Les affaires suspicieuses du fils du président américain, Hunter Biden, aux prises avec la justice, ont motivé les républicains à enquêter sur des allégations « d’abus de pouvoir, d’obstruction et de corruption ».
Neuf mois après l'élection contestée de Kevin McCarthy à sa tête, la majorité républicaine à la Chambre des représentants des États-Unis lance une enquête à destitution à l'encontre du président démocrate Joe Biden. « Il y a des allégations d’abus de pouvoir, d’obstruction et de corruption. Elles justifient une enquête plus approfondie de la part de la Chambre des représentants », a expliqué leur chef de file aux médias américains, relayés mardi soir par l'Agence France-Presse, depuis les couloirs du capitole.
Une référence aux soupçons de trafic d'influence entourant les activités de Hunter Biden en Ukraine et en Chine lorsque son père Joe Biden était vice-président sous Barack Obama (2008 à 2016). Pour l'heure, aucune preuve ni témoignage public n'a encore étayé ces soupçons, selon la justice américaine.
Après la confirmation de l'ouverture de cette enquête, l'un des porte-parole de la Maison-Blanche, Ian Sams, a déclaré que « Les républicains de la Chambre des représentants enquêtent sur le président depuis neuf mois et n'ont pas trouvé une seule preuve d'actes répréhensibles. [...] [C'est] une manipulation politique flagrante ». Il a également dénoncé le fait que Kevin McCarthy n'a pas soumis son initiative au vote de la Chambre, comme il l'avait promis il y a dix jours, car il n'aurait, selon ce représentant, pas eu la majorité nécessaire.
Neuf mois après l'élection contestée de Kevin McCarthy à sa tête, la majorité républicaine à la Chambre des représentants des États-Unis lance une enquête à destitution à l'encontre du président démocrate Joe Biden. « Il y a des allégations d’abus de pouvoir, d’obstruction et de corruption. Elles justifient une enquête plus approfondie de la part de la Chambre des représentants », a expliqué leur chef de file aux médias américains, relayés mardi soir par l'Agence France-Presse, depuis les couloirs du capitole.
Une référence aux soupçons de trafic d'influence entourant les activités de Hunter Biden en Ukraine et en Chine lorsque son père Joe Biden était vice-président sous Barack Obama (2008 à 2016). Pour l'heure, aucune preuve ni témoignage public n'a encore étayé ces soupçons, selon la justice américaine.
Après la confirmation de l'ouverture de cette enquête, l'un des porte-parole de la Maison-Blanche, Ian Sams, a déclaré que « Les républicains de la Chambre des représentants enquêtent sur le président depuis neuf mois et n'ont pas trouvé une seule preuve d'actes répréhensibles. [...] [C'est] une manipulation politique flagrante ». Il a également dénoncé le fait que Kevin McCarthy n'a pas soumis son initiative au vote de la Chambre, comme il l'avait promis il y a dix jours, car il n'aurait, selon ce représentant, pas eu la majorité nécessaire.