L’une des personnes concernées a déclaré que ladite manifestation attendue sera massive en présence de certaines organisations et associations qui soutiennent le dossier.
Des centaines de personnes se considérant flouées dans le projet immobilier «Bab Darna» appellent l’Etat à assumer ses responsabilités en tant que partie au dossier présenté devant les tribunaux. Ainsi, affirmant que l’État est partie au dossier, elles estiment qu’il doit intervenir pour leur rendre justice, en exigeant une compensation pour les sommes perdues dans cette affaire.
Le juge d’instruction de la quatrième Chambre, sur les délits d’argent, à la Cour d’appel de Casablanca, avait entamé le stade d’audition, dans le cadre de la procédure pénale des plaignants de ce qui semble être la plus grande fraude immobilière de l’Histoire du Maroc.
Dans le scandale immobilier du groupe Bab Darna, sept personnes sont poursuivies, dont le directeur général du groupe, ses comptables, le directeur financier et administratif, et un notaire, pour répondre à des accusations de fraude, de contrefaçon et de son utilisation par la commercialisation de faux projets immobiliers.
On estime que le propriétaire de l’entreprise s’est accaparé de milliards, en frustrant près de 700 personnes, qui voulaient acquérir un logement dans le cadre des projets qu’il promouvait.
La société Bab Darna opère dans une variété de logements, allant du logement social aux appartements et villas de luxe.
Des centaines de personnes se considérant flouées dans le projet immobilier «Bab Darna» appellent l’Etat à assumer ses responsabilités en tant que partie au dossier présenté devant les tribunaux. Ainsi, affirmant que l’État est partie au dossier, elles estiment qu’il doit intervenir pour leur rendre justice, en exigeant une compensation pour les sommes perdues dans cette affaire.
Le juge d’instruction de la quatrième Chambre, sur les délits d’argent, à la Cour d’appel de Casablanca, avait entamé le stade d’audition, dans le cadre de la procédure pénale des plaignants de ce qui semble être la plus grande fraude immobilière de l’Histoire du Maroc.
Dans le scandale immobilier du groupe Bab Darna, sept personnes sont poursuivies, dont le directeur général du groupe, ses comptables, le directeur financier et administratif, et un notaire, pour répondre à des accusations de fraude, de contrefaçon et de son utilisation par la commercialisation de faux projets immobiliers.
On estime que le propriétaire de l’entreprise s’est accaparé de milliards, en frustrant près de 700 personnes, qui voulaient acquérir un logement dans le cadre des projets qu’il promouvait.
La société Bab Darna opère dans une variété de logements, allant du logement social aux appartements et villas de luxe.