Dans une allocution à l’ouverture de la 11ème édition de la Conférence africaine sur les droits en santé sexuelle et reproductive, organisée sous le Haut Patronage de Sa Majesté le Roi Mohammed VI, Mme Hayar a souligné que le Maroc a déployé "des efforts exceptionnels depuis le début de la pandémie du Covid-19", qui se sont traduits par un "changement radical dans le traitement des questions de la santé et de la famille, ainsi que la promotion des droits des femmes et des filles", ajoutant que ces efforts ont abouti à la mise en œuvre de programmes structurés, d’initiatives et de politiques visant à promouvoir la santé et le bien-être des individus et des familles.
Elle a, dans ce contexte, rappelé la volonté du Royaume de créer une cohérence entre les différents programmes et grands chantiers lancés par Sa Majesté le Roi Mohammed VI et "accompagnés par le gouvernement avec l’implication et la mobilisation nécessaires", compte tenu de l’évolution de la société marocaine, du développement technologique et des rapides mutations que vivent les familles sur les plans économique, social et environnemental.
Après avoir mis en exergue le chantier de la révision du Code de la famille, Mme Hayar a insisté sur l'importance d'assurer toutes les conditions de protection juridique, sanitaire et sociale de la famille et de toutes ses composantes.
Notant que la tenue de cette conférence reflète la volonté commune de contribuer à la promotion du droit à la santé et au bien-être de toutes les familles en harmonie avec les choix et orientations communs, Mme Hayar a relevé que la dimension africaine de l’événement "reflète sans aucun doute notre forte volonté de répondre aux préoccupations des populations de notre continent", notamment celles liées à l’accès aux différents droits, y compris le droit à la santé et au bien-être.
Mme Hayar s’est attardée, par ailleurs, sur les différents programmes lancés par le ministère dans le cadre du programme gouvernemental actuel dans la perspective de promouvoir le bien-être familial et protéger les droits des filles et des femmes, à l’instar du programme "Jissr familial", qui consiste en des centres sociaux répartis dans tout le Royaume dans le but de sensibiliser les familles dès leur constitution, ainsi que d'autres programmes visant à promouvoir la santé sexuelle et reproductive pour les femmes, les filles et tous les membres de la famille.
Et la ministre de souligner l'importance d'investir dans la santé, en général, et dans la santé sexuelle et reproductive, en particulier, comme levier pour promouvoir les droits des femmes et des filles en tant que facteur déterminant du bien-être familial, appelant à construire des ponts de coopération afin de développer une plate-forme d'action commune entre les pays africains.
Placée sous le thème "La santé sexuelle et reproductive et le bien-être familial en Afrique", cette conférence africaine de trois jours est organisée par l'Association marocaine de planification familiale (AMPF) en partenariat avec l'International Planned Parenthood Federation (IPPF) et l'ONG Action Health Incorporated. Elle vise à discuter des politiques et à partager les meilleures pratiques liées aux droits à la santé sexuelle et reproductive des femmes et des jeunes en Afrique.
Cet événement régional vise également à offrir des opportunités de rencontres et de réseaux afin de renforcer les actions et les initiatives en faveur de la santé sexuelle et reproductive au niveau du continent africain.
Elle a, dans ce contexte, rappelé la volonté du Royaume de créer une cohérence entre les différents programmes et grands chantiers lancés par Sa Majesté le Roi Mohammed VI et "accompagnés par le gouvernement avec l’implication et la mobilisation nécessaires", compte tenu de l’évolution de la société marocaine, du développement technologique et des rapides mutations que vivent les familles sur les plans économique, social et environnemental.
Après avoir mis en exergue le chantier de la révision du Code de la famille, Mme Hayar a insisté sur l'importance d'assurer toutes les conditions de protection juridique, sanitaire et sociale de la famille et de toutes ses composantes.
Notant que la tenue de cette conférence reflète la volonté commune de contribuer à la promotion du droit à la santé et au bien-être de toutes les familles en harmonie avec les choix et orientations communs, Mme Hayar a relevé que la dimension africaine de l’événement "reflète sans aucun doute notre forte volonté de répondre aux préoccupations des populations de notre continent", notamment celles liées à l’accès aux différents droits, y compris le droit à la santé et au bien-être.
Mme Hayar s’est attardée, par ailleurs, sur les différents programmes lancés par le ministère dans le cadre du programme gouvernemental actuel dans la perspective de promouvoir le bien-être familial et protéger les droits des filles et des femmes, à l’instar du programme "Jissr familial", qui consiste en des centres sociaux répartis dans tout le Royaume dans le but de sensibiliser les familles dès leur constitution, ainsi que d'autres programmes visant à promouvoir la santé sexuelle et reproductive pour les femmes, les filles et tous les membres de la famille.
Et la ministre de souligner l'importance d'investir dans la santé, en général, et dans la santé sexuelle et reproductive, en particulier, comme levier pour promouvoir les droits des femmes et des filles en tant que facteur déterminant du bien-être familial, appelant à construire des ponts de coopération afin de développer une plate-forme d'action commune entre les pays africains.
Placée sous le thème "La santé sexuelle et reproductive et le bien-être familial en Afrique", cette conférence africaine de trois jours est organisée par l'Association marocaine de planification familiale (AMPF) en partenariat avec l'International Planned Parenthood Federation (IPPF) et l'ONG Action Health Incorporated. Elle vise à discuter des politiques et à partager les meilleures pratiques liées aux droits à la santé sexuelle et reproductive des femmes et des jeunes en Afrique.
Cet événement régional vise également à offrir des opportunités de rencontres et de réseaux afin de renforcer les actions et les initiatives en faveur de la santé sexuelle et reproductive au niveau du continent africain.