Le président français, Emmanuel Macron, a convié mardi pour 14h à l’Élysée, tous les partis politiques à l’exception de La France insoumise (LFI) et du Rassemblement national (RN), près d'une semaine après la chute du gouvernement Barnier, a rapporté la presse locale citant la présidence.
Macron a invité à des discussions l’ensemble des partis "ayant indiqué se placer dans une logique de compromis dans le but de constituer un gouvernement d’intérêt général ou de le rendre possible", a précisé l'Elysée relayé par Le Figaro.
Le président, qui a ainsi exclu LFI et le RN de la réunion, veut "avancer sur un accord concernant une méthode", a ajouté l'entourage du chef de l'État cité par France 24.
Le coordinateur de LFI Manuel Bompard a appelé, mardi sur France 2, ses alliés du NFP "à ne pas céder aux sirènes et à la tentation du gouvernement national" parce que "ça conduirait à les voir renier les engagements programmatiques qu'ils ont pris l'année dernière".
Dans un courrier adressé, lundi soir, à Emmanuel Macron, les cadres du PS expriment leur "conviction que seuls le dialogue républicain et la confrontation des points de vue peuvent permettre de trouver une issue à cette situation de blocage préjudiciable aux Françaises et aux Français", et posent toutefois trois conditions: aucune participation à un gouvernement dirigé par la droite ou dit "technique"; un Premier ministre "de gauche"; "un véritable changement de cap politique" sur des sujets comme "les retraites, le pouvoir d'achat, la justice fiscale"…
Emmanuel Macron a aussi reçu, lundi matin, les indépendants du groupe LIOT (Libertés, indépendants, outre-mer et territoires), les communistes et les écologistes.
Le secrétaire national du PCF, Fabien Roussel, a considéré qu’Emmanuel Macron "écoute aujourd'hui les forces politiques et les groupes qui acceptent de venir discuter avec lui".
De son côté, la secrétaire nationale des écologistes, Marine Tondelier, a indiqué que "la solution ne pourrait plus reposer sur un accord avec le Rassemblement national". Selon elle, Macron a été très clair sur le fait que le RN n'était pas dans le périmètre des partis qui souhaitaient discuter.
Macron a invité à des discussions l’ensemble des partis "ayant indiqué se placer dans une logique de compromis dans le but de constituer un gouvernement d’intérêt général ou de le rendre possible", a précisé l'Elysée relayé par Le Figaro.
Le président, qui a ainsi exclu LFI et le RN de la réunion, veut "avancer sur un accord concernant une méthode", a ajouté l'entourage du chef de l'État cité par France 24.
Le coordinateur de LFI Manuel Bompard a appelé, mardi sur France 2, ses alliés du NFP "à ne pas céder aux sirènes et à la tentation du gouvernement national" parce que "ça conduirait à les voir renier les engagements programmatiques qu'ils ont pris l'année dernière".
Dans un courrier adressé, lundi soir, à Emmanuel Macron, les cadres du PS expriment leur "conviction que seuls le dialogue républicain et la confrontation des points de vue peuvent permettre de trouver une issue à cette situation de blocage préjudiciable aux Françaises et aux Français", et posent toutefois trois conditions: aucune participation à un gouvernement dirigé par la droite ou dit "technique"; un Premier ministre "de gauche"; "un véritable changement de cap politique" sur des sujets comme "les retraites, le pouvoir d'achat, la justice fiscale"…
Emmanuel Macron a aussi reçu, lundi matin, les indépendants du groupe LIOT (Libertés, indépendants, outre-mer et territoires), les communistes et les écologistes.
Le secrétaire national du PCF, Fabien Roussel, a considéré qu’Emmanuel Macron "écoute aujourd'hui les forces politiques et les groupes qui acceptent de venir discuter avec lui".
De son côté, la secrétaire nationale des écologistes, Marine Tondelier, a indiqué que "la solution ne pourrait plus reposer sur un accord avec le Rassemblement national". Selon elle, Macron a été très clair sur le fait que le RN n'était pas dans le périmètre des partis qui souhaitaient discuter.