La problématique de la salle Driss Ben Chekroun à Marrakech est toujours d’actualité.
Auparavant, les représentants de la société civile à Marrakech se sont plaints à plusieurs fois d’une situation « non réglementaire » selon leurs dires et qui perdure depuis belle lurette à cause du monopole de cette infrastructure par le club du KACM qui la gère et l’exploite loin d’une démocratisation et réglementation…
Plus est, certaines personnes (témoins de cette affaire) ont également déclaré que la salle Driss Ben Chekroun offre ses services jusqu'à tard dans la nuit en échange de commissions comprises entre 300 et 500 par match.
Tout cela bien sûr « selon ces personnes », en cachette et en dehors du cadre juridique, ce qui a causé de graves dommages à ses installations et ses espaces verts, qui sont devenus dans un état déplorable et même catastrophique.
Certaines sources ont rapporté aussi que les associations sportives de Marrakech sont privées de bénéficier de l’utilisation de cette salle, tout en ajoutant que le KACM ne devrait pas monopoliser à son profit cette infrastructure, qui a été construite à partir de l'argent public...
Auparavant, les représentants de la société civile à Marrakech se sont plaints à plusieurs fois d’une situation « non réglementaire » selon leurs dires et qui perdure depuis belle lurette à cause du monopole de cette infrastructure par le club du KACM qui la gère et l’exploite loin d’une démocratisation et réglementation…
Plus est, certaines personnes (témoins de cette affaire) ont également déclaré que la salle Driss Ben Chekroun offre ses services jusqu'à tard dans la nuit en échange de commissions comprises entre 300 et 500 par match.
Tout cela bien sûr « selon ces personnes », en cachette et en dehors du cadre juridique, ce qui a causé de graves dommages à ses installations et ses espaces verts, qui sont devenus dans un état déplorable et même catastrophique.
Certaines sources ont rapporté aussi que les associations sportives de Marrakech sont privées de bénéficier de l’utilisation de cette salle, tout en ajoutant que le KACM ne devrait pas monopoliser à son profit cette infrastructure, qui a été construite à partir de l'argent public...
En fait, il est grand temps de gérer mutuellement cette salle d’une bonne façon entre le KACM et la participation de la société civile, représentée par d'autres associations et clubs sportifs et surtout résoudre le problème du contrat qui relie le KACM au ministère des Sports !
Et aussi, il faut revoir fermement les clauses du contrat de 25 ans signé entre le ministère de la Jeunesse et des Sports et le KACM sous la direction du président Mohamed Mediouri, en 1993, sa validité a expiré, il y a longtemps (2018).
Faut-il encore ajouter que le ministère de la Jeunesse et des Sports a informé le KACM par un huissier de justice deux mois avant la fin de l'accord susmentionné, comme stipulé dans les termes de l'accord.
Selon des écrits du ministère de tutelle, la salle Driss Ben Chekroun souffre maintenant de la détérioration de ses installations et des constructions anarchiques des logements fonctionnels, bien que l'accord prévoie une licence ministérielle pour toute réforme que le KACM aimerait introduire.
Sur la base de ce rapport, le ministère a refusé de renouveler l'accord.
Les bénéficiaires (…) de l’état actuel de cette situation doivent impérativement savoir que la période de laisser-faire et laisser-aller est révolue à jamais.
Du coup, il faut rendre à César ce qu’appartenait à César et se référer aux législations en vigueur.
Et aussi, il faut revoir fermement les clauses du contrat de 25 ans signé entre le ministère de la Jeunesse et des Sports et le KACM sous la direction du président Mohamed Mediouri, en 1993, sa validité a expiré, il y a longtemps (2018).
Faut-il encore ajouter que le ministère de la Jeunesse et des Sports a informé le KACM par un huissier de justice deux mois avant la fin de l'accord susmentionné, comme stipulé dans les termes de l'accord.
Selon des écrits du ministère de tutelle, la salle Driss Ben Chekroun souffre maintenant de la détérioration de ses installations et des constructions anarchiques des logements fonctionnels, bien que l'accord prévoie une licence ministérielle pour toute réforme que le KACM aimerait introduire.
Sur la base de ce rapport, le ministère a refusé de renouveler l'accord.
Les bénéficiaires (…) de l’état actuel de cette situation doivent impérativement savoir que la période de laisser-faire et laisser-aller est révolue à jamais.
Du coup, il faut rendre à César ce qu’appartenait à César et se référer aux législations en vigueur.