À l’exception du match contre l’Argentine, les premiers jours des Jeux Olympiques de Paris ont été décevants pour les sportifs marocains. La majorité des épreuves n’ont pas encore eu lieu, mais à moins d’une surprise, la plupart des médailles devraient être remportées dans seulement quelques disciplines. Il s’agit évidemment de l’athlétisme, où les Marocains ont produit des champions internationaux et restent aujourd’hui parmi les leaders du continent.
On peut également compter quelques performances exceptionnelles dans la boxe et autres arts martiaux, qui comptent quelques champions nationaux. Mais au-delà de ces disciplines, nos chances restent minces de monter sur le podium des autres sports, comme l’escrime, le golf ou l’aviron. Pourtant, notre délégation est représentée par 60 athlètes, ce qui reste assez important pour le continent africain.
Cependant, ces sportifs, qui réussissent à décrocher leur billet pour les JO après de longues et difficiles éliminatoires, le font souvent par leurs propres moyens, ne devant leur succès qu’à leurs efforts individuels et leur abnégation. Les différentes fédérations, censées détecter, accompagner et soutenir leurs athlètes, manquent souvent de moyens et, parfois, de structures de gouvernance stables et transparentes.
Pour activer le levier du soft power sportif, actuellement limité au football, une remise en question de l’organisation de ce secteur s’avère nécessaire. Plusieurs pays, dont la France, ont ainsi regroupé les divers intervenants dans le domaine sportif au sein d’un seul organisme, censé porter une vision globale et coordonner les diverses actions.
Une agence nationale du sport pourrait ainsi rassembler les sportifs et leurs équipes, ainsi que tous les autres domaines susceptibles d’améliorer les performances individuelles et collectives des athlètes, tels que la médecine, la psychologie, la recherche universitaire et la diététique. Une telle structure pourrait également œuvrer pour promouvoir la culture du sport et accompagner les plus jeunes vers des parcours sportifs de haut niveau.
On peut également compter quelques performances exceptionnelles dans la boxe et autres arts martiaux, qui comptent quelques champions nationaux. Mais au-delà de ces disciplines, nos chances restent minces de monter sur le podium des autres sports, comme l’escrime, le golf ou l’aviron. Pourtant, notre délégation est représentée par 60 athlètes, ce qui reste assez important pour le continent africain.
Cependant, ces sportifs, qui réussissent à décrocher leur billet pour les JO après de longues et difficiles éliminatoires, le font souvent par leurs propres moyens, ne devant leur succès qu’à leurs efforts individuels et leur abnégation. Les différentes fédérations, censées détecter, accompagner et soutenir leurs athlètes, manquent souvent de moyens et, parfois, de structures de gouvernance stables et transparentes.
Pour activer le levier du soft power sportif, actuellement limité au football, une remise en question de l’organisation de ce secteur s’avère nécessaire. Plusieurs pays, dont la France, ont ainsi regroupé les divers intervenants dans le domaine sportif au sein d’un seul organisme, censé porter une vision globale et coordonner les diverses actions.
Une agence nationale du sport pourrait ainsi rassembler les sportifs et leurs équipes, ainsi que tous les autres domaines susceptibles d’améliorer les performances individuelles et collectives des athlètes, tels que la médecine, la psychologie, la recherche universitaire et la diététique. Une telle structure pourrait également œuvrer pour promouvoir la culture du sport et accompagner les plus jeunes vers des parcours sportifs de haut niveau.