L’une des décisions les plus tardives du comité IRT est le limogeage de Omar Nejmi.
En effet, après une demi-saison catastrophique avec une seule victoire contre la lanterne rouge Berrechid, l’entraineur, le plus faible de toute l’histoire de l’équipe, n’occupera plus le banc de touche.
Originaire de l’Angleterre, il a fait preuve qu’il était loin du football marocain qu’il connaissait à peine après une brève période passée au WAC comme adjoint.
Bien que cette mesure coûte de l’argent car il faudrait indemniser le manager limogé et le remplacer par un autre nouveau, le président du club et ses proches collaborateurs n’avaient pas le choix à la suite de la révolte et de la protestation des ultras et le sit-in organisé devant le siège de la Wilaya.
Maintenant, trois noms sont sur la table : Jaafar Rkik, Hilal Tayr et Driss Mrabet, trois anciens qui connaissent bien l’IRT après l’avoir entrainé.
Est-ce suffisant pour améliorer le rendement de la formation qui souffre beaucoup avec les mauvais recrutements.
Le vrai problème qui se pose est le suivant : à l’heure où le directeur technique était absent, qui était responsable de ce défectueux renforcement de l’effectif ?
Qui avait choisi Omar Nejmi, un encadreur qui ne répondait pas au profil du club ?
Autant de questions qui exigent des explications pour satisfaire les milliers de supporters.
Avoir dépensé plus de cinq milliards de centimes au premier tour du championnat seulement suscite une grande polémique et toutes les opérations en particulier les primes de signatures des footballeurs sont pointées du doigt.
Personne ne comprend comment un joueur avec un très faible rendement a signé un contrat de deux ans avec plusieurs millions de centimes et bien d’autres en ont fait de même.
Dans une situation trop confuse sur tous les plans, les adhérents et les supporters exigent une assemblée générale extraordinaire pour l’élection d’un nouveau comité car le problème n’est pas seulement le président et l’entraineur mais le problème de l’IRT est toute l’ossature de l’équipe avec le départ souhaitable de tous les membres du bureau directeur.
Avec cinq salaires en instance du staff technique et de l’effectif joueurs, il y a eu un boycottage des entrainements pendant un mois et tout le monde avait un congé anticipé.
Ce retard a encore une fois montré l’incapacité du comité à gérer une équipe.
Grace à la dernière subvention de 300 millions de centimes du sponsor Tanger-Med, trois mensualités des salariés ont pu être réglées et après, que se passera-t-il pourtant dans un club professionnel ?
En parallèle avec cette confusion, l’adhérent Bassam Akil, ex président des Ultras Hercules et propriétaire d’une grande entreprise d’équipements sportifs au Maroc et en Afrique, a déposé une plainte exigeant la tenue urgente d’une assemblée avec la présentation d’une comptabilité détaillée de toutes les dépenses.
A l’heure où nous mettons sous presse, Omar Nejmi n’a pas encore signé son contrat de résiliation à l’amiable qui équivaut à 54 millions de centimes soit la valeur de trois mensualités (18 millions x 3 = 54 millions) ainsi que les salaires en instance.
En effet, après une demi-saison catastrophique avec une seule victoire contre la lanterne rouge Berrechid, l’entraineur, le plus faible de toute l’histoire de l’équipe, n’occupera plus le banc de touche.
Originaire de l’Angleterre, il a fait preuve qu’il était loin du football marocain qu’il connaissait à peine après une brève période passée au WAC comme adjoint.
Bien que cette mesure coûte de l’argent car il faudrait indemniser le manager limogé et le remplacer par un autre nouveau, le président du club et ses proches collaborateurs n’avaient pas le choix à la suite de la révolte et de la protestation des ultras et le sit-in organisé devant le siège de la Wilaya.
Maintenant, trois noms sont sur la table : Jaafar Rkik, Hilal Tayr et Driss Mrabet, trois anciens qui connaissent bien l’IRT après l’avoir entrainé.
Est-ce suffisant pour améliorer le rendement de la formation qui souffre beaucoup avec les mauvais recrutements.
Le vrai problème qui se pose est le suivant : à l’heure où le directeur technique était absent, qui était responsable de ce défectueux renforcement de l’effectif ?
Qui avait choisi Omar Nejmi, un encadreur qui ne répondait pas au profil du club ?
Autant de questions qui exigent des explications pour satisfaire les milliers de supporters.
Avoir dépensé plus de cinq milliards de centimes au premier tour du championnat seulement suscite une grande polémique et toutes les opérations en particulier les primes de signatures des footballeurs sont pointées du doigt.
Personne ne comprend comment un joueur avec un très faible rendement a signé un contrat de deux ans avec plusieurs millions de centimes et bien d’autres en ont fait de même.
Dans une situation trop confuse sur tous les plans, les adhérents et les supporters exigent une assemblée générale extraordinaire pour l’élection d’un nouveau comité car le problème n’est pas seulement le président et l’entraineur mais le problème de l’IRT est toute l’ossature de l’équipe avec le départ souhaitable de tous les membres du bureau directeur.
Avec cinq salaires en instance du staff technique et de l’effectif joueurs, il y a eu un boycottage des entrainements pendant un mois et tout le monde avait un congé anticipé.
Ce retard a encore une fois montré l’incapacité du comité à gérer une équipe.
Grace à la dernière subvention de 300 millions de centimes du sponsor Tanger-Med, trois mensualités des salariés ont pu être réglées et après, que se passera-t-il pourtant dans un club professionnel ?
En parallèle avec cette confusion, l’adhérent Bassam Akil, ex président des Ultras Hercules et propriétaire d’une grande entreprise d’équipements sportifs au Maroc et en Afrique, a déposé une plainte exigeant la tenue urgente d’une assemblée avec la présentation d’une comptabilité détaillée de toutes les dépenses.
A l’heure où nous mettons sous presse, Omar Nejmi n’a pas encore signé son contrat de résiliation à l’amiable qui équivaut à 54 millions de centimes soit la valeur de trois mensualités (18 millions x 3 = 54 millions) ainsi que les salaires en instance.