Peuplée de jeunes pépites et de sacrés vétérans, la sélection espagnole entend confirmer son rebond post-Mondial lors de l’Euro-2024 en misant sur un bon mix entre la flamme de la passion des jeunes et l’expérience de vétérans.
Avec une nouvelle génération de jeunes talents (Pedri, Yamal, Williams...), la Roja, seule équipe à avoir conservé son titre (2008 et 2012), semble prête à renouer avec la belle époque de sa génération dorée (Xavi, Iniesta, Sergio Ramos...) pour remonter sur le trône du football européen.
L’équipe d’Espagne va se présenter en Allemagne comme un outsider, avec une ossature plutôt solide après avoir remporté la Ligue des nations 2023 tout en terminant première de son groupe de qualifications.
«Notre plus grand atout c’est que nous sommes une équipe, une famille, sur le terrain et en dehors. Nous sommes très unis. (...) Il n’y a pas qu’un seul leader. Le leader c’est l’équipe dans son ensemble, c’est ce qui nous différencie des autres sélections», a souligné le milieu de terrain espagnol Pedri en conférence de presse au camp de base espagnol à Donaueschingen, dans le Sud-Ouest de l’Allemagne.
Partie pour convaincre dans un «groupe de la mort» avec l’Italie, la Croatie et l’Albanie, l’Espagne va compter sur la solidité de sa défense, la technicité de son milieu de terrain et l’efficacité de ses attaquants pour aller plus loin dans cette compétition.
«Notre mentalité ? Gagner pour que l’Espagne revienne au premier rang», a déclaré à la presse le milieu de terrain de Manchester City, Rodri. «Nous avons montré qu’il était très difficile de battre l’Espagne. C’est une phase de groupes compliquée, mais nous allons là-bas sans penser au-delà mais sachant que l’objectif est de gagner», a-t-il ajouté.
A trois jours de leur entrée en lice face à la Croatie, le 15 juin à Berlin, la 8e nation au classement mondial affiche progrès et solidité depuis l’arrivée en décembre 2022 du sélectionneur Luis De la Fuente, qui a disputé 13 matches à la tête de la sélection, avec un bilan de neuf victoires, deux nuls et deux défaites.
Confortés par l’expérimenté sévillan Jesús Navas et le défenseur de l’Athletic Club Dani Vivian, les deux centraux Aymeric Laporte et Robin Le Normand forment une charnière convaincante, bien complétée par l’inoxydable latéral droite du Real Madrid Dani Carvajal et les défenseurs de Chelsea Marc Cucurella et du Bayer Leverkusen Alejandro Grimaldo. «On a sur les ailes des joueurs très déséquilibrants et surtout en grande forme, qui vont créer beaucoup de danger», estime le latéral du Bayer Leverkusen, bien placé pour être titulaire à gauche après une saison exceptionnelle en Allemagne. A côté de Rodri en milieu de terrain, le sélectionneur Luis De la Fuente fait toute sa confiance en son coéquipier Pedri, même s’il n’a plus joué sous le maillot de la Roja depuis la Coupe du monde au Qatar en raison de blessures successives.
«Je vais vous faire une confidence: Pedri est de retour», a affirmé De la Fuente, alors que les médias espagnols estiment que le milieu offensif de 21 ans pourrait donner un «autre visage» à son équipe.
«Je vais vous faire une confidence: Pedri est de retour», a affirmé De la Fuente, alors que les médias espagnols estiment que le milieu offensif de 21 ans pourrait donner un «autre visage» à son équipe.
Le technicien espagnol est parvenu à accompagner l’éclosion de ses jeunes talents tout en impliquant ses vétérans vieillissantes au moment opportun. «Nous avons une équipe unie, de qualité, jeune, avec de l’ambition, où il n’y a pas de star comme dans d’autres équipes, mais notre force est le groupe, et ce sera la clé», a déclaré à la presse l’ex-international espagnol Albert Ferrer.
Invaincue depuis plus d’un an en compétition officielle, la sélection espagnole est arrivée en Allemagne en pleine confiance après deux démonstrations contre Andorre (5-0) et l’Irlande du Nord (5-1).
Avec une nouvelle génération de jeunes talents (Pedri, Yamal, Williams...), la Roja, seule équipe à avoir conservé son titre (2008 et 2012), semble prête à renouer avec la belle époque de sa génération dorée (Xavi, Iniesta, Sergio Ramos...) pour remonter sur le trône du football européen.
L’équipe d’Espagne va se présenter en Allemagne comme un outsider, avec une ossature plutôt solide après avoir remporté la Ligue des nations 2023 tout en terminant première de son groupe de qualifications.
«Notre plus grand atout c’est que nous sommes une équipe, une famille, sur le terrain et en dehors. Nous sommes très unis. (...) Il n’y a pas qu’un seul leader. Le leader c’est l’équipe dans son ensemble, c’est ce qui nous différencie des autres sélections», a souligné le milieu de terrain espagnol Pedri en conférence de presse au camp de base espagnol à Donaueschingen, dans le Sud-Ouest de l’Allemagne.
Partie pour convaincre dans un «groupe de la mort» avec l’Italie, la Croatie et l’Albanie, l’Espagne va compter sur la solidité de sa défense, la technicité de son milieu de terrain et l’efficacité de ses attaquants pour aller plus loin dans cette compétition.
«Notre mentalité ? Gagner pour que l’Espagne revienne au premier rang», a déclaré à la presse le milieu de terrain de Manchester City, Rodri. «Nous avons montré qu’il était très difficile de battre l’Espagne. C’est une phase de groupes compliquée, mais nous allons là-bas sans penser au-delà mais sachant que l’objectif est de gagner», a-t-il ajouté.
A trois jours de leur entrée en lice face à la Croatie, le 15 juin à Berlin, la 8e nation au classement mondial affiche progrès et solidité depuis l’arrivée en décembre 2022 du sélectionneur Luis De la Fuente, qui a disputé 13 matches à la tête de la sélection, avec un bilan de neuf victoires, deux nuls et deux défaites.
Confortés par l’expérimenté sévillan Jesús Navas et le défenseur de l’Athletic Club Dani Vivian, les deux centraux Aymeric Laporte et Robin Le Normand forment une charnière convaincante, bien complétée par l’inoxydable latéral droite du Real Madrid Dani Carvajal et les défenseurs de Chelsea Marc Cucurella et du Bayer Leverkusen Alejandro Grimaldo. «On a sur les ailes des joueurs très déséquilibrants et surtout en grande forme, qui vont créer beaucoup de danger», estime le latéral du Bayer Leverkusen, bien placé pour être titulaire à gauche après une saison exceptionnelle en Allemagne. A côté de Rodri en milieu de terrain, le sélectionneur Luis De la Fuente fait toute sa confiance en son coéquipier Pedri, même s’il n’a plus joué sous le maillot de la Roja depuis la Coupe du monde au Qatar en raison de blessures successives.
«Je vais vous faire une confidence: Pedri est de retour», a affirmé De la Fuente, alors que les médias espagnols estiment que le milieu offensif de 21 ans pourrait donner un «autre visage» à son équipe.
«Je vais vous faire une confidence: Pedri est de retour», a affirmé De la Fuente, alors que les médias espagnols estiment que le milieu offensif de 21 ans pourrait donner un «autre visage» à son équipe.
Le technicien espagnol est parvenu à accompagner l’éclosion de ses jeunes talents tout en impliquant ses vétérans vieillissantes au moment opportun. «Nous avons une équipe unie, de qualité, jeune, avec de l’ambition, où il n’y a pas de star comme dans d’autres équipes, mais notre force est le groupe, et ce sera la clé», a déclaré à la presse l’ex-international espagnol Albert Ferrer.
Invaincue depuis plus d’un an en compétition officielle, la sélection espagnole est arrivée en Allemagne en pleine confiance après deux démonstrations contre Andorre (5-0) et l’Irlande du Nord (5-1).
