Le dossier de la taxe sur les véhicules électriques chinois importés en Union européenne a monopolisé le débat dernièrement. L’Europe, après enquête et réunions de travail, est parvenue à la solution de surtaxer les véhicules de ces constructeurs avec une taxe allant de 15 à 38%.
Un pays de l’Amérique du Nord, lui, n’a pas longtemps hésité au moment d’imposer ce genre de redevance. Il s’agit du Canada, dont les autorités viennent juste d’annoncer une surtaxe de 100% sur les véhicules chinois, et cela, dès le 1er octobre.
La taxe va viser des voitures électriques en premier lieu, mais aussi des camions, des autobus, des camionnettes de livraison électriques et des modèles hybrides. L’objectif est de lutter contre la concurrence déloyale imposée par Pékin, selon le gouvernement canadien. « La Chine ne respecte pas les mêmes règles que les autres pays », signalait Justin Trudeau, premier ministre canadien, lors d’une conférence de presse.
« Nous devons défendre les emplois et les intérêts canadiens […] en agissant de concert avec d’autres économies dans le monde », abondait-il par ailleurs en ce sens. Et pour cause, une taxe identique est appliquée aux États-Unis et a été mise en place en mai dernier. Du côté de l’UE, les sanctions sont moins pénalisantes mais gênent tout de même les constructeurs du pays.
Ainsi, la Chine a récemment saisi l’Organisation mondiale du commerce (OMC) face à la surtaxe appliquée en Europe. Elle souhaiterait voir cette dernière disparaître. Reste à voir au fil du temps comment les choses évolueront.
Un pays de l’Amérique du Nord, lui, n’a pas longtemps hésité au moment d’imposer ce genre de redevance. Il s’agit du Canada, dont les autorités viennent juste d’annoncer une surtaxe de 100% sur les véhicules chinois, et cela, dès le 1er octobre.
La taxe va viser des voitures électriques en premier lieu, mais aussi des camions, des autobus, des camionnettes de livraison électriques et des modèles hybrides. L’objectif est de lutter contre la concurrence déloyale imposée par Pékin, selon le gouvernement canadien. « La Chine ne respecte pas les mêmes règles que les autres pays », signalait Justin Trudeau, premier ministre canadien, lors d’une conférence de presse.
« Nous devons défendre les emplois et les intérêts canadiens […] en agissant de concert avec d’autres économies dans le monde », abondait-il par ailleurs en ce sens. Et pour cause, une taxe identique est appliquée aux États-Unis et a été mise en place en mai dernier. Du côté de l’UE, les sanctions sont moins pénalisantes mais gênent tout de même les constructeurs du pays.
Ainsi, la Chine a récemment saisi l’Organisation mondiale du commerce (OMC) face à la surtaxe appliquée en Europe. Elle souhaiterait voir cette dernière disparaître. Reste à voir au fil du temps comment les choses évolueront.
