Le 28 mars à Casablanca, l’Alliance des Économistes Istiqlaliens (AEI) et la Commission Économique et Développement Durable de la Commission préparatoire du 18ème Congrès du Parti de l’Istiqlal ont organisé une conférence-débat sur le thème de « Création massive d’emplois de qualité : défis et perspectives ».
Dans le cadre de sa contribution au débat, Hassan Sentissi a expliqué qu'en tant que président de l'Association Marocaine des Exportateurs (ASMEX), qu’il a fondée il y a 40 ans, il a veillé à accompagner les exportateurs marocains et à développer leurs capacités pour faire face à la concurrence internationale, à travers un ensemble de mesures pratiques.
Le président Sentissi, Membre du Comité Exécutif du Parti de l’Istiqlal, a ajouté que le Maroc a pu attirer les plus grandes entreprises multinationales, grâce à la stabilité dont jouit notre pays, en plus de la qualité de sa main-d'œuvre et de l'activation de la nouvelle Charte d'investissement.
Cependant, a-t-il expliqué, les performances des exportations marocaines restent faibles. Dans cette optique et selon une étude réalisée par son institution, en partenariat avec le ministère de l'Industrie et du Commerce et l'Agence Marocaine de Développement des Investissements et des Exportations (AMDIE), les exportations du pays ne représentent que 0,15% du commerce mondial. Ces exportations vers les marchés mondiaux, en particulier vers les pays de l'Union Européenne, plus particulièrement l'Espagne et la France, ne dépassent pas le tiers (1/3) tandis que les deux tiers de ces exportations (2/3) sont absents des grands marchés.
M. Hassan Sentissi a souligné, en outre, que la création massive et de qualité d’emplois est un objectif noble, et « ne peut être réalisée que par le soutien et le développement des industries nationales d'exportation, car l'exportation contribue à la création de valeur ajoutée grâce à la qualité de l'emploi qualifié ».
« L'exportation joue un rôle important dans la création d'emplois et la stimulation de l'économie nationale, et la diversification des industries au Maroc permettra d'augmenter la demande de main-d'œuvre qualifiée et de contribuer à attirer les investissements étrangers », a-t-il fait remarquer
Par ailleurs, le président de l’ASMEX a regretté que tous les avantages dont bénéficiaient, auparavant, les entreprises exportatrices ont été abandonnés pour permettre la sortie de la liste grise de l'Union Européenne. Ce qui a causé à ces entreprises des problèmes financiers et logistiques, et réduit leur capacité à s’imposer dans un environnement concurrentiel de plus en plus féroce.
Il a, dans ce sens, proposé la création d'une banque pour régler les problèmes de performance des exportateurs marocains vers un certain nombre de pays, ainsi que la mise en place d'assurances publiques pour couvrir les multiples risques auxquels sont confrontées les entreprises exportatrices sur un certain nombre de marchés.
Dans le cadre de sa contribution au débat, Hassan Sentissi a expliqué qu'en tant que président de l'Association Marocaine des Exportateurs (ASMEX), qu’il a fondée il y a 40 ans, il a veillé à accompagner les exportateurs marocains et à développer leurs capacités pour faire face à la concurrence internationale, à travers un ensemble de mesures pratiques.
Le président Sentissi, Membre du Comité Exécutif du Parti de l’Istiqlal, a ajouté que le Maroc a pu attirer les plus grandes entreprises multinationales, grâce à la stabilité dont jouit notre pays, en plus de la qualité de sa main-d'œuvre et de l'activation de la nouvelle Charte d'investissement.
Cependant, a-t-il expliqué, les performances des exportations marocaines restent faibles. Dans cette optique et selon une étude réalisée par son institution, en partenariat avec le ministère de l'Industrie et du Commerce et l'Agence Marocaine de Développement des Investissements et des Exportations (AMDIE), les exportations du pays ne représentent que 0,15% du commerce mondial. Ces exportations vers les marchés mondiaux, en particulier vers les pays de l'Union Européenne, plus particulièrement l'Espagne et la France, ne dépassent pas le tiers (1/3) tandis que les deux tiers de ces exportations (2/3) sont absents des grands marchés.
M. Hassan Sentissi a souligné, en outre, que la création massive et de qualité d’emplois est un objectif noble, et « ne peut être réalisée que par le soutien et le développement des industries nationales d'exportation, car l'exportation contribue à la création de valeur ajoutée grâce à la qualité de l'emploi qualifié ».
« L'exportation joue un rôle important dans la création d'emplois et la stimulation de l'économie nationale, et la diversification des industries au Maroc permettra d'augmenter la demande de main-d'œuvre qualifiée et de contribuer à attirer les investissements étrangers », a-t-il fait remarquer
Par ailleurs, le président de l’ASMEX a regretté que tous les avantages dont bénéficiaient, auparavant, les entreprises exportatrices ont été abandonnés pour permettre la sortie de la liste grise de l'Union Européenne. Ce qui a causé à ces entreprises des problèmes financiers et logistiques, et réduit leur capacité à s’imposer dans un environnement concurrentiel de plus en plus féroce.
Il a, dans ce sens, proposé la création d'une banque pour régler les problèmes de performance des exportateurs marocains vers un certain nombre de pays, ainsi que la mise en place d'assurances publiques pour couvrir les multiples risques auxquels sont confrontées les entreprises exportatrices sur un certain nombre de marchés.
