Partant des relations étroites entre le Maroc et l’UE, les décideurs et les experts en développement durable qui ont animé la rencontre, ont rappelé les nombreux partenariats stratégiques et projets communs visant la protection de l'environnement, soulignant l’importance du secteur des énergies renouvelables pour les deux parties.
Ils ont également mis en exergue les avancées réalisées par le Maroc, ainsi que les efforts du pays en matière de substitution d'énergies fossiles et de l’économie verte dans plusieurs domaines, particulièrement l'industrie du ciment.
S’exprimant à cette occasion, l’ambassadrice de l'Union Européenne au Maroc, Claudia Wiedey, a souligné la nécessité d’une action commune en vue de mettre en place des infrastructures durables et développer les énergies renouvelables et l'efficacité énergétique, compte tenu des crises climatique et de biodiversité qui continuent à persister.
Elle a également appelé à redoubler d'efforts en vue d’apporter des solutions à la question du changement climatique, soulignant à cet égard l’ambitieuse politique climatique et énergétique du Maroc et son grand potentiel en matière d'énergies renouvelables.
Rappelant que la lutte contre le changement climatique est une responsabilité collective, elle a relevé que le Green deal a été conçu en tant que nouvelle stratégie de croissance pour l'Union européenne, alliant durabilité environnementale, économique et sociale et qu'il se veut également une feuille de route pour la reprise post-covid-19 en Europe.
De son côté, le directeur général de l’industrie au sein du ministère de l'industrie, du commerce et de l'économie verte et numérique, Ali Seddiki, a mis en avant la centralité du Green deal et son importance pour le Maroc, compte tenu des nombreuses opportunités qu’il présente pour le développement durable à l'échelle internationale.
Le Green deal et le mécanisme de taxe carbone représentent non seulement un défi, mais également une opportunité pour la production industrielle marocaine, a-t-il dit, ajoutant que le Maroc dispose de ressources en énergies renouvelables parmi les plus compétitives au monde, et représente un acteur important pour alimenter la croissance verte européenne, voire mondiale.
Organisé par l’Association des Ingénieurs de l’Ecole Mohammadia (AIEM), à travers son Club de Développement Durable et l’Association Professionnelle des Cimentiers (APC), le webinaire a été également l’occasion de débattre des impacts et enjeux pour l’économie marocaine, et des opportunités offertes pour la relance post crise sanitaire ainsi que d’inspirer et mobiliser les acteurs, les business et les décideurs à réagir et à anticiper les contraintes du Green Deal.
Ils ont également mis en exergue les avancées réalisées par le Maroc, ainsi que les efforts du pays en matière de substitution d'énergies fossiles et de l’économie verte dans plusieurs domaines, particulièrement l'industrie du ciment.
S’exprimant à cette occasion, l’ambassadrice de l'Union Européenne au Maroc, Claudia Wiedey, a souligné la nécessité d’une action commune en vue de mettre en place des infrastructures durables et développer les énergies renouvelables et l'efficacité énergétique, compte tenu des crises climatique et de biodiversité qui continuent à persister.
Elle a également appelé à redoubler d'efforts en vue d’apporter des solutions à la question du changement climatique, soulignant à cet égard l’ambitieuse politique climatique et énergétique du Maroc et son grand potentiel en matière d'énergies renouvelables.
Rappelant que la lutte contre le changement climatique est une responsabilité collective, elle a relevé que le Green deal a été conçu en tant que nouvelle stratégie de croissance pour l'Union européenne, alliant durabilité environnementale, économique et sociale et qu'il se veut également une feuille de route pour la reprise post-covid-19 en Europe.
De son côté, le directeur général de l’industrie au sein du ministère de l'industrie, du commerce et de l'économie verte et numérique, Ali Seddiki, a mis en avant la centralité du Green deal et son importance pour le Maroc, compte tenu des nombreuses opportunités qu’il présente pour le développement durable à l'échelle internationale.
Le Green deal et le mécanisme de taxe carbone représentent non seulement un défi, mais également une opportunité pour la production industrielle marocaine, a-t-il dit, ajoutant que le Maroc dispose de ressources en énergies renouvelables parmi les plus compétitives au monde, et représente un acteur important pour alimenter la croissance verte européenne, voire mondiale.
Organisé par l’Association des Ingénieurs de l’Ecole Mohammadia (AIEM), à travers son Club de Développement Durable et l’Association Professionnelle des Cimentiers (APC), le webinaire a été également l’occasion de débattre des impacts et enjeux pour l’économie marocaine, et des opportunités offertes pour la relance post crise sanitaire ainsi que d’inspirer et mobiliser les acteurs, les business et les décideurs à réagir et à anticiper les contraintes du Green Deal.