Intervenant par visioconférence, le président de l’Observatoire marocain de la souveraineté numérique (OMSN), Mustapha Meloui, a indiqué que « le Maroc dispose de tous les ingrédients à même de lui permettre de s’ériger en véritable Digital Nation africaine », notant que le Royaume a mis en place plusieurs programmes nationaux pour soutenir le développement du Digital.
Cette ambition, a-t-il dit, s’articule autour de quatre axes principaux à savoir, une administration digitale au service des citoyens et des entreprises, une économie compétitive, une inclusion numérique des citoyens grâce au digital, et la formation de talents numériques (capital humain qualifié).
S’agissant du premier axe, M. Meloui a rappelé l’importance cruciale accordée à la mise en œuvre effective de la Charte de déconcentration administrative, la simplification et la digitalisation des procédures, la facilitation de l’accès au foncier et aux énergies vertes et l’appui financier aux porteurs de projets.
S’agissant du second axe, cet expert a relevé que si le Maroc dispose actuellement d’une économie compétitive, c’est grâce aux gains de performances amenés par le Digital et au développement des secteurs technologiques.
Dans la même lignée, il a loué les grands efforts déployés à l’échelle nationale à la faveur d’une véritable inclusion numérique des citoyens, et ce, grâce au développement du digital.
Après avoir mis en avant l’engagement du Maroc à garantir une excellente formation pour disposer d’un capital humain qualifié, il a, chiffres à l’appui, relevé que le Royaume affiche le niveau de développement des technologies de l'information et de la communication (TIC) le plus élevé en Afrique, selon un rapport publié le 15 décembre 2023 par l’Union Internationale des Télécommunications (UIT).
Par indicateur, explique cet expert, le Maroc dépasse largement la moyenne mondiale qui est de 70,5% en ce qui concerne le pourcentage des « individus utilisant internet », et enregistre un taux de 92,8% pour ce qui est des « ménages disposant d’un accès internet à domicile » et de la couverture 3G/4G, dont les moyennes mondiales respectives sont situées à 70,8% et 92,5%. Le Royaume reste bien positionné avec des taux respectifs de 90,7% et 99,2%, selon le même rapport.
M. Meloui n’a pas manqué de souligner que le Royaume prépare sa stratégie « Maroc Digital 2030 » qui sera, sans nul doute, la feuille de route du développement du numérique et érigera le Maroc en tant que hub digital et technologique de référence au niveau du Continent.
Sur un autre registre, il a indiqué que la transformation digitale en Afrique est une réalité qui bouleverse les modes de vie, les économies et les sociétés, faisant savoir que les enjeux majeurs aujourd’hui s’articulent autour de l’inclusion numérique qui consiste à accroître l'accès à internet et aux technologies numériques dans les zones rurales et chez les populations défavorisées, et réduire ainsi la fracture numérique.
L’idée aussi est de former la population africaine aux outils et usages du numérique, a-t-il enchaîné, estimant que la transformation digitale demeure aussi un pilier pour le développement économique de l’Afrique, car elle est de nature à stimuler la création de l’emploi et à favoriser l’émergence d’un écosystème des stratus et d’entreprises numériques. Elle permettra aussi l’intégration de l’économie africaine dans l’économie mondiale en facilitant le commerce électronique et les échanges internationaux, a-t-il conclu.
Cette ambition, a-t-il dit, s’articule autour de quatre axes principaux à savoir, une administration digitale au service des citoyens et des entreprises, une économie compétitive, une inclusion numérique des citoyens grâce au digital, et la formation de talents numériques (capital humain qualifié).
S’agissant du premier axe, M. Meloui a rappelé l’importance cruciale accordée à la mise en œuvre effective de la Charte de déconcentration administrative, la simplification et la digitalisation des procédures, la facilitation de l’accès au foncier et aux énergies vertes et l’appui financier aux porteurs de projets.
S’agissant du second axe, cet expert a relevé que si le Maroc dispose actuellement d’une économie compétitive, c’est grâce aux gains de performances amenés par le Digital et au développement des secteurs technologiques.
Dans la même lignée, il a loué les grands efforts déployés à l’échelle nationale à la faveur d’une véritable inclusion numérique des citoyens, et ce, grâce au développement du digital.
Après avoir mis en avant l’engagement du Maroc à garantir une excellente formation pour disposer d’un capital humain qualifié, il a, chiffres à l’appui, relevé que le Royaume affiche le niveau de développement des technologies de l'information et de la communication (TIC) le plus élevé en Afrique, selon un rapport publié le 15 décembre 2023 par l’Union Internationale des Télécommunications (UIT).
Par indicateur, explique cet expert, le Maroc dépasse largement la moyenne mondiale qui est de 70,5% en ce qui concerne le pourcentage des « individus utilisant internet », et enregistre un taux de 92,8% pour ce qui est des « ménages disposant d’un accès internet à domicile » et de la couverture 3G/4G, dont les moyennes mondiales respectives sont situées à 70,8% et 92,5%. Le Royaume reste bien positionné avec des taux respectifs de 90,7% et 99,2%, selon le même rapport.
M. Meloui n’a pas manqué de souligner que le Royaume prépare sa stratégie « Maroc Digital 2030 » qui sera, sans nul doute, la feuille de route du développement du numérique et érigera le Maroc en tant que hub digital et technologique de référence au niveau du Continent.
Sur un autre registre, il a indiqué que la transformation digitale en Afrique est une réalité qui bouleverse les modes de vie, les économies et les sociétés, faisant savoir que les enjeux majeurs aujourd’hui s’articulent autour de l’inclusion numérique qui consiste à accroître l'accès à internet et aux technologies numériques dans les zones rurales et chez les populations défavorisées, et réduire ainsi la fracture numérique.
L’idée aussi est de former la population africaine aux outils et usages du numérique, a-t-il enchaîné, estimant que la transformation digitale demeure aussi un pilier pour le développement économique de l’Afrique, car elle est de nature à stimuler la création de l’emploi et à favoriser l’émergence d’un écosystème des stratus et d’entreprises numériques. Elle permettra aussi l’intégration de l’économie africaine dans l’économie mondiale en facilitant le commerce électronique et les échanges internationaux, a-t-il conclu.