Selon la police, ils étaient 100.000 au carrefour Azrieli, et 10.000 sur la place Habima. L’ancien Premier ministre Yaïr Lapid ainsi que l’ancien ministre de la Défense Benny Gantz ont pris la parole au cours du rassemblement.
«Ce qui se passe ici aujourd’hui est une manifestation en faveur du pays. Des gens qui aiment ce pays sont venus ici pour le défendre, pour défendre sa démocratie et ses tribunaux», a déclaré Yaïr Lapid. «Nous encourageons cette manifestation et la considérons comme un soutien à notre activité politique. (...) Il n’y aura pas de compromis sur la démocratie, sur l’État de droit et sur un système judiciaire fort et indépendant», a pour sa part armé Benny Gantz.
Selon les résultats d’un sondage publiés sur la chaîne 12 vendredi, environ 40% des électeurs du bloc d’opposition exprimaient leur intention de participer aux manifestations ce samedi. Par ailleurs, des dizaines d’Israéliens se sont rassemblés à Boston, Barcelone et Toronto appelant à «sauver la démocratie israélienne».
Suite aux manifestations de samedi dernier, Benjamin Netanyahu avait armé que le gouvernement «ne se laisserait pas ralentir par des slogans», et qu’il achèverait le processus de réformes du système judiciaire décrié par l’opposition.
«Ce qui se passe ici aujourd’hui est une manifestation en faveur du pays. Des gens qui aiment ce pays sont venus ici pour le défendre, pour défendre sa démocratie et ses tribunaux», a déclaré Yaïr Lapid. «Nous encourageons cette manifestation et la considérons comme un soutien à notre activité politique. (...) Il n’y aura pas de compromis sur la démocratie, sur l’État de droit et sur un système judiciaire fort et indépendant», a pour sa part armé Benny Gantz.
Selon les résultats d’un sondage publiés sur la chaîne 12 vendredi, environ 40% des électeurs du bloc d’opposition exprimaient leur intention de participer aux manifestations ce samedi. Par ailleurs, des dizaines d’Israéliens se sont rassemblés à Boston, Barcelone et Toronto appelant à «sauver la démocratie israélienne».
Suite aux manifestations de samedi dernier, Benjamin Netanyahu avait armé que le gouvernement «ne se laisserait pas ralentir par des slogans», et qu’il achèverait le processus de réformes du système judiciaire décrié par l’opposition.