Le Comité International des Jeux Méditerranéens (CIJM) a adressé le 27 juin 2022, par le biais de son Secrétaire Général, une correspondance qui ressemble à une cinglante gifle (voir ci-joint). Elle a été destinée à Aziz Derouaz, le N°1 du comité d’organisation local basé à Oran.
Dans cette missive, le CIJM a fait allusion à plusieurs remarques négatives dont :
Ces défaillances ne concernent que la cérémonie d’ouverture qui a annoncé la couleur de ce qui va arriver et d’autres incidents relevés auparavant comme l’interdiction formulée à l’encontre de 9 journalistes marocains d’entrer sur le territoire algérien.
Ces journalistes étaient partis en compagnie de la délégation officielle conduite par le CNOM sous la casquette des Associations des journalistes sportifs.
Personnellement, j’étais sous la casquette de la Marocaine des Journalistes Sportifs et je collabore avec « L’Opinion Sports » depuis deux décennies et une autre décennie avec un autre quotidien.
La police des frontières a fabriqué de toutes pièces un motif pour nous interdire l’accès au territoire algérien alors qu’il n’y a pas de visa entre les deux pays, sans parler des traitements inhumains bafouant ainsi les fondements des droits de l’Homme qui sont la base de toutes les Conventions et autres Traités du Droit International qui régit les Relations internationales.
Ces remarques constituent un point noir dans l’Histoire des Jeux Méditerranéens et aucun incident semblable n’a entaché cette manifestation depuis sa création en 1951.
Dans cette missive, le CIJM a fait allusion à plusieurs remarques négatives dont :
- Certains pays ont été escamotés de la carte du bassin méditerranéen ;
- Les insuffisances organisationnelles importantes et fondamentales qui ont créé des impressions extrêmement négatives chez les membres de la famille méditerranéenne ;
- Le plan du transport a été un échec total, ce qui a empêché une soixantaine de personnes du comité exécutif, des présidents et des secrétaires généraux des comités olympiques et des Fédérations Internationales, ainsi que d’autres invités de marque de la famille méditerranéenne d’arriver au stade à temps. Ils n’ont pu trouver refuge qu’après de nombreuses heures, après avoir été gravement menacés dans leur sécurité devant les portes d’entrée, et sans pour autant avoir pu assister à la cérémonie ;
- Les invités ont été abandonnés à eux-mêmes au milieu du public général, arrivé en masse, et ont dû entrer en force dans le stade, en l’absence totale d’une voie d’entrée préférentielle dédiée à la famille méditerranéenne. Outre leur statut, ce sont des femmes, des enfants, des personnes âgées et des personnes vulnérables.
Ces défaillances ne concernent que la cérémonie d’ouverture qui a annoncé la couleur de ce qui va arriver et d’autres incidents relevés auparavant comme l’interdiction formulée à l’encontre de 9 journalistes marocains d’entrer sur le territoire algérien.
Ces journalistes étaient partis en compagnie de la délégation officielle conduite par le CNOM sous la casquette des Associations des journalistes sportifs.
Personnellement, j’étais sous la casquette de la Marocaine des Journalistes Sportifs et je collabore avec « L’Opinion Sports » depuis deux décennies et une autre décennie avec un autre quotidien.
La police des frontières a fabriqué de toutes pièces un motif pour nous interdire l’accès au territoire algérien alors qu’il n’y a pas de visa entre les deux pays, sans parler des traitements inhumains bafouant ainsi les fondements des droits de l’Homme qui sont la base de toutes les Conventions et autres Traités du Droit International qui régit les Relations internationales.
Ces remarques constituent un point noir dans l’Histoire des Jeux Méditerranéens et aucun incident semblable n’a entaché cette manifestation depuis sa création en 1951.