2020 restera pour tous l’année qui aura permis à la race humaine de prendre conscience de sa fragilité. Quelles conséquences faut-il en tirer pour les enfants du monde entier ? Quel monde vont-ils devoir affronter demain ? Sera-t-il aussi injuste que celui d’avant la pandémie ? La faim continuera-t-elle à côtoyer l’obésité ?
Le 25 juin est la Journée de l’enfant. INSAF se mobilisera, avec l’appui de tous ses partenaires, pour tenter de sauver tous les bébés que leurs mamans abandonnent avec déchirement dans la rue. INSAF continuera à reconstruire et à former les mères célibataires pour qu’elles puissent affronter la société et, au lieu d’abandonner leur bébé, lui donner l’équilibre dont les enfants ont besoin pour s’épanouir. INSAF ne cessera pas d’affronter les employeurs d’enfants pour les obliger à les rendre à leurs parents afin qu’ils puissent aller à l’école. Aussi, INSAF aidera les mamans migrantes à trouver des solutions alternatives pour qu’elles puissent retrouver leur dignité dans le travail et permettre à leurs enfants de grandir comme tous les enfants du monde devraient grandir.
INSAF espère qu’après la crise engendrée par la propagation du Covid-19, les problèmes relatifs aux enfants seront examinés et résolus, à savoir que chaque mère célibataire puisse disposer d’un livret de famille, que les tests ADN permettent de rendre justice à un enfant par la reconnaissance du père légitime. Elle appelle également l’Etat à permette aux associations de continuer leur mission en les finançant convenablement. Aussi, elle souhaite que de nouveaux centres puissent venir en aide à ces enfants en détresse. Par ailleurs, l’association sollicite les mères célibataires ne pouvant pas garder leur bébé à ce qu’elles puissent l’abandonner à l’hôpital et non pas le déposer dans la rue.
« De simples circulaires pourraient tout résoudre et changer la vie de dizaines de milliers d’enfants. Nous devons ces mesures à tous les enfants en difficulté de notre pays. Au nom de ses valeurs et de son engagement, notre association souhaite une meilleure vie à tous ces enfants, une vie plus juste, une vie faite de partages et de bonheurs », souligne Meriem Othmani, présidente de l’Association INSAF, qui remercie tous ses partenaires qui lui font confiance et qui lui permettent d’exister pour accomplir ses missions.
Le 25 juin est la Journée de l’enfant. INSAF se mobilisera, avec l’appui de tous ses partenaires, pour tenter de sauver tous les bébés que leurs mamans abandonnent avec déchirement dans la rue. INSAF continuera à reconstruire et à former les mères célibataires pour qu’elles puissent affronter la société et, au lieu d’abandonner leur bébé, lui donner l’équilibre dont les enfants ont besoin pour s’épanouir. INSAF ne cessera pas d’affronter les employeurs d’enfants pour les obliger à les rendre à leurs parents afin qu’ils puissent aller à l’école. Aussi, INSAF aidera les mamans migrantes à trouver des solutions alternatives pour qu’elles puissent retrouver leur dignité dans le travail et permettre à leurs enfants de grandir comme tous les enfants du monde devraient grandir.
INSAF espère qu’après la crise engendrée par la propagation du Covid-19, les problèmes relatifs aux enfants seront examinés et résolus, à savoir que chaque mère célibataire puisse disposer d’un livret de famille, que les tests ADN permettent de rendre justice à un enfant par la reconnaissance du père légitime. Elle appelle également l’Etat à permette aux associations de continuer leur mission en les finançant convenablement. Aussi, elle souhaite que de nouveaux centres puissent venir en aide à ces enfants en détresse. Par ailleurs, l’association sollicite les mères célibataires ne pouvant pas garder leur bébé à ce qu’elles puissent l’abandonner à l’hôpital et non pas le déposer dans la rue.
« De simples circulaires pourraient tout résoudre et changer la vie de dizaines de milliers d’enfants. Nous devons ces mesures à tous les enfants en difficulté de notre pays. Au nom de ses valeurs et de son engagement, notre association souhaite une meilleure vie à tous ces enfants, une vie plus juste, une vie faite de partages et de bonheurs », souligne Meriem Othmani, présidente de l’Association INSAF, qui remercie tous ses partenaires qui lui font confiance et qui lui permettent d’exister pour accomplir ses missions.