Lors de sa réunion avec la commission parlementaire des affaires étrangères pour discuter de la saison de pèlerinage 2020, le ministre des Affaires islamiques, a annoncé que «seules les autorités saoudiennes peuvent prendre la décision finale», ajoutant que jusqu’à maintenant ils n’ont reçu aucune notification ou communication officielle de la part du ministère saoudien du Hajj concernant ce qui va se passer lors des prochains jours, «nous avons une correspondance du ministre saoudien, depuis le mois de mars, qui demande d'attendre avant de conclure un contrat», précise-t-il.
Rappelons que le Hajj devrait avoir lieu entre la dernière semaine de juillet et la première semaine d'août, cependant, le ministre a affirmé que le Maroc ne pourra prendre notre propre décision «qu’à la lumière de la décision saoudienne». Jusqu'à présent, le Maroc n'a pas pris de dispositions logistiques pour les pèlerins devant se rendre au Hajj sous la supervision du ministère des Affaires islamiques, apprend-t-on de même source.
Suite au manque de visibilité des opérations futurs, le ministère de tutelle n'a signé aucun contrat d'hébergement, de restauration et de transport des pèlerins marocains en Arabie saoudite. «jusqu'à présent, nous n'avons signé aucun contrat lié aux services d'hébergement, de transport et de subsistance», déclare M. Taoufik, «le pèlerinage nécessite beaucoup d'organisation, de mesures et de temps», précise-t-il.
Ceci dit, même si le pèlerinage du Hajj se poursuit, il risque d’être exceptionnel cette année, surtout que la situation épidémiologique de l’Arabie saoudite, est toujours instable. Ne serait-ce qu’hier, le pays a enregistré 1 644 nouveaux cas positifs à la Covid-19. Au total, le pays compte 80.185 cas et 25.191 cas actifs.
Pour rappel, le quota de pèlerins à la Mecque pour le Maroc cette année a été fixé à 34.000.
Rappelons que le Hajj devrait avoir lieu entre la dernière semaine de juillet et la première semaine d'août, cependant, le ministre a affirmé que le Maroc ne pourra prendre notre propre décision «qu’à la lumière de la décision saoudienne». Jusqu'à présent, le Maroc n'a pas pris de dispositions logistiques pour les pèlerins devant se rendre au Hajj sous la supervision du ministère des Affaires islamiques, apprend-t-on de même source.
Suite au manque de visibilité des opérations futurs, le ministère de tutelle n'a signé aucun contrat d'hébergement, de restauration et de transport des pèlerins marocains en Arabie saoudite. «jusqu'à présent, nous n'avons signé aucun contrat lié aux services d'hébergement, de transport et de subsistance», déclare M. Taoufik, «le pèlerinage nécessite beaucoup d'organisation, de mesures et de temps», précise-t-il.
Ceci dit, même si le pèlerinage du Hajj se poursuit, il risque d’être exceptionnel cette année, surtout que la situation épidémiologique de l’Arabie saoudite, est toujours instable. Ne serait-ce qu’hier, le pays a enregistré 1 644 nouveaux cas positifs à la Covid-19. Au total, le pays compte 80.185 cas et 25.191 cas actifs.
Pour rappel, le quota de pèlerins à la Mecque pour le Maroc cette année a été fixé à 34.000.