La voiture électrique s’impose, avec la forte présence des différents moyens de transports à énergie fossile, comme une alternative, globale ou partielle mais efficace, pour garantir les conditions d’un monde sans pollution environnementale. Se basant sur les plus grands avantages de ces voitures, l’Association Al Wafae des réparateurs d’automobiles dans le grand Casablanca s’est engagée à inciter les usagers à accorder davantage d’intérêt aux voitures écologiques ou hybrides.
A cet égard, l’Association a initié, à l’occasion de la Journée mondiale de l’environnement, célébrée le 5 juin, une session de formation à Kénitra pour sensibiliser les professionnels et personnes intéressées par le secteur automobile à la nécessité d’accompagner les mutations que connait le monde.
A cette occasion, le président de l’Association, Omar Fafouri, a indiqué que cette session de formation s’inscrit dans le cadre d’une série d’ateliers dans plus de 30 villes du Royaume, notant qu’à travers des ateliers théoriques et pratiques, les bénéficiaires ont profité à titre gracieux de formations sur ces voitures modernes sur lesquelles on compte pour lutter contre la pollution et les émissions.
Selon Fafouri, la réparation de ces voitures très développées, avec une technologie de pointe, nécessite savoir, expertise et précaution vu que la puissance électrique de ces voitures peut atteindre 200 à 300 volts, ce qui provoque, dans le cas de mauvaise manipulation, des chocs électriques puissants pouvant causer le décès. Et d’ajouter qu’il y a une grande affluence et curiosité chez les professionnels pour avoir plus d’informations sur cette nouvelle technologie, soulignant que cela s’illustre par le grand nombre de bénéficiaires (de 200 à 400) des formations, organisées par l’association en collaboration avec vos partenaires.
Pour sa part, Mustapha, l’un des bénéficiaires de la formation, a souligné que le secteur automobile connaît un développement rapide, ce qui nécessite que chacun, notamment les professionnels, soit attentif aux nouveautés pour assurer la continuité.
Ce genre d’ateliers a pour objectif de renseigner davantage le grand public en général et les mécaniciens en particulier sur les normes de la réparation des voitures électriques et hybrides, ce qui ouvre de nouvelles perspectives pour la recherche et le développement des capacités, afin de combler le manque potentiel dans le cas d’une utilisation généralisée de ces voitures.
A cet égard, l’Association a initié, à l’occasion de la Journée mondiale de l’environnement, célébrée le 5 juin, une session de formation à Kénitra pour sensibiliser les professionnels et personnes intéressées par le secteur automobile à la nécessité d’accompagner les mutations que connait le monde.
A cette occasion, le président de l’Association, Omar Fafouri, a indiqué que cette session de formation s’inscrit dans le cadre d’une série d’ateliers dans plus de 30 villes du Royaume, notant qu’à travers des ateliers théoriques et pratiques, les bénéficiaires ont profité à titre gracieux de formations sur ces voitures modernes sur lesquelles on compte pour lutter contre la pollution et les émissions.
Selon Fafouri, la réparation de ces voitures très développées, avec une technologie de pointe, nécessite savoir, expertise et précaution vu que la puissance électrique de ces voitures peut atteindre 200 à 300 volts, ce qui provoque, dans le cas de mauvaise manipulation, des chocs électriques puissants pouvant causer le décès. Et d’ajouter qu’il y a une grande affluence et curiosité chez les professionnels pour avoir plus d’informations sur cette nouvelle technologie, soulignant que cela s’illustre par le grand nombre de bénéficiaires (de 200 à 400) des formations, organisées par l’association en collaboration avec vos partenaires.
Pour sa part, Mustapha, l’un des bénéficiaires de la formation, a souligné que le secteur automobile connaît un développement rapide, ce qui nécessite que chacun, notamment les professionnels, soit attentif aux nouveautés pour assurer la continuité.
Ce genre d’ateliers a pour objectif de renseigner davantage le grand public en général et les mécaniciens en particulier sur les normes de la réparation des voitures électriques et hybrides, ce qui ouvre de nouvelles perspectives pour la recherche et le développement des capacités, afin de combler le manque potentiel dans le cas d’une utilisation généralisée de ces voitures.
Un marché qui évolue mais très timidement
Avec 3,2% de parts de marchés, les voitures à motorisation alternative (hybride et électrique) progressent, quoique modestement. Les performances commerciales le confirment. En 2021, les ventes de voitures “écolos” ont progressé de 145% par rapport à 2019. Ceci est dû essentiellement à la hausse de la demande des voitures hybrides dont les ventes sont passées de 1886 unités en 2019 à 4196 en 2021. Les voitures électriques demeurent moins commercialisées puisque seules 267 unités ont été vendues l’année précédente.
La faible adhésion des consommateurs marocains à l’achat de voitures à énergie alternative, malgré leur popularité ailleurs dans le monde, est principalement dûe à leurs prix hors de portée du consommateur ordinaire et à la conscience écologique pas très enracinée dans la mentalité marocaine.
La faible adhésion des consommateurs marocains à l’achat de voitures à énergie alternative, malgré leur popularité ailleurs dans le monde, est principalement dûe à leurs prix hors de portée du consommateur ordinaire et à la conscience écologique pas très enracinée dans la mentalité marocaine.
