De passage à la Chambre des Conseillers, le Chef du gouvernement, Aziz Akhannouch, a réagi à la grève générale annoncée par les centrales syndicales.
Devant les groupes parlementaires de la deuxième de Chambre, dans lesquels siègent des représentants syndicaux, le Chef de l'Exécutif a tenté de les rassurer, en leur adressant un message d'apaisement. " Notre relations avec les syndicats est trop forte et dépasse le débat sur le droit de grève", a-t-il déclaré, ajoutant que le gouvernement respecte les syndicats.
"Vous avez pu constater à quel point le gouvernement a été sincère durant les discussions", a-t-il poursuivi.
Concernant la loi organique relative au droit de grève qui cristallise de le débat et contre laquelle ont voté plusieurs syndicats, Aziz Akhannouch a rappelé qu'il s'agit d'une loi d'équilibre issue d'un long parcours de dialogue social. Il a souligné que le gouvernement a fait le maximum possible pour concilier les points de vue et trouver le juste milieu.
Selon lui, le projet de loi était censé être voté dès le mois de juillet dernier conformément aux engagements pris par les partenaires sociaux dans l'accord social du 29 avril 2024. "Le texte donne désormais une vision claire à l'investisseur et élargit assez largement le champs d'exercice de grève, je comprends que les syndicats veuillent obtenir plus mais il s'agit d'une première étape importante", a dit le Chef du gouvernement, qui a réitéré la volonté du gouvernement de poursuivre le dialogue social.
Les mots doux du Chef du gouvernement semblent avoir eu l'effet escompté. En témoigne les accolades chaleureuses à l'issue de la séance plénière entre lui et des parlementaires, dont ceux de l'UMT qui ont boycotté le vote du projet de loi sur le droit de grève. Le texte, rappelons-le, a finalement a été voté, lundi, à la chambre des Conseillers avant d'être approuvé en commission en deuxième lecture à la Chambre des représentants un jour plus tard.
"Vous avez pu constater à quel point le gouvernement a été sincère durant les discussions", a-t-il poursuivi.
Concernant la loi organique relative au droit de grève qui cristallise de le débat et contre laquelle ont voté plusieurs syndicats, Aziz Akhannouch a rappelé qu'il s'agit d'une loi d'équilibre issue d'un long parcours de dialogue social. Il a souligné que le gouvernement a fait le maximum possible pour concilier les points de vue et trouver le juste milieu.
Selon lui, le projet de loi était censé être voté dès le mois de juillet dernier conformément aux engagements pris par les partenaires sociaux dans l'accord social du 29 avril 2024. "Le texte donne désormais une vision claire à l'investisseur et élargit assez largement le champs d'exercice de grève, je comprends que les syndicats veuillent obtenir plus mais il s'agit d'une première étape importante", a dit le Chef du gouvernement, qui a réitéré la volonté du gouvernement de poursuivre le dialogue social.
Les mots doux du Chef du gouvernement semblent avoir eu l'effet escompté. En témoigne les accolades chaleureuses à l'issue de la séance plénière entre lui et des parlementaires, dont ceux de l'UMT qui ont boycotté le vote du projet de loi sur le droit de grève. Le texte, rappelons-le, a finalement a été voté, lundi, à la chambre des Conseillers avant d'être approuvé en commission en deuxième lecture à la Chambre des représentants un jour plus tard.