« C’est une expérience réussie qui a donné de très bons résultats, en utilisant le diagnostic rapide avec les tests sérologiques, qui montre le niveau de circulation du virus au niveau des quartiers et surtout d’une population vulnérable », s’est félicité le ministre, dans une déclaration à la presse, en marge d’une visite à des centres de santé urbains qui effectuent les tests sérologiques pour la Covid-19.
Cette approche, a-t-il assuré, permet une prise en charge des cas positifs dans les plus brefs délais, afin d’endiguer éventuellement la circulation du virus.
M. Ait Taleb n’a pas manqué de mettre en valeur les efforts déployés par les autorités locales et les professionnels de la santé, ainsi que par la société civile, qui se sont mobilisés à des moments où la région connaissait une recrudescence des cas positifs au Covid-19, en raison de la mobilité de la population, notamment lors des périodes de festivités, dont l’Aid el Kebir et les fins de vacances. Parmi les facteurs qui ont favorisé la maitrise de la situation épidémiologique dans la région et notamment à Fès, le ministre a cité, entre autres, « l’anticipation, le suivi du protocole médical et l’approche de proximité, laquelle a permis d’accompagner la population de manière très proche ».
Accompagné du wali de la région de Fès-Meknès, Saïd Zniber, le ministre s’est rendu aux différentes structures et dépendances des centres de santé Jnanat et Massira2. Le centre de santé urbain niveau 1 de Jananat comprend des unités de l’enfant et de la mère, de la planification familiale, des maladies chroniques et transmissibles, de la lutte contre la tuberculose et celle du test VIH, outre l’unité de dépistage de la Covid-19.
Restauré en 2019 par le ministère de la santé, cette structure médicale a bénéficié à 80.123 personnes.
Le Centre de santé urbain Massira2, qui profite à plus de 40 mille personnes, comprend notamment des unités de la mère et de l’enfant, de la planification familiale, du suivi de la grossesse, des maladies chroniques et une unité de consultation, outre le dépistage de la Covid-19.
Par la même occasion, le ministre de la santé a procédé au lancement officiel des services de l’unité mobile médicalisée destinée au dépistage rapide de la Covid-19, acquise en partenariat avec l’Initiative nationale pour le développement Humain.
D’un coût global de plus de 2,02 millions de DH, cette structure qui tend à améliorer et élargir l’offre des soins de santé au niveau de la préfecture de Fès est aménagée en trois compartiments équipés, à savoir « compartiment salle de consultation gynécologique », « compartiment salle de laboratoire » et « compartiment salle ophtalmologique-bloc opératoire ».
Ce projet est financé dans le cadre du programme de rattrapage des déficits en infrastructures et services sociaux de base.
Cette approche, a-t-il assuré, permet une prise en charge des cas positifs dans les plus brefs délais, afin d’endiguer éventuellement la circulation du virus.
M. Ait Taleb n’a pas manqué de mettre en valeur les efforts déployés par les autorités locales et les professionnels de la santé, ainsi que par la société civile, qui se sont mobilisés à des moments où la région connaissait une recrudescence des cas positifs au Covid-19, en raison de la mobilité de la population, notamment lors des périodes de festivités, dont l’Aid el Kebir et les fins de vacances. Parmi les facteurs qui ont favorisé la maitrise de la situation épidémiologique dans la région et notamment à Fès, le ministre a cité, entre autres, « l’anticipation, le suivi du protocole médical et l’approche de proximité, laquelle a permis d’accompagner la population de manière très proche ».
Accompagné du wali de la région de Fès-Meknès, Saïd Zniber, le ministre s’est rendu aux différentes structures et dépendances des centres de santé Jnanat et Massira2. Le centre de santé urbain niveau 1 de Jananat comprend des unités de l’enfant et de la mère, de la planification familiale, des maladies chroniques et transmissibles, de la lutte contre la tuberculose et celle du test VIH, outre l’unité de dépistage de la Covid-19.
Restauré en 2019 par le ministère de la santé, cette structure médicale a bénéficié à 80.123 personnes.
Le Centre de santé urbain Massira2, qui profite à plus de 40 mille personnes, comprend notamment des unités de la mère et de l’enfant, de la planification familiale, du suivi de la grossesse, des maladies chroniques et une unité de consultation, outre le dépistage de la Covid-19.
Par la même occasion, le ministre de la santé a procédé au lancement officiel des services de l’unité mobile médicalisée destinée au dépistage rapide de la Covid-19, acquise en partenariat avec l’Initiative nationale pour le développement Humain.
D’un coût global de plus de 2,02 millions de DH, cette structure qui tend à améliorer et élargir l’offre des soins de santé au niveau de la préfecture de Fès est aménagée en trois compartiments équipés, à savoir « compartiment salle de consultation gynécologique », « compartiment salle de laboratoire » et « compartiment salle ophtalmologique-bloc opératoire ».
Ce projet est financé dans le cadre du programme de rattrapage des déficits en infrastructures et services sociaux de base.