collectivités Locales, l’édifice s’étend sur une superficie de 10 hectares, pour un coût de 250 millions de dirhams. Dans le même contexte, de nombreux autres parcs ont été réhabilités, comme le parc CasaNearshore à Aïn Chok, s’étalant sur une superficie de 5,5 hectares, pour lequel le coût financier est estimé à 1,8 million de dirhams.
On peut également citer le parc de Palestine au Belvédère, un espace de 1,5 hectare, pour un coût de 6,12 millions de dirhams, ainsi que le parc de l’Afrique dont la superficie est de 2,32 hectares, pour un montant de 8,86 millions de dirhams, en plus d’autres espaces que la commune de Casablanca continue de développer et transformer.
Ces actions vont non seulement améliorer le côté esthétique de la ville, mais auront également un impact écologique positif.
Kenza AZIOUZI