Le membre du Comité national scientifique et technique, Pr. Azeddine Ibrahimi, a mis en garde contre la propagation du nouveau variant sud-africain Omicron, précisant que ce dernier sera plus dominant que le variant Delta dans les quatre à cinq semaines à venir.
Le professeur a estimé que la forte baisse du nombre de personnes vaccinées, spécialement celles concernées par la dose de rappel, expose le Royaume à des risques inédits de propagation, notant malgré quelques chiffres préliminaires en Afrique du Sud qui témoignent de la virulence de ce nouveau variant, les informations disponibles jusqu'aujourd'hui demeurent insuffisantes pour en tirer les bonnes conclusions.
Tout en rappelant que le rappel vaccinal contre le Covid-19 est désormais possible à quatre mois seulement après la deuxième dose, Ibrahimi a appelé à privilégier le travail à distance ou à la prolongation des vacances scolaires d'une semaine supplémentaire pour éviter le pire pour l'instant.
M. IBrahimi a également appelé à la vaccination, rappelant l'importance de recevoir le vaccin anti-Covid, ainsi que la dose de rappel qui renforce l'immunité 48 heures après son injection. Il a également mis l’accent sur la nécessité du respect des mesures préventives en vigueur, en l'occurrence la distanciation physique, le port des masques, la désinfection des surfaces et le respect des règles d’hygiène ainsi que le non rassemblement dans les endroits fermés.
Il convient de noter que le ministère de la Santé et de la protection sociale avait annoncé, mercredi, la détection d’un premier cas d’infection au nouveau variant du coronavirus Omicron chez une femme de nationalité marocaine à Casablanca.
Le ministère avait ensuite indiqué que la patiente, dont l'état de santé est stable et ne suscite pas d'inquiétude, a été placée sous supervision médicale dans un établissement hospitalier de la ville de Casablanca, conformément aux mesures sanitaires en vigueur.
Le professeur a estimé que la forte baisse du nombre de personnes vaccinées, spécialement celles concernées par la dose de rappel, expose le Royaume à des risques inédits de propagation, notant malgré quelques chiffres préliminaires en Afrique du Sud qui témoignent de la virulence de ce nouveau variant, les informations disponibles jusqu'aujourd'hui demeurent insuffisantes pour en tirer les bonnes conclusions.
Tout en rappelant que le rappel vaccinal contre le Covid-19 est désormais possible à quatre mois seulement après la deuxième dose, Ibrahimi a appelé à privilégier le travail à distance ou à la prolongation des vacances scolaires d'une semaine supplémentaire pour éviter le pire pour l'instant.
M. IBrahimi a également appelé à la vaccination, rappelant l'importance de recevoir le vaccin anti-Covid, ainsi que la dose de rappel qui renforce l'immunité 48 heures après son injection. Il a également mis l’accent sur la nécessité du respect des mesures préventives en vigueur, en l'occurrence la distanciation physique, le port des masques, la désinfection des surfaces et le respect des règles d’hygiène ainsi que le non rassemblement dans les endroits fermés.
Il convient de noter que le ministère de la Santé et de la protection sociale avait annoncé, mercredi, la détection d’un premier cas d’infection au nouveau variant du coronavirus Omicron chez une femme de nationalité marocaine à Casablanca.
Le ministère avait ensuite indiqué que la patiente, dont l'état de santé est stable et ne suscite pas d'inquiétude, a été placée sous supervision médicale dans un établissement hospitalier de la ville de Casablanca, conformément aux mesures sanitaires en vigueur.