Dans les archives de l’Histoire du football marocain, figure Botina (Abdeslam Saïdi Lanjri) de Tanger comme premier professionnel à émigrer à l’étranger pour signer une licence au FC de Séville.
21 ans après sa mort et 95 ans après le début de sa carrière en Espagne à la Liga, le nom de Botina est revenu briller à nouveau dans les coins de la maison de l'équipe blanche andalouse.
Il a été fréquemment mentionné dans les discours des dirigeants du club de Bono et de Ennesiry lors des travaux de la 16e conférence du Colloque des Peñas de l’Association mondiale des supporters de l’équipe, qui s'est tenue cette semaine de novembre dans la petite ville côtière de Benalmadena dans le sud de l'Espagne, avec une large présence des représentants des associations de supporters affiliées aux supporters de la Fédération Internationale des fans de Séville, dont l'Association des supporters de Séville en Irak dirigée par Ahmed Al-Hashemi, et une présence honorifique de l'Association des supporters de Séville à Tanger représentée par le vice-président Lotfi Al-Dahbi, dont le discours a été très bien accueilli.
Lotfi Dahbi a considéré la présence d'une association portant le nom du premier professionnel arabo-africain comme un ajout qualitatif et précieux à la Fédération Al-Ansar.
Le nom de Botina et sa carrière dans le club de Séville ont constitué un événement important pour le public, les administrateurs du club et les médias officiels.
Il a également occupé le sujet du moteur de recherche par ceux qui s'intéressent à l'histoire du club et qui trouvent leur curiosité perdue dans les archives du club, lesquelles contiennent une photo du club datant de 1927 avec Botina, deux ans avant le début du championnat en 1929.
Prononçant une allocution à cette occasion, Lotfi Dahbi, a expliqué que la philosophie de l'association était toujours basée sur la politique de la reconnaissance en disant que les Tangérois étaient fiers de Botina de Tanger, qui fut le premier Arabe et Africain à devenir professionnel au sein du Club de Séville.
Il n'a pas manqué non plus de remercier le responsable de l'Association Ansar Ishbilia de l’Irak, qui a eu une grande intervention pour la coordination entre l'Association Ansar Botina de Tanger et la Fédération d'Ansar Ishbilia.
En marge du colloque, l'adhésion de l'Association des supporters tangérois Botina en tant que membre à part entière a été reconnue.
Profitant de cette rencontre, Lotfi Dahbi, le représentant de l'Association Botina, a noué plusieurs contacts, tous centrés sur les objectifs de l'école de l'association, ainsi que la présentation du défunt père de professionnels marocains, Abdel Salam Saïdi Langari (Botina).
Il a eu également des contacts directs avec le président du FC Séville Jose Castro Carmona, le vice-président Nido Junior, le directeur sportif Ramon Rodriguez Monchi, le secrétaire général der la Fédération des Perñas de Séville Carlos Jimenes Sanchez.
Par ailleurs, il est à noter que Botina avait vécu au quartier Marshan de Tanger tout près du fameux stade.
En 1904, il avait déjà joué avec le Moghreb tanjaoui avant de s'installer à Séville, qu'il quitta pour le Lens français après le déclenchement de la guerre civile espagnole.
21 ans après sa mort et 95 ans après le début de sa carrière en Espagne à la Liga, le nom de Botina est revenu briller à nouveau dans les coins de la maison de l'équipe blanche andalouse.
Il a été fréquemment mentionné dans les discours des dirigeants du club de Bono et de Ennesiry lors des travaux de la 16e conférence du Colloque des Peñas de l’Association mondiale des supporters de l’équipe, qui s'est tenue cette semaine de novembre dans la petite ville côtière de Benalmadena dans le sud de l'Espagne, avec une large présence des représentants des associations de supporters affiliées aux supporters de la Fédération Internationale des fans de Séville, dont l'Association des supporters de Séville en Irak dirigée par Ahmed Al-Hashemi, et une présence honorifique de l'Association des supporters de Séville à Tanger représentée par le vice-président Lotfi Al-Dahbi, dont le discours a été très bien accueilli.
Lotfi Dahbi a considéré la présence d'une association portant le nom du premier professionnel arabo-africain comme un ajout qualitatif et précieux à la Fédération Al-Ansar.
Le nom de Botina et sa carrière dans le club de Séville ont constitué un événement important pour le public, les administrateurs du club et les médias officiels.
Il a également occupé le sujet du moteur de recherche par ceux qui s'intéressent à l'histoire du club et qui trouvent leur curiosité perdue dans les archives du club, lesquelles contiennent une photo du club datant de 1927 avec Botina, deux ans avant le début du championnat en 1929.
Prononçant une allocution à cette occasion, Lotfi Dahbi, a expliqué que la philosophie de l'association était toujours basée sur la politique de la reconnaissance en disant que les Tangérois étaient fiers de Botina de Tanger, qui fut le premier Arabe et Africain à devenir professionnel au sein du Club de Séville.
Il n'a pas manqué non plus de remercier le responsable de l'Association Ansar Ishbilia de l’Irak, qui a eu une grande intervention pour la coordination entre l'Association Ansar Botina de Tanger et la Fédération d'Ansar Ishbilia.
En marge du colloque, l'adhésion de l'Association des supporters tangérois Botina en tant que membre à part entière a été reconnue.
Profitant de cette rencontre, Lotfi Dahbi, le représentant de l'Association Botina, a noué plusieurs contacts, tous centrés sur les objectifs de l'école de l'association, ainsi que la présentation du défunt père de professionnels marocains, Abdel Salam Saïdi Langari (Botina).
Il a eu également des contacts directs avec le président du FC Séville Jose Castro Carmona, le vice-président Nido Junior, le directeur sportif Ramon Rodriguez Monchi, le secrétaire général der la Fédération des Perñas de Séville Carlos Jimenes Sanchez.
Par ailleurs, il est à noter que Botina avait vécu au quartier Marshan de Tanger tout près du fameux stade.
En 1904, il avait déjà joué avec le Moghreb tanjaoui avant de s'installer à Séville, qu'il quitta pour le Lens français après le déclenchement de la guerre civile espagnole.