Il s’agirait du « premier atelier illégal de fabrication d’armes par impression en 3D en Espagne », selon le communiqué de la police, qui fait état de l’arrestation d’une personne, non identifiée, pour les délits présumés de détention illégale d’armes et de dépôt d’explosifs.
Lors des perquisitions effectuées dans l’atelier, les agents ont confisqué « deux imprimantes 3D, 11 bobines de filament pour imprimante 3D et de nombreux dispositifs informatiques utilisés pour la fabrication » d’armes.
Ils ont également trouvé de nombreuses pièces d’armes fabriquées à l’aide des imprimantes 3D, des manuels sur l’utilisation des armes et des « substances chimiques susceptibles d’être utilisées dans l’élaboration d’engins explosifs », ce qui a nécessité la participation d’une équipe de déminage de la police.
Lors de l’opération, les agents ont vu l’une des imprimantes en pleine activité, « imprimant une armature de fusil court, qui était pratiquement terminée », précise le communiqué.
La police a démantelé l'atelier en septembre dernier, mais le tribunal chargé de l'enquête avait jusqu'à présent gardé cette affaire sous le secret de l'instruction.
Lors des perquisitions effectuées dans l’atelier, les agents ont confisqué « deux imprimantes 3D, 11 bobines de filament pour imprimante 3D et de nombreux dispositifs informatiques utilisés pour la fabrication » d’armes.
Ils ont également trouvé de nombreuses pièces d’armes fabriquées à l’aide des imprimantes 3D, des manuels sur l’utilisation des armes et des « substances chimiques susceptibles d’être utilisées dans l’élaboration d’engins explosifs », ce qui a nécessité la participation d’une équipe de déminage de la police.
Lors de l’opération, les agents ont vu l’une des imprimantes en pleine activité, « imprimant une armature de fusil court, qui était pratiquement terminée », précise le communiqué.
La police a démantelé l'atelier en septembre dernier, mais le tribunal chargé de l'enquête avait jusqu'à présent gardé cette affaire sous le secret de l'instruction.