Faisant partie des îles purpuraires (du latin purpura : pourpre), elles forment un archipel à quelques centaines de mètres de la côte de la ville d’Essaouira.
Gorgée d’histoire, l’île de fortification comprend des vestiges d’une valeur si précieuse, notamment avec deux citadelles, avec dans chaque coin des échauguettes et un paysage investi de baliveaux et de nids de mouettes et de goélands entre autres, ce qui lui a valu d’être classée Patrimoine mondial de l’Humanité par l’UNESCO depuis 2001, indique une source responsable de la délégation provinciale du tourisme.
L’ile principale, île de Mogador, îlot de Mogador ou Grand-île, s’étend sur 30 hectares. La deuxième île, île de Pharaon, fait 400 m, précise la même source, ajoutant que “les nombreuses et grandes traces archéologiques constatées, parfois, à œil nu dans différents coins de ce grand écueil, attestent du passage successif des Grecs, Chypriotes, Phéniciens, Carthaginois, et surtout des Berbères et Romains.
Autre composante architectural de l’Île de Mogador n’est autre qu’une prison désaffectée qui porte le nom de Prison de Mogador et qui fut édifiée sous le règne du Sultan Moulay Abdelaziz. Avec une enceinte rectangulaire à ciel ouvert, cet ancien espace d’incarcération de 150 m, dispose d’un seul accès et compte cinq portes de tailles différentes qui s’enchainent une après l’autre, de la plus grande vers la plus petite comme pour se prémunir, à l’époque, contre une éventuelle évasion, conclut la même source.
Outre sa réserve d’oiseaux (mouettes et goélands…), c’est un lieu d’accueil pour les Faucons d’Eléonore (espèce très rare) qui viennent s’y reproduire entre avril et octobre avant de repartir pour la lointaine Madagascar, mentionnent des touristes étrangers. Les îles jouent également un rôle de protection de la baie contre les puissantes vagues de l’Atlantique.
Par ailleurs, relève un guide touristique, sur l’Île de Mogador, à l’extrême gauche, on constate, depuis la corniche d’Essaouira, une mosquée flanquée de son minaret, ce qui témoigne qu’elle est restée, au fil des siècles, un espace vivant et en évolution permanente.
Gorgée d’histoire, l’île de fortification comprend des vestiges d’une valeur si précieuse, notamment avec deux citadelles, avec dans chaque coin des échauguettes et un paysage investi de baliveaux et de nids de mouettes et de goélands entre autres, ce qui lui a valu d’être classée Patrimoine mondial de l’Humanité par l’UNESCO depuis 2001, indique une source responsable de la délégation provinciale du tourisme.
L’ile principale, île de Mogador, îlot de Mogador ou Grand-île, s’étend sur 30 hectares. La deuxième île, île de Pharaon, fait 400 m, précise la même source, ajoutant que “les nombreuses et grandes traces archéologiques constatées, parfois, à œil nu dans différents coins de ce grand écueil, attestent du passage successif des Grecs, Chypriotes, Phéniciens, Carthaginois, et surtout des Berbères et Romains.
Autre composante architectural de l’Île de Mogador n’est autre qu’une prison désaffectée qui porte le nom de Prison de Mogador et qui fut édifiée sous le règne du Sultan Moulay Abdelaziz. Avec une enceinte rectangulaire à ciel ouvert, cet ancien espace d’incarcération de 150 m, dispose d’un seul accès et compte cinq portes de tailles différentes qui s’enchainent une après l’autre, de la plus grande vers la plus petite comme pour se prémunir, à l’époque, contre une éventuelle évasion, conclut la même source.
Outre sa réserve d’oiseaux (mouettes et goélands…), c’est un lieu d’accueil pour les Faucons d’Eléonore (espèce très rare) qui viennent s’y reproduire entre avril et octobre avant de repartir pour la lointaine Madagascar, mentionnent des touristes étrangers. Les îles jouent également un rôle de protection de la baie contre les puissantes vagues de l’Atlantique.
Par ailleurs, relève un guide touristique, sur l’Île de Mogador, à l’extrême gauche, on constate, depuis la corniche d’Essaouira, une mosquée flanquée de son minaret, ce qui témoigne qu’elle est restée, au fil des siècles, un espace vivant et en évolution permanente.
Mohamed LOKHNATI