"Moi, je ne ferai jamais la guerre au Maroc, je ne laisserai jamais mes enfants faire la guerre au Maroc, je ne serai jamais l’ennemi du Maroc ", a déclaré le lauréat du prix Goncourt 2024 sur ton émouvant au micro de France Inter.
L’écrivain a rappelé ensuite les liens historiques entre les deux pays, rappelant que le Maroc a accueilli les indépendantistes algériens lors de la guerre de libération.
Kamel Daoud a refusé de souscrire aux tentatives de semer la discorde entre les deux pays. "Cette histoire de monter les deux pays les uns contre les autres sur la base d'une histoire de frontière ou de Sahara, je n'y souscrirai jamais", a-t-il martelé.
" Je visiterai un jour librement l'Algérie, et je visiterai aussi le Maroc parce que c'est aussi mon pays", a poursuivi l'écrivain, dont le nouveau "Houris", a été interdit en Algérie.
Ce n'est pas la première fois qu'un intellectuel algérien tient de tels propos bienveillants à l'égard du Maroc. Ils sont nombreux à plaider pour la réconciliation maroco-algérienne et dénoncé l'attitude belliqueuse du régime. Le cas de Daoud Boualem Sansal est révélateur. L'écrivain âgé de 80 ans a été emprisonné pour peu qu'il ait dénoncé l'attitude du régime algérien et sa façon d'instrumentaliser le Polisario pour diviser le Maroc.
Sansal a été incarcéré dès sa rentrée en Algérie le 16 novembre dernier pour atteinte à la sûreté de l'Etat alors qu'il n'avait que rappelé une réalité historique.
L’écrivain a rappelé ensuite les liens historiques entre les deux pays, rappelant que le Maroc a accueilli les indépendantistes algériens lors de la guerre de libération.
Kamel Daoud a refusé de souscrire aux tentatives de semer la discorde entre les deux pays. "Cette histoire de monter les deux pays les uns contre les autres sur la base d'une histoire de frontière ou de Sahara, je n'y souscrirai jamais", a-t-il martelé.
" Je visiterai un jour librement l'Algérie, et je visiterai aussi le Maroc parce que c'est aussi mon pays", a poursuivi l'écrivain, dont le nouveau "Houris", a été interdit en Algérie.
Ce n'est pas la première fois qu'un intellectuel algérien tient de tels propos bienveillants à l'égard du Maroc. Ils sont nombreux à plaider pour la réconciliation maroco-algérienne et dénoncé l'attitude belliqueuse du régime. Le cas de Daoud Boualem Sansal est révélateur. L'écrivain âgé de 80 ans a été emprisonné pour peu qu'il ait dénoncé l'attitude du régime algérien et sa façon d'instrumentaliser le Polisario pour diviser le Maroc.
Sansal a été incarcéré dès sa rentrée en Algérie le 16 novembre dernier pour atteinte à la sûreté de l'Etat alors qu'il n'avait que rappelé une réalité historique.
