Cette décision a été prise par consensus et sans qu’aucun des 47 pays membres de l’organe de l’ONU ne s’y oppose, lors de la reprise à Genève des travaux de la 43ème session du Conseil qui ont fait l’objet d’une suspension de trois mois liée à la pandémie de Covid-19.
La présidente du CDH, l’Ambassadrice autrichienne Elisabeth Tichy-Fisslberger, a précisé que la réunion se tiendrait mercredi au Palais des Nations. S’exprimant au nom du Groupe africain, le Burkina Faso a rappelé que « les événements tragiques du 25 mai 2020 à Minneapolis aux Etats-Unis, qui ont entraîné la mort de George Floyd, ont déclenché des protestations dans le monde entier contre l’injustice et la brutalité auxquelles les personnes d’ascendance africaine sont confrontées quotidiennement dans de nombreuses régions du monde ».
« La mort de George Floyd n’est malheureusement pas un incident isolé », a déclaré l’Ambassadeur du Burkina Faso auprès des Nations Unies à Genève (Suisse), Dieudonné Désiré Sougouri.
« De nombreux cas antérieurs de personnes non armées d’ascendance africaine ayant subi le même sort en raison des violences policières incontrôlées sont légion », a-t-il ajouté, précisant que « malheureusement, le sort de ces nombreuses autres victimes n’a pas attiré l’attention, car ce qu’elles ont subi n’ont pas véhiculé sur les réseaux sociaux à la vue de tous ».
A noter que ce débat urgent sera le cinquième depuis le lancement de l’instance onusienne en 2006, dont plusieurs avaient porté sur le conflit syrien.
La présidente du CDH, l’Ambassadrice autrichienne Elisabeth Tichy-Fisslberger, a précisé que la réunion se tiendrait mercredi au Palais des Nations. S’exprimant au nom du Groupe africain, le Burkina Faso a rappelé que « les événements tragiques du 25 mai 2020 à Minneapolis aux Etats-Unis, qui ont entraîné la mort de George Floyd, ont déclenché des protestations dans le monde entier contre l’injustice et la brutalité auxquelles les personnes d’ascendance africaine sont confrontées quotidiennement dans de nombreuses régions du monde ».
« La mort de George Floyd n’est malheureusement pas un incident isolé », a déclaré l’Ambassadeur du Burkina Faso auprès des Nations Unies à Genève (Suisse), Dieudonné Désiré Sougouri.
« De nombreux cas antérieurs de personnes non armées d’ascendance africaine ayant subi le même sort en raison des violences policières incontrôlées sont légion », a-t-il ajouté, précisant que « malheureusement, le sort de ces nombreuses autres victimes n’a pas attiré l’attention, car ce qu’elles ont subi n’ont pas véhiculé sur les réseaux sociaux à la vue de tous ».
A noter que ce débat urgent sera le cinquième depuis le lancement de l’instance onusienne en 2006, dont plusieurs avaient porté sur le conflit syrien.