Le Maroc importe presque la totalité de ses besoins en matière de graines oléagineuses avec un taux de dépendance supérieur à 98% des matières premières issues de l’étranger, d'où la hausse des prix de l'huile de table.
Les hausses sont expliquées par plusieurs éléments, notamment le fret maritime qui a augmenté à cause des dysfonctionnements des réseaux logistiques, la hausse des prix des carburants, ainsi que les conditions climatiques inadaptées qui ont affecté la production de certains produits agricoles.
D'ailleurs, l'huile de table n'est pas le seul produit impacté par cette crise mondiale, les prix du blé dur ont également enregistré une augmentation de plus de 50%, et des augmentations comprises entre 51 et 69% au niveau du carburant. Les dérivés du blé dur, tels que la semoule, le couscous et les pâtes, ont connu des augmentations remarquables.
En ce qui concerne les mesures adoptées pour faire face aux hausses successives des prix, le document indique que la surveillance continue des prix et le suivi continu des marchés sont parmi les mécanismes les plus importants adoptés pour maintenir la stabilité des prix.
Le gouvernement a également augmenté son budget de soutien aux matières premières d'environ 16 à 32 milliards de dirhams, avec un soutien supplémentaire pour le prix du blé tendre importé, qui représente 80% de la consommation de farine des ménages marocains, ainsi qu'un soutien direct aux professionnels du transport pour atténuer l'impact de la hausse des prix du carburant.
Les hausses sont expliquées par plusieurs éléments, notamment le fret maritime qui a augmenté à cause des dysfonctionnements des réseaux logistiques, la hausse des prix des carburants, ainsi que les conditions climatiques inadaptées qui ont affecté la production de certains produits agricoles.
D'ailleurs, l'huile de table n'est pas le seul produit impacté par cette crise mondiale, les prix du blé dur ont également enregistré une augmentation de plus de 50%, et des augmentations comprises entre 51 et 69% au niveau du carburant. Les dérivés du blé dur, tels que la semoule, le couscous et les pâtes, ont connu des augmentations remarquables.
En ce qui concerne les mesures adoptées pour faire face aux hausses successives des prix, le document indique que la surveillance continue des prix et le suivi continu des marchés sont parmi les mécanismes les plus importants adoptés pour maintenir la stabilité des prix.
Le gouvernement a également augmenté son budget de soutien aux matières premières d'environ 16 à 32 milliards de dirhams, avec un soutien supplémentaire pour le prix du blé tendre importé, qui représente 80% de la consommation de farine des ménages marocains, ainsi qu'un soutien direct aux professionnels du transport pour atténuer l'impact de la hausse des prix du carburant.