Utopia 56, association d'aide aux immigrés en France, a déclaré que l'usage disproportionné de la force par la police française à l'encontre des manifestants, était le lot des immigrés depuis des années.
L'association commentait, dimanche, les violences policières subies par les manifestants français après l'adoption par le gouvernement de la loi controversée sur les retraites.
Selon son communiqué, l’association a été témoin, depuis des années, de ces violences répétées contre les migrants irréguliers présents sur le territoire français.
Beaucoup de ces immigrés en situation irrégulière sont généralement livrés à eux-mêmes dans les rues. La police française a régulièrement procédé à l'arrestation arbitraire de ceux qui revendiquaient leurs droits fondamentaux, a fait preuve de violence physique et fait usage de gaz lacrymogènes à leur égard, précise le communiqué.
La même source souligne également que de nombreux immigrés garderont le traumatisme de la violence qu'ils ont subie tout au long de leur vie et identifieront cette violence aux pratiques de la police.
Dans son communiqué, l'association explique l'absence de plaintes déposées d’immigrés auprès des autorités judiciaires, concernant les violences policières auxquelles ils sont exposés, par la crainte (des immigrés en situation irrégulière) de l'impact de cette situation sur leur dossier de séjour et leur intégration dans la société, et que nombreux préfèrent garder le silence face à cette violence exercée par l'État à leur encontre.
L'association commentait, dimanche, les violences policières subies par les manifestants français après l'adoption par le gouvernement de la loi controversée sur les retraites.
Selon son communiqué, l’association a été témoin, depuis des années, de ces violences répétées contre les migrants irréguliers présents sur le territoire français.
Beaucoup de ces immigrés en situation irrégulière sont généralement livrés à eux-mêmes dans les rues. La police française a régulièrement procédé à l'arrestation arbitraire de ceux qui revendiquaient leurs droits fondamentaux, a fait preuve de violence physique et fait usage de gaz lacrymogènes à leur égard, précise le communiqué.
La même source souligne également que de nombreux immigrés garderont le traumatisme de la violence qu'ils ont subie tout au long de leur vie et identifieront cette violence aux pratiques de la police.
Dans son communiqué, l'association explique l'absence de plaintes déposées d’immigrés auprès des autorités judiciaires, concernant les violences policières auxquelles ils sont exposés, par la crainte (des immigrés en situation irrégulière) de l'impact de cette situation sur leur dossier de séjour et leur intégration dans la société, et que nombreux préfèrent garder le silence face à cette violence exercée par l'État à leur encontre.