C’est parti pour les Jeux Olympiques de Paris 2024 pour la sélection du Maroc de football ! Les Lionceaux de l’Atlas vont couper le ruban des confrontations avec un seul objectif : la médaille d’or, sinon le podium, ou du moins aller dans la compétition le plus loin possible.
Avec un noyau de quatre joueurs qui ont atteint les demi-finales de la récente Coupe du monde emmenée par Achraf Hakimi, on peut espérer à la plus haute marche.
Nonobstant le manque d’expérience, et du coach Sektioui qui a pris le train en marche, il n’en demeure pas moins que le grand joueur qu’il était, Tarek saura mettre sa griffe devant les coéquipiers de Almada. Pourquoi dire que Sektioui fait figure de rookie? C’est à travers ses choix et sa connaissance du groupe. Néanmoins, le cadet des Sektioui dispose d’une multitude de pépites qui vont certainement tenir en haleine la sphère du football lors de ces JO de Paris. S’il fait bon usage de ces joueurs pétris de qualités, croyez-nous, nous irons loin dans cette compétition. Tout passe, donc, par ce premier match contre l’Argentine. Cette dernière conduite par le buteur-maison, la perle Claudio Etcheverri, Almada. Simeone (fils de Diego Simeone, coach de l’Atletico); tout ce beau monde, constitue un obstacle de taille pour les Lions de l’Atlas. La défense marocaine gagnerait à les surveiller comme le lait sur le feu. Une vigilance ne serait pas de trop pour tenter de passer le cap argentin. Par contre, l’Argentine en dépit de son parcours des JO sera mise à rude épreuve par les attaquants marocains précédés par une réputation solidement assise à l’image de Rahimi, Bouchouari, véritable métronome, Eliesse Bensghir; ne nous dites pas que les Marocains ne pourront pas outrepasser un défenseur de 36 ans nommé Otamendi? Les Eliesse : Akhoumach d’un côté, Bensghir d’un autre… Otamandi aura du pain sur la planche. Ce groupe aura comme patron le beau et excellent Bilal El Khannous… nous n’avons pas encore parlé du virevoltant Zelzouli…
En tous les cas, tous ceux qui ont été choisis pour affronter l’Argentine ne manquent pas d’atouts. En tout, sur le plan individuel, ils n’ont rien à envier à leurs adversaires sud-américains.
Le sélectionneur national a tout intérêt à fructifier la renommée des Olympiens marocains; car le Maroc fait figure d’épouvantail aux côtés du Brésil, Argentine, Etats Unis; formations que tous les observateurs sportifs voient sur le podium. Ce serait formidable si nos Lionceaux rééditent l’exploit de leurs aînés au Qatar. Car être demi-finaliste aux Jeux Olympiques comme ce fut le cas il y a deux ans en Coupe du monde, serait un résultat extraordinaire. On vous le dit.
Avec un noyau de quatre joueurs qui ont atteint les demi-finales de la récente Coupe du monde emmenée par Achraf Hakimi, on peut espérer à la plus haute marche.
Nonobstant le manque d’expérience, et du coach Sektioui qui a pris le train en marche, il n’en demeure pas moins que le grand joueur qu’il était, Tarek saura mettre sa griffe devant les coéquipiers de Almada. Pourquoi dire que Sektioui fait figure de rookie? C’est à travers ses choix et sa connaissance du groupe. Néanmoins, le cadet des Sektioui dispose d’une multitude de pépites qui vont certainement tenir en haleine la sphère du football lors de ces JO de Paris. S’il fait bon usage de ces joueurs pétris de qualités, croyez-nous, nous irons loin dans cette compétition. Tout passe, donc, par ce premier match contre l’Argentine. Cette dernière conduite par le buteur-maison, la perle Claudio Etcheverri, Almada. Simeone (fils de Diego Simeone, coach de l’Atletico); tout ce beau monde, constitue un obstacle de taille pour les Lions de l’Atlas. La défense marocaine gagnerait à les surveiller comme le lait sur le feu. Une vigilance ne serait pas de trop pour tenter de passer le cap argentin. Par contre, l’Argentine en dépit de son parcours des JO sera mise à rude épreuve par les attaquants marocains précédés par une réputation solidement assise à l’image de Rahimi, Bouchouari, véritable métronome, Eliesse Bensghir; ne nous dites pas que les Marocains ne pourront pas outrepasser un défenseur de 36 ans nommé Otamendi? Les Eliesse : Akhoumach d’un côté, Bensghir d’un autre… Otamandi aura du pain sur la planche. Ce groupe aura comme patron le beau et excellent Bilal El Khannous… nous n’avons pas encore parlé du virevoltant Zelzouli…
En tous les cas, tous ceux qui ont été choisis pour affronter l’Argentine ne manquent pas d’atouts. En tout, sur le plan individuel, ils n’ont rien à envier à leurs adversaires sud-américains.
Le sélectionneur national a tout intérêt à fructifier la renommée des Olympiens marocains; car le Maroc fait figure d’épouvantail aux côtés du Brésil, Argentine, Etats Unis; formations que tous les observateurs sportifs voient sur le podium. Ce serait formidable si nos Lionceaux rééditent l’exploit de leurs aînés au Qatar. Car être demi-finaliste aux Jeux Olympiques comme ce fut le cas il y a deux ans en Coupe du monde, serait un résultat extraordinaire. On vous le dit.
Nous sommes capables d’y arriver !
Pris à part, la sélection du Maroc a tout pour effrayer. Des buteurs, des dribleurs, des casseurs, des virtuoses… nous avons de tout. Oussama El Azzouzi, Amir Richardson et Bilal El Khannouss, présents lors de la CAN et des matches de qualification, Abdessamad Ezzalzouli, qui a joué en Côte d’Ivoire et Oussama Targhalline, convoqué face à la Zambie et au Congo Brazzaville…
Il faut juste que Sektioui fasse preuve de jugeote d’hardiesse et foi en la capacité de ses joueurs.
Il faut juste que Sektioui fasse preuve de jugeote d’hardiesse et foi en la capacité de ses joueurs.