Encore une fois, le hooliganisme est à l’ordre du jour au championnat marocain.
Doit-on arrêter un football qui dépasse les limites dans la sécurité des citoyens et qui menace même les personnes qui ne connaissent rien en sport ?
Doit-on programmer les matchs sans public avec le traditionnel huis clos ?
Et les auteurs mineurs de troubles et de violence, que faire avec eux à l’heure où leur jeune âge les dispense de la prison ?
Autant de questions auxquelles il est difficile de répondre surtout quand les journalistes sportifs exigent la présence du public dans les stades pour donner plus de motivation aux footballeurs.
La ville de la Colombe blanche connue par la tranquillité, le calme, la sympathie et l’hospitalité de ses citoyens, a connu la panique à l’occasion du match du championnat MAT-RCA.
Bien avant le coup d’envoi de la rencontre, les supporters et les ultras casablancais se sont vengés des organisateurs qui ont refusé leur entrée au stade.
Comme toujours, la petite capacité de Saniat Rmel qui ne pouvait accueillir plus de 8000 spectateurs fut la goutte qui devait aborder le vase.
Faute de billets, les fans du Raja voulaient suivre le choc à tout prix forçant même les portes d’entrée.
Dispersés et chassés par les forces de l’ordre, les Casablancais ont organisé des émeutes qui ont fait beaucoup de peur à la population aux quartiers périphériques du stade.
Les opérations sécuritaires menées par les services de la Préfecture de Sécurité de Tétouan, ont abouti à l'arrestation de 29 personnes, dont quatre mineurs, soupçonnées d'être impliquées dans la commission d'actes de violence, causant des pertes matérielles à des biens publics et des violences contre des agents publics dans l'exercice de leurs fonctions.
Les émeutes ont éclaté après que des supporters du Raja ont tenté de pénétrer de force dans les tribunes du stade, pour cause de dépassement de la capacité d'accueil du stade, ils ont délibérément commis des émeutes et mis en danger la sécurité des installations sportives et du public.
Les interventions sécuritaires réalisées ont abouti à l'arrestation des suspects après qu'ils aient été impliqués dans le sabotage délibéré de véhicules de la Sûreté Nationale, et certains d'entre eux ont lancé des pierres, faisant 20 blessés parmi les membres des forces publiques, en plus de l'implication d’un groupe d'entre eux dans la commission de divers délits tels que la drogue et la possession d'armes blanches et d'outils.
En parallèle avec ces incidents, le petit stade de Saniat Rmel qui ne correspond plus aux aspirations du public tétouanais est pointé du doigt.
Doit-il fermer ses portes au MAT pour jouer son championnat ?
Que vont faire les autorités dans le prochain derby du nord MAT-IRT qui va affronter très prochainement deux grands publics celui de Tétouan et celui de Tanger ?
Doit-on arrêter un football qui dépasse les limites dans la sécurité des citoyens et qui menace même les personnes qui ne connaissent rien en sport ?
Doit-on programmer les matchs sans public avec le traditionnel huis clos ?
Et les auteurs mineurs de troubles et de violence, que faire avec eux à l’heure où leur jeune âge les dispense de la prison ?
Autant de questions auxquelles il est difficile de répondre surtout quand les journalistes sportifs exigent la présence du public dans les stades pour donner plus de motivation aux footballeurs.
La ville de la Colombe blanche connue par la tranquillité, le calme, la sympathie et l’hospitalité de ses citoyens, a connu la panique à l’occasion du match du championnat MAT-RCA.
Bien avant le coup d’envoi de la rencontre, les supporters et les ultras casablancais se sont vengés des organisateurs qui ont refusé leur entrée au stade.
Comme toujours, la petite capacité de Saniat Rmel qui ne pouvait accueillir plus de 8000 spectateurs fut la goutte qui devait aborder le vase.
Faute de billets, les fans du Raja voulaient suivre le choc à tout prix forçant même les portes d’entrée.
Dispersés et chassés par les forces de l’ordre, les Casablancais ont organisé des émeutes qui ont fait beaucoup de peur à la population aux quartiers périphériques du stade.
Les opérations sécuritaires menées par les services de la Préfecture de Sécurité de Tétouan, ont abouti à l'arrestation de 29 personnes, dont quatre mineurs, soupçonnées d'être impliquées dans la commission d'actes de violence, causant des pertes matérielles à des biens publics et des violences contre des agents publics dans l'exercice de leurs fonctions.
Les émeutes ont éclaté après que des supporters du Raja ont tenté de pénétrer de force dans les tribunes du stade, pour cause de dépassement de la capacité d'accueil du stade, ils ont délibérément commis des émeutes et mis en danger la sécurité des installations sportives et du public.
Les interventions sécuritaires réalisées ont abouti à l'arrestation des suspects après qu'ils aient été impliqués dans le sabotage délibéré de véhicules de la Sûreté Nationale, et certains d'entre eux ont lancé des pierres, faisant 20 blessés parmi les membres des forces publiques, en plus de l'implication d’un groupe d'entre eux dans la commission de divers délits tels que la drogue et la possession d'armes blanches et d'outils.
En parallèle avec ces incidents, le petit stade de Saniat Rmel qui ne correspond plus aux aspirations du public tétouanais est pointé du doigt.
Doit-il fermer ses portes au MAT pour jouer son championnat ?
Que vont faire les autorités dans le prochain derby du nord MAT-IRT qui va affronter très prochainement deux grands publics celui de Tétouan et celui de Tanger ?
