Plus d'un an après le début de la guerre en Ukraine et alors que la Russie s'apprête à célébrer le 9 mai, qui marque la victoire sur l'Allemagne nazie, l'armée ukrainienne semble prête pour son offensive du printemps.
Ces derniers jours, les préparatifs "touchent à leur fin", a déclaré le ministre ukrainien de la Défense Oleksiï Reznikov. De son côté, l'Otan a affirmé que 98% des armes occidentales promises ont été livrées, dont 1550 véhicules blindés, 230 tanks et beaucoup de munitions.
"Les Ukrainiens ont formé 12 brigades de chacune 4000 hommes, soit près de 50.000 hommes. Ils ont préparé des unités pour lancer cette offensive", explique Ulysse Gosset, éditorialiste politique internationale BFMTV.
Mais attention. "Cette offensive, c'est un fusil à un coup", assure au micro de BFMTV le général Jérôme Pellistrandi.
"Les Ukrainiens doivent impérativement réussir et obtenir une victoire militaire sur le terrain. Pourquoi? Parce que les pays européens ne peuvent pas fournir davantage", explique-t-il.
"L'équipement a été promis, préparé et partiellement livré. Au sens large, nous sommes prêts", a-t-il affirmé au cours d'une conférence de presse. "Quand Dieu le voudra, (et quand il y aura) la météo et la décision des commandants, on le fera", expliquait Oleksiï Reznikov fin avril.
En attendant le début de cette grande offensive, la Russie et la Crimée annexée ont été la cible d'une série d'attaques que Kiev n'a cependant pas revendiquées.
Ces derniers jours, les préparatifs "touchent à leur fin", a déclaré le ministre ukrainien de la Défense Oleksiï Reznikov. De son côté, l'Otan a affirmé que 98% des armes occidentales promises ont été livrées, dont 1550 véhicules blindés, 230 tanks et beaucoup de munitions.
"Les Ukrainiens ont formé 12 brigades de chacune 4000 hommes, soit près de 50.000 hommes. Ils ont préparé des unités pour lancer cette offensive", explique Ulysse Gosset, éditorialiste politique internationale BFMTV.
Mais attention. "Cette offensive, c'est un fusil à un coup", assure au micro de BFMTV le général Jérôme Pellistrandi.
"Les Ukrainiens doivent impérativement réussir et obtenir une victoire militaire sur le terrain. Pourquoi? Parce que les pays européens ne peuvent pas fournir davantage", explique-t-il.
"L'équipement a été promis, préparé et partiellement livré. Au sens large, nous sommes prêts", a-t-il affirmé au cours d'une conférence de presse. "Quand Dieu le voudra, (et quand il y aura) la météo et la décision des commandants, on le fera", expliquait Oleksiï Reznikov fin avril.
En attendant le début de cette grande offensive, la Russie et la Crimée annexée ont été la cible d'une série d'attaques que Kiev n'a cependant pas revendiquées.