Cette date, qui fut suivie d’un autre soulèvement à Tafoughalt le 17 août 1953, illustre le rôle prépondérant de feu Sa Majesté Mohammed V, qui, en harmonie avec son peuple, mena une lutte pour l’indépendance et refusa de se soumettre à la volonté de l’occupant. Grâce à l’héroïsme et aux sacrifices consentis par les habitants de l’Oriental pour la défense de la souveraineté nationale, cette région a pu entrer dans l’Histoire par la grande porte.
Le mouvement national et la résistance d’Oujda ont organisé ce soulèvement minutieusement et ont lancé plusieurs opérations contre l’occupant, dont celles visant les chemins de fer, la centrale électrique et les casernes militaires. Pour commémorer cet événement, le Haut-Commissariat aux anciens résistants et anciens membres de l’armée de libération a organisé, mardi dans la capitale de l’Oriental, un meeting pour célébrer le 69ème anniversaire du soulèvement du 16 août 1953 à Oujda, première étincelle de la Révolution du Roi et du Peuple.
Dans une allocution à cette occasion, le Haut-Commissaire aux anciens résistants et anciens membres de l’armée de libération, Mustapha El Ktiri, a souligné que le soulèvement de la population d’Oujda contre l’occupant le 16 août 1953 restera à jamais un événement phare dans la mémoire de la nation marocaine, et une épopée glorieuse sur le chemin de l’indépendance du Maroc.
Il a mis en exergue les sacrifices consentis à travers l’Histoire par les habitants de la région de l’Oriental pour préserver l’indépendance et la souveraineté du Royaume, notamment la lutte contre l’occupation française depuis la bataille d’Isly en 1844 et jusqu’au soulèvements d’Oujda et de Tafoughalt (province de Berkane), respectivement les 16 et 17 août 1953.
Soif de liberté
En effet, l’évènement historique qui a été minutieusement organisé et qui a connu la participation des différentes couches de la société, se nourrissait, en effet, de l’attachement indéfectible au glorieux Trône Alaouite et à l’intégrité territoriale, reflétant ainsi la détermination des Marocains à consentir tous les sacrifices pour la liberté et l’Indépendance.
Ainsi, la ville d’Oujda a été au coeur de la résistance contre l’injustice et les diktats des colonisateurs et s’est mobilisée aux côtés des nationalistes assoiffés de liberté, avec à leur tête, le Père de la Nation feu SM Mohammed V et son compagnon de lutte feu SM Hassan II.
Cette mobilisation historique, qui représente la première étincelle de la Révolution du Roi et du Peuple, a été une grande épopée sur le chemin de l’indépendance. Elle traduit l’héroïsme du peuple marocain, sa grandeur et sa soif de liberté.
Le sang de la liberté
En effet, les populations des villes d’Oujda, de Berkane et de Tafoughalt ont défié, lors de ce soulèvement, les balles des forces d’occupation. Plusieurs martyrs sont tombés sur le champ d’honneur et la répression sauvage s’est poursuivie par des arrestations dans les rangs des nationalistes. Elles ont bravé les balles des forces d’occupation lors de ce soulèvement. De nombreux martyrs sont tombés sur le champ d’honneur et la répression brutale s’est poursuivie avec des arrestations parmi les nationalistes.
Cet événement a sonné le glas du colonialisme, compte tenu de la grande envergure de ce soulèvement qui a suffi pour convaincre la puissance coloniale que sa présence au Maroc tire vers sa fin, a relevé Mustapha El Ktiri. En dépit de la répression à l’encontre des résistants et nationalistes participant à ce soulèvement, la population oujdie est restée déterminée à poursuivre sa révolte contre la présence coloniale, montrant la voie au reste du peuple marocain qui a lancé, quelques jours après, la glorieuse révolution du 20 août 1953, a-t-dit.
Cette commémoration est une occasion pour se rendre hommage aux sacrifices des héros de la résistance, qui ont fait preuve d’un sens élevé de patriotisme et d’un attachement indéfectible au glorieux Trône Alaouite, a-t-il ajouté, appelant à préserver la mémoire de la résistance et de l’armée de libération et à la transmettre aux jeunes générations. Les intervenants lors de cette rencontre ont mis l’accent sur l’importance du soulèvement du 16 août à Oujda et des événements des jours suivants à Berkane, Béni-Snassen et d’autres zones avoisinantes, notant que cette rencontre permet de mettre en lumière les hauts faits de la lutte nationale, qui constituent un patrimoine historique national et font partie de la mémoire collective du peuple marocain.
Ces événements majeurs ont montré comment les habitants de la capitale de l’Oriental ont vécu l’atmosphère d’effervescence et de patriotisme qui a embrasé tout le pays, représentant un tournant décisif dans la lutte du peuple marocain contre le colonialisme, en reflétant des liens profonds et solides entre le Trône Alaouite et le peuple et la volonté commune d’achever l’intégrité territoriale du Maroc.
Le mouvement national et la résistance d’Oujda ont organisé ce soulèvement minutieusement et ont lancé plusieurs opérations contre l’occupant, dont celles visant les chemins de fer, la centrale électrique et les casernes militaires. Pour commémorer cet événement, le Haut-Commissariat aux anciens résistants et anciens membres de l’armée de libération a organisé, mardi dans la capitale de l’Oriental, un meeting pour célébrer le 69ème anniversaire du soulèvement du 16 août 1953 à Oujda, première étincelle de la Révolution du Roi et du Peuple.
Dans une allocution à cette occasion, le Haut-Commissaire aux anciens résistants et anciens membres de l’armée de libération, Mustapha El Ktiri, a souligné que le soulèvement de la population d’Oujda contre l’occupant le 16 août 1953 restera à jamais un événement phare dans la mémoire de la nation marocaine, et une épopée glorieuse sur le chemin de l’indépendance du Maroc.
Il a mis en exergue les sacrifices consentis à travers l’Histoire par les habitants de la région de l’Oriental pour préserver l’indépendance et la souveraineté du Royaume, notamment la lutte contre l’occupation française depuis la bataille d’Isly en 1844 et jusqu’au soulèvements d’Oujda et de Tafoughalt (province de Berkane), respectivement les 16 et 17 août 1953.
Soif de liberté
En effet, l’évènement historique qui a été minutieusement organisé et qui a connu la participation des différentes couches de la société, se nourrissait, en effet, de l’attachement indéfectible au glorieux Trône Alaouite et à l’intégrité territoriale, reflétant ainsi la détermination des Marocains à consentir tous les sacrifices pour la liberté et l’Indépendance.
Ainsi, la ville d’Oujda a été au coeur de la résistance contre l’injustice et les diktats des colonisateurs et s’est mobilisée aux côtés des nationalistes assoiffés de liberté, avec à leur tête, le Père de la Nation feu SM Mohammed V et son compagnon de lutte feu SM Hassan II.
Cette mobilisation historique, qui représente la première étincelle de la Révolution du Roi et du Peuple, a été une grande épopée sur le chemin de l’indépendance. Elle traduit l’héroïsme du peuple marocain, sa grandeur et sa soif de liberté.
Le sang de la liberté
En effet, les populations des villes d’Oujda, de Berkane et de Tafoughalt ont défié, lors de ce soulèvement, les balles des forces d’occupation. Plusieurs martyrs sont tombés sur le champ d’honneur et la répression sauvage s’est poursuivie par des arrestations dans les rangs des nationalistes. Elles ont bravé les balles des forces d’occupation lors de ce soulèvement. De nombreux martyrs sont tombés sur le champ d’honneur et la répression brutale s’est poursuivie avec des arrestations parmi les nationalistes.
Cet événement a sonné le glas du colonialisme, compte tenu de la grande envergure de ce soulèvement qui a suffi pour convaincre la puissance coloniale que sa présence au Maroc tire vers sa fin, a relevé Mustapha El Ktiri. En dépit de la répression à l’encontre des résistants et nationalistes participant à ce soulèvement, la population oujdie est restée déterminée à poursuivre sa révolte contre la présence coloniale, montrant la voie au reste du peuple marocain qui a lancé, quelques jours après, la glorieuse révolution du 20 août 1953, a-t-dit.
Cette commémoration est une occasion pour se rendre hommage aux sacrifices des héros de la résistance, qui ont fait preuve d’un sens élevé de patriotisme et d’un attachement indéfectible au glorieux Trône Alaouite, a-t-il ajouté, appelant à préserver la mémoire de la résistance et de l’armée de libération et à la transmettre aux jeunes générations. Les intervenants lors de cette rencontre ont mis l’accent sur l’importance du soulèvement du 16 août à Oujda et des événements des jours suivants à Berkane, Béni-Snassen et d’autres zones avoisinantes, notant que cette rencontre permet de mettre en lumière les hauts faits de la lutte nationale, qui constituent un patrimoine historique national et font partie de la mémoire collective du peuple marocain.
Ces événements majeurs ont montré comment les habitants de la capitale de l’Oriental ont vécu l’atmosphère d’effervescence et de patriotisme qui a embrasé tout le pays, représentant un tournant décisif dans la lutte du peuple marocain contre le colonialisme, en reflétant des liens profonds et solides entre le Trône Alaouite et le peuple et la volonté commune d’achever l’intégrité territoriale du Maroc.
Hommage aux résistants
Au cours du meeting pour célébrer le 69ème anniversaire du soulèvement du 16 août 1953 à Oujda, tenu avec la participation notamment du secrétaire général de la Wilaya de l’Oriental, Abdessalam El Hattach, du président du Conseil communal d’Oujda, Mohamed Azzaoui, d’élus, d’anciens résistants et ayants droit et d’autres personnalités, des wissams royaux ont été remis, à titre posthume, à deux anciens membres de la famille de la résistance.
Sept autres anciens résistants ont reçu des hommages posthumes lors de ce meeting, marqué également par la distribution d’un total de 108 aides financières et sociales au profit d’anciens résistants ou de leurs ayants droit, pour une enveloppe globale de 232.000 dirhams.
Cette manifestation a été précédée d’un hommage rendu, place du 16 Août à Oujda, à la mémoire des martyrs et héros de l’Indépendance. Les soulèvements courageux du 16 août à Oujda et du 17 août 1953 à Tafoughalt reflètent l’héroïsme et les énormes sacrifices consentis par les habitants de l’Oriental pour la défense de la souveraineté nationale et l’intégrité territoriale.