Quelques jours seulement après l’ouverture de la session parlementaire et les forces de l’opposition se mobilisent déjà pour évaluer les réalisations du gouvernement pendant cette crise sanitaire. Cette fois-ci par la voix de l’enquête et l’investigation.
Dans un communiqué conjoint, l’Istiqlal, le Parti authenticité et modernité (PAM) et le Parti du progrès et du socialisme (PPS) ont annoncé la formation d’une commission d’enquête parlementaire pour vérifier si l’Exécutif a veillé sur le respect de la justice territoriale dans sa gestion de la crise.
Manifestement déçus de cette dernière, les trois partis ont durci le ton, en dénonçant «la nonchalance» de la majorité et «son insouciance», sans oublier la mise à l'écart de l'opposition durant cette phase critique.
Par ailleurs, le communiqué n’a pas manqué de pointer du doigt, la préoccupation du gouvernement par les conflits internes entre ses composantes et les calculs électoralistes des prochaines législatives, faisant de l’intérêt des Marocains un parent pauvre, ce qui est en total contraste avec les Hautes orientations Royales. Or ce qui devrait être digne d'attention, c'est la santé publique, la réduction des indicateurs de la pandémie, la création d’une alternative pour immuniser l’économie nationale, la préservation des emplois et surtout les dossiers sociaux primordiaux des Marocains qui sont dans la mouise à cause de la pandémie, précise-t-on de même source.
Ainsi, les trois partis sont déterminés à durcir le contrôle sur l’action gouvernementale, en usant des moyens constitutionnels dont ils disposent en tant que contre-pouvoir.
Rappelons que les trois partis avaient présenté un mémorandum commun, contenant plusieurs propositions pour revendiquer la réforme des lois électorales, en vue des prochaines élections législatives.
Dans un communiqué conjoint, l’Istiqlal, le Parti authenticité et modernité (PAM) et le Parti du progrès et du socialisme (PPS) ont annoncé la formation d’une commission d’enquête parlementaire pour vérifier si l’Exécutif a veillé sur le respect de la justice territoriale dans sa gestion de la crise.
Manifestement déçus de cette dernière, les trois partis ont durci le ton, en dénonçant «la nonchalance» de la majorité et «son insouciance», sans oublier la mise à l'écart de l'opposition durant cette phase critique.
Par ailleurs, le communiqué n’a pas manqué de pointer du doigt, la préoccupation du gouvernement par les conflits internes entre ses composantes et les calculs électoralistes des prochaines législatives, faisant de l’intérêt des Marocains un parent pauvre, ce qui est en total contraste avec les Hautes orientations Royales. Or ce qui devrait être digne d'attention, c'est la santé publique, la réduction des indicateurs de la pandémie, la création d’une alternative pour immuniser l’économie nationale, la préservation des emplois et surtout les dossiers sociaux primordiaux des Marocains qui sont dans la mouise à cause de la pandémie, précise-t-on de même source.
Ainsi, les trois partis sont déterminés à durcir le contrôle sur l’action gouvernementale, en usant des moyens constitutionnels dont ils disposent en tant que contre-pouvoir.
Rappelons que les trois partis avaient présenté un mémorandum commun, contenant plusieurs propositions pour revendiquer la réforme des lois électorales, en vue des prochaines élections législatives.