L'étude a révélé que 10,9% des jeunes Marocains envisagent toujours l'immigration clandestine, ce qui reflète « le manques de débouchés et de perspectives pour cette catégorie au sein de la société, malgré les acquis du pays en matière de politiques publiques au cours des deux dernières décennies ».
La recherche a montré que 65,1% des jeunes marocains préfèrent vivre à l'extérieur du pays, notamment en Europe, au Canada et aux États-Unis d'Amérique. Ce que le document attribue à « la fascination des nouvelles générations de la jeunesse marocaine par les pays occidentaux, et leurs progrès économiques, sociaux et scientifiques ».
« Cela est dû également à l'insatisfaction implicite face à la situation sociale, économique et culturelle vécue par les jeunes du pays », relève l'étude, ajoutant que ce mécontentement est accentué par certains classements négatifs de différents secteurs de l'économie marocaine dans les rapports internationaux spécialisés, et « le manque d'opportunités d'emploi décent ».
L'étude a révélé que bien que 66% des jeunes interrogés travaillent dans les secteurs publics, semi-publics, privés et autres, 58,3% d'entre eux envisagent une migration régulière, tandis que 16,4% ont exprimé des hésitations à cet égard.
Afin de comprendre ce problème qui prend de plus en plus de l'ampleur au sein de notre pays, la recherche de terrain est partie de deux questions centrales : « Quels sont les facteurs qui poussent la jeunesse marocaine à penser à émigrer ? Et comment l'Etat peut-il lutter contre ce phénomène ? ».
Le chercheur marocain a distribué un questionnaire à un grand nombre de jeunes (503) qui ont entre 16 et 40 ans, répartis dans toutes les régions du Royaume.
Quant aux motifs de migration, 42,7% des répondants l'ont attribué à des raisons économiques, 10,3 % des répondants l'ont attribué à des facteurs sociaux, tandis que 10,3 % ont affirmé être prêts à immigrer pour des raisons sécuritaires, culturelles et psychologiques.
La recherche a montré que 65,1% des jeunes marocains préfèrent vivre à l'extérieur du pays, notamment en Europe, au Canada et aux États-Unis d'Amérique. Ce que le document attribue à « la fascination des nouvelles générations de la jeunesse marocaine par les pays occidentaux, et leurs progrès économiques, sociaux et scientifiques ».
« Cela est dû également à l'insatisfaction implicite face à la situation sociale, économique et culturelle vécue par les jeunes du pays », relève l'étude, ajoutant que ce mécontentement est accentué par certains classements négatifs de différents secteurs de l'économie marocaine dans les rapports internationaux spécialisés, et « le manque d'opportunités d'emploi décent ».
L'étude a révélé que bien que 66% des jeunes interrogés travaillent dans les secteurs publics, semi-publics, privés et autres, 58,3% d'entre eux envisagent une migration régulière, tandis que 16,4% ont exprimé des hésitations à cet égard.
Afin de comprendre ce problème qui prend de plus en plus de l'ampleur au sein de notre pays, la recherche de terrain est partie de deux questions centrales : « Quels sont les facteurs qui poussent la jeunesse marocaine à penser à émigrer ? Et comment l'Etat peut-il lutter contre ce phénomène ? ».
Le chercheur marocain a distribué un questionnaire à un grand nombre de jeunes (503) qui ont entre 16 et 40 ans, répartis dans toutes les régions du Royaume.
Quant aux motifs de migration, 42,7% des répondants l'ont attribué à des raisons économiques, 10,3 % des répondants l'ont attribué à des facteurs sociaux, tandis que 10,3 % ont affirmé être prêts à immigrer pour des raisons sécuritaires, culturelles et psychologiques.